L'admirateur secret
Nathan Kari04/12/2021Sortir sans culotte n'est pas raisonnable… mais j'aime l'idée
Bordel, avec ce que m'a annoncé hier Maëlle, je peux vous dire que je ne suis pas très concentré aujourd'hui au boulot. Dès que je plonge le nez dans les dossiers, mon esprit se met à vagabonder du côté de ma fille. Je me demande si elle a vraiment eu le cran de le faire. Je me l'imagine au lycée, nue sous sa jupe. J'ai hâte d'être rentré ce soir et de la découvrir dans sa tenue coquine ! J'ai prétendu avoir la crève pour expliquer à mes employés ma faible productivité. Je me retrouve comme un con à faire semblant de tousser et d'éternuer toute la journée pour être crédible. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, c'est stupide : un autre patron que moi ne s'emmerderait pas à se justifier.
C'est l'heure ! Je suis de retour à la maison, les mains tremblantes d'excitation. Je lance un bruyant « C'est moi ! Je suis rentré ! » dans le but d'attirer ma jolie fille à moi. Elle arrive pour me souhaiter un bonsoir et me demander comment la journée s'est passée. Elle est vêtue d'un pantalon et d'un pull tout ce qu'il y a de plus classique ; me voilà fort déçu. Soit elle n'a pas osé tenir sa promesse, soit elle s'est changée avant mon arrivée afin que son père ne suspecte rien. La connaissant, je mise plutôt sur la seconde solution. Crotte, alors ! Tout le monde en a profité, sauf moi.
Le repas se déroule rapidement et Maëlle se sauve dans sa chambre, prétextant avoir des devoirs à finir. Je ne suis plus si naïf ; je connais très bien la réalité. Je ne lui en tiens cependant pas rigueur car, moi aussi, j'ai hâte de la retrouver sur Twibook et d'avoir son compte-rendu de la journée. Je me mets donc à l'aise et file dans ma chambre allumer mon ordinateur portable.
« C'était tellement intense, raconte-t-elle, que j'ai eu envie de me caresser toute la journée. J'avais l'impression d'avoir ton regard posé sur moi sans arrêt, que tu étais capable de voir à travers ma petite jupe. J'avais l'impression que tout le monde allait me percer à jour. J'avais peur que quelqu'un d'autre que toi s'en aperçoive, mais c'était encore plus excitant. Je ne sais pas si tu en as bien profité ou non ; je l'espère (ne me le dis pas, sinon ça me laissera un indice sur ton identité), mais en tout cas, moi, j'ai adoré et je suis prête à recommencer demain. »
« Oh, ma belle, je suis si fier de toi ! Savoir que tu as fait ça pour moi est un grand honneur. L'idée de te savoir sans culotte ne m'a pas quitté de la journée. Incapable de me concentrer, m'imaginant à la place plonger les yeux puis une main sous ta jupe ! »
« Alors, tu veux que je recommence demain ? »
« Bien entendu. Et après-demain aussi, et le jour suivant, et tous les autres jours. Tu dois avoir hâte de te caresser maintenant, petite coquine ? »
S'ensuit une rapide séance de masturbation. Maëlle, qui a adopté une tenue bien plus légère que lors du repas, la fait très vite sauter pour me laisser admirer ses charmes qu'elle caresse avec passion. Comme la journée a joué avec nos nerfs, nous ne mettons pas longtemps à atteindre tous deux l'orgasme.
« Au fait, tu savais dans quelle ville j'habitais et où j'allais au lycée. Mais connais-tu mon adresse exacte ? »
« C'est possible. Pourquoi cette question, ma belle ? »
« Demain, si par hasard tu passais dans le coin, tu risquerais de trouver un pot de fleurs retourné, caché dans la haie qui limite notre jardin. Il se pourrait que tu y trouves un petit cadeau… »
« Un petit cadeau ? Tu m'intrigues. Tu m'en dis plus ? »
« Non. C'est une surprise ! »
Le lendemain, je vérifie vite fait le pot de fleurs avant de partir au boulot. Il n'y a rien ! Pas étonnant, elle doit attendre mon départ pour y laisser sa petite offrande. Je me demande bien ce que ça peut être. L'énigme m'a tenu en haleine toute la nuit. Avec elle, je crois que je peux m'attendre à tout et à n'importe quoi. Par malheur, je vais devoir attendre le soir pour découvrir ce cadeau.
Non, ça ne va pas ! Impossible encore de me concentrer au boulot ! Je ne vais tout de même pas passer une nouvelle journée à ne pas foutre grand chose ! Si je veux pouvoir être productif aujourd'hui, c'est maintenant que j'ai besoin de savoir ce qu'elle m'a laissé.
— Je sors, lancé-je à mes employés.
— OK, très bien.
— C'est que j'ai une course à faire, me sens-je obligé une nouvelle fois de me justifier.
— OK, pas de problème, à tout à l'heure.
— En fait, ce n'est pas vraiment une course : je dois récupérer des affaires chez moi mais, euh… c'est pour le boulot.
Ils me regardent tous bizarrement. La discrétion et moi, ça fait deux. Je devrais vraiment apprendre à fermer ma gueule de temps en temps. Bref, je disparais avant de commettre une nouvelle bourde.
Le trajet pour revenir chez moi n'est pas long. Je me précipite sur la haie et retourne ce foutu pot de fleurs. Oh joie, je découvre une de ses petites culottes. Je me sens comme le roi Arthur devant le Saint Graal ! Merde alors, je crois que je vais finir complètement teubé si je continue. Mais ce n'est pas tout : je trouve aussi un bout de papier avec un numéro de téléphone portable écrit dessus ; le numéro de Maëlle !
Je ne peux pas la contacter avec mon numéro, sinon elle s'apercevra que l'admirateur est son père, ce qui serait une catastrophe. Hop, je retourne en vitesse à Méronze au premier magasin de téléphonie mobile que je trouve et achète un nouveau téléphone, de couleur rouge. Après, retour à mon entreprise où je m'enferme dans mon bureau.
Je sors mon cadeau et mon nouveau téléphone de ma poche. Je frotte le fin tissu bleu clair entre mes doigts en visualisant dans ma tête la magnifique vulve avec laquelle il a été en contact. Je commence à me sentir serré dans mon pantalon. Diable, Maëlle me met vraiment le feu aux poudres ! Bon, j'allume le nouveau téléphone, le paramètre rapidement et compose un SMS à destination de mon petit ange.
« Coucou ma belle, j'ai bien reçu ton magnifique cadeau. Merci beaucoup ! »
Elle ne tarde pas à me répondre.
« Oui et je vois que tu as trouvé aussi mon numéro. Je me disais que c'était long d'attendre toute une journée pour te parler. »
« Tu as bien fait, mais je dois avouer que j'ai pas mal de boulot et que ça sera compliqué de communiquer. »
« Pas de souci. Je suis en cours, alors pour moi aussi ça sera un peu compliqué. J'espère seulement que tu trouveras le temps de profiter de mon cadeau. À vrai dire, ce n'est pas vraiment un cadeau : j'espère que tu me la rendras une fois que tu l'auras souillée avec un peu de toi. »
Souillée avec un peu de moi ? Fait-elle allusion à ce que j'imagine ? Pas le temps de me poser la question que le mobile vibre à nouveau. Cette fois, le nouveau message « Voilà de quoi te stimuler ! » est accompagné d'une photo : une vue plongeante sur l'entrecuisse de ma fille. Prise sous une table, on ne distingue pas bien à cause de l'obscurité, mais le sexe de ma fille est devinable. Oh, mon Dieu, avec le décor que j'arrive à percevoir sur les côtés, cette photo a été prise en plein cours ! C'est bien la preuve qu'elle ne m'a pas menti en prétendant aller en cours sans culotte.
Cette fois je suis trop tendu pour faire quoi que ce soit d'autre ; il me faut me soulager maintenant. Je dois faire retomber la pression, sinon ma journée sera encore moins productive qu'hier. Bien calé dans mon fauteuil, je libère mon sexe et me laisse aller. J'enroule la culotte de ma fille autour de ma hampe – après tout, le sous-vêtement a été offert pour ça – et commence à me caresser. Le contact du tissu sur ma chair est agréable. Les sensations me montent vite à la tête. Diablesse de Maëlle, tu rends ton père dingue !
D'un coup, sans que je n'aie le temps de réagir, quelqu'un entre sans frapper dans mon bureau. Je sursaute et tente de cacher mon méfait en quatrième vitesse. Trop tard, le mal est fait : Valérie, ma nouvelle employée, a bien compris la situation. Je suis rouge de honte et bredouille de la merde en essayant de me défendre. Elle semble surprise, voire choquée.
— Adam, je vois que vous aviez besoin de vous détendre. Si vous le souhaitez, je pourrais vous aider, moyennant une hausse de salaire. Je pourrais vous sucer…
Ah, pas si choquée que ça, visiblement, et à ce que je vois, elle n'a pas froid aux yeux !
— Désolé, Valérie, je ne pratique pas la promotion canapé.
Je me sens sot. Pourquoi n'ai-je pas pensé à fermer à clé cette putain de porte ? Quel con de m'être laissé surprendre par la nouvelle qui reste plantée là, gênée elle aussi. Un ange passe.
— Vous vouliez me dire quelque chose peut-être ? tenté-je.
— Euh, oui. Un certain Chris, de Lemblay Consulting, a appelé. Il souhaitait que vous le rappeliez pour vous inviter à dîner.
— OK, merci.
Toujours statique, elle est là à m'observer. Quoi ? Qu'est-ce qu'elle a encore ?
— Vous savez, Valérie, le moment est déjà suffisamment gênant. Peut-être faudrait-il que vous sortiez, maintenant.
— Je pourrais le faire gratuitement aussi… vous sucer. Cela ne me dérangerait pas.
— Ah… non, désolé, je ne suis toujours pas intéressé. À vrai dire, j'ai pour règle de ne pas mélanger boulot et sexe.
Cette fois elle abandonne et bat en retraite. Ouf, j'ai cru que jamais je ne réussirais à m'en débarrasser. J'espère qu'elle gardera pour elle ce qu'elle sait. Peut-être que j'aurais dû accepter son offre afin d'être sûr qu'elle ne dise rien aux autres. Elle n'est pas mal foutue, après tout. Non, je ne couche pas au bureau ; je suis un homme de principes… Tsss ! Qui tenté-je de tromper ? Mes principes ont volé en éclats depuis que je me fais passer pour le correspondant secret de ma fille.
Quoi qu'il en soit, coupé dans mon élan, mon excitation s'est envolée. Je décide de me mettre au boulot. Cette fois, je suis sur une bonne lancée et me montre productif durant une bonne heure. Mais mon élan est soudain mis à mal par la vibration de mon nouveau téléphone, signe de la réception d'un message. Pas besoin de demander l'identité de l'expéditeur, vu que seule Maëlle connaît ce numéro.
« Alors, as-tu fini ton affaire ? »
« Non, j'ai été distrait et cela m'a coupé l'envie. Peut-être plus tard. »
« Oh, dommage ! De mon côté, je t'imaginais en train de te faire du bien. Du coup, l'envie était trop forte et je n'ai pas résisté. J'ai glissé ma petite main sous ma jupe et je me caresse en plein cours de philosophie. »
« Vraiment ? Ce n'est pas très sérieux, dis donc, ma petite ! »
« Bah, le prof est imbu de sa personne. Il croit que puisqu'il a lu deux ou trois auteurs, il possède la vérité absolue. Je n'aime pas du tout ses cours. Il fallait bien que je m'occupe autrement ! Du coup, ça passe beaucoup plus vite. »
« N'as-tu pas peur de te faire surprendre ? »
« Ben, j'avais prévu mon coup ; je me suis mise tout au fond. »
« Décidément, tu me surprends une nouvelle fois, ma puce. Je ne m'attendais pas à ça de ta part. »
« Oui, je suis pleine de surprises. Du coup, tu m'accompagnes ? Je m'en voudrais d'être la seule à prendre du plaisir. »
Curieusement, l'imaginer en train de se caresser en plein cours me revigore l'entrejambe. Je me mets donc à mon aise pour faire ma petite affaire. Je sors la culotte de ma fille que j'avais rangée dans mon tiroir et me caresse avec. Je ne tarde pas à être complètement dur.
« Ma chérie, j'ai une faveur à te demander : peux-tu te rendre aux toilettes et prendre une photo de toi ? J'aimerais voir quelle tenue tu portes. » « C'est comme si c'était fait ! A toute de suite. »
Le contact du tissu sur mon gland est très agréable. J'imagine cette culotte frotter sur la vulve de ma fille, puis mes doigts frotter sur cette culotte, puis sur la vulve, et enfin mon gland sur son sexe. Cette fois c'est bon ! Je compte aller jusqu'au bout. Pourvu que personne ne me dérange. Hop, j'ai pensé trop vite : soudain la porte de mon bureau s'ouvre et Valérie me surprend une nouvelle fois en pleine action. Comme tout à l'heure, je sursaute comme un con et tente de me cacher ; trop tard.
— Vous ne savez pas frapper à une porte ? Qu'est-ce qu'il y a encore ? grogné-je à moitié.
— Euh, désolée de vous déranger une nouvelle fois. C'était juste pour vous rassurer, pour vous dire que je ne raconterai à personne ce que j'ai vu tout à l'heure… et puis ce que je viens de voir à l'instant.
— Merci, c'est gentil, mais ça aurait pu attendre, non ?
— Ah, et puis pour vous dire aussi que si vous changiez d'avis pour ma proposition de tout à l'heure, n'hésitez pas à me demander.
— Je vais commencer à croire que vous me harcelez sexuellement, Valérie ! J'avais bien compris la première fois.
— Oui, désolée, je vais vous laisser tranquille maintenant, rougit-elle de honte.
Elle sort de la pièce, mais avant de fermer complètement la porte elle fait demi-tour.
— Une dernière chose : il serait peut-être plus prudent de fermer votre porte à clé.
— Ah oui, merci du conseil… lancé-je, sarcastique.
Cette fois elle disparaît pour de bon. Je me précipite sur la porte et enclenche le verrou avant de la voir débarquer une nouvelle fois. Vraiment, elle a le don de venir au mauvais moment, celle-là ! Elle va finir par me prendre pour un pervers, à force. Bon, elle à l'air loin d'être pudique ; elle ne devrait donc pas trop me juger.
Je retourne sur mon siège et découvre le nouveau message de ma fille : un selfie pris devant le miroir des toilettes. Son sourire est resplendissant et son regard brillant. La jupe qu'elle s'est choisie à l'air assez volage et lui arrive à mi-cuisses. Elle porte aussi une chemise blanche qui lui colle au corps. Mon cœur fond devant une si sublime créature.
« Tu es magnifique, ma belle. Cependant, j'aimerais voir ce que cela donne sans soutien-gorge. Retire-le, STP. Et défais deux boutons tant que tu y es. »
Voilà, une terrible idée vient de me traverser l'esprit, quelque chose qui m'aurait fait bondir d'effroi il y a à peine quelques semaines. Je reçois une nouvelle photo. Celle-ci est plus focalisée sur sa poitrine afin que je puisse admirer le résultat. Eh bien, voilà une nouvelle vision qui me va à ravir. Avec le décolleté créé par les pans de sa chemise, on devine aisément la naissance de sa divine poitrine et ses tétons pointer à travers le vêtement.
« Hum, c'est presque parfait ! Retire encore un bouton et retourne en cours comme cela. »
« Quoi ? Tu es sûr ? C'est peut-être un peu trop osé ! Ce prof est un véritable pervers. D'après ce qu'on dit, il se tape chaque année une à deux de ses élèves. Je devrais peut-être éviter… »
« Oui, peut-être. Mais en attendant, t'imaginer en cours dans cette tenue me rend dingue. Tu es sûre de vouloir éviter ? »
« Bon, d'accord, mais je le fais juste pour ce cours pour te faire plaisir. Après, je reprends une tenue plus sage. Et je veux quelque chose de toi en échange. Montre-moi au moins ta queue : j'aimerais la voir. »
« Très bien, affaire conclue, je t'envoie une photo. »
Merde alors ! Ma coquine de fille veut voir mon sexe… Je m'exécute en faisant attention de ne pas laisser le moindre indice lui permettant de m'identifier. Une fois la photo envoyée, j'ai une légère crise de panique : si un jour elle découvrait la vérité, je ne pourrai pas prétendre que je faisais semblant. Cette photo sera la preuve que la situation m'excitait réellement. Quoi qu'il en soit, Maëlle m'envoie en guise de réponse une émoticône qui rougit et un cœur.
« Ah, j'ai un autre problème, envoie-t-elle juste après. Je fais quoi de mon soutien-gorge ? Je ne vais pas me ramener en philo en le tenant dans mes mains. »
« Je ne sais pas. Cache-le dans un coin et récupère-le après ton cours. »
« Oui, tu as raison, je vais faire ça. »
Et voilà que je pousse ma fille à s'exhiber en pleine salle de classe ! Je deviens dingue… J'espère que tout va bien se passer et que son pervers de prof ne va pas en profiter pour essayer de se la faire. Toutefois je m'imagine à la place du prof ou d'un élève à surprendre ma fille se caresser et à la zieuter faire. Ma main fait de rapides va-et-vient le long de ma hampe.
« Je ne passe pas inaperçue. Mon prof a remarqué tout de suite le changement : il n'arrête pas de me surveiller. »
« Comment tu te sens ? »
« J'ai l'impression qu'il est prêt à se jeter sur moi pour me sauter comme la plus vulgaire des catins ! Je me sens mise à nu, mais c'est excitant. »
« Tu continues de te caresser ? »
« Non, j'ai un peu peur. »
« De sa place, il peut voir sous la table ? »
« Non, je ne crois pas. »
« Alors caresse-toi, ma chérie. Fais-toi plaisir. »
« Tu es dingue ! Mais je t'adore et tu m'excites à mort. Voilà, t'as gagné : mes doigts se glissent de nouveau le long de mes lèvres humides. »
Cette fois, c'est la dernière ligne droite ; je ne suis pas loin d'atteindre l'orgasme. Oui, je suis dingue de pousser ma fille à faire une chose aussi démentielle ! Et si elle se faisait surprendre ? Et s'il en profitait pour abuser d'elle ? Je l'imagine la soumettre à ses moindres désirs. Ma fille, à genoux devant lui, en train de le pomper pour éviter le scandale. Bien sûr, dans mon délire, j'ai pris la place du prof et profite des bienfaits des lèvres de ma belle. Argh, la jouissance me gagne, et je me vide dans la culotte de Maëlle.
Après ça, la matinée ne tarde pas à finir et j'arrive à bosser sans problème le reste de la journée. Le soir, en rentrant, je suis une nouvelle fois déçu en découvrant Maëlle dans une tenue tout ce qu'il y a de plus banale. Au moins, j'ai toujours les photos qu'elle m'a envoyées dans la journée. Nous mangeons rapidement et nous nous retrouvons sur Twibook.
« Au fait, je t'ai rapporté ta culotte, tout à l'heure. Je l'ai déposée là où je l'ai trouvée ce matin. »
« Ah, cool ! Me voilà rassurée, car quand je suis rentrée du lycée j'ai été voir, mais elle n'y était pas. Et comme mon père n'allait pas tarder à rentrer, j'ai eu peur qu'il te surprenne. »
« Non, j'ai fait attention à lui. Ne t'inquiète pas. »
Elle me quitte rapidement le temps d'aller chercher son sous-vêtement. À son retour, elle semble satisfaite de l'état dans lequel elle l'a retrouvée.
« Tu devineras jamais, reprend-elle, je ne sais pas où est passé mon soutien-gorge. Quand j'ai été le rechercher après la philo, il avait disparu. J'ai été obligée de poursuivre la journée sans lui. »
« Vraiment ? C'est marrant, ça ! Et alors, comment cela s'est passé ? Tu n'as pas été embêtée ? »
« Non. En fait, c'était plutôt agréable de se promener sans, et puis personne ne m'a fait de remarques désobligeantes. »
« Très bien. Alors tu es prête à renouveler l'expérience demain ? Pas de sous-vêtements ? »
« Oui ! Ce sera avec plaisir. »
« Très bien. Cette fois je veux que tu mettes un décolleté bien marqué, du genre à laisser rêveurs les mâles des alentours. Tu peux faire ça pour moi ? »
« Je ferai tout ce que tu me demandes. Je finirais même à poil si c'était ta volonté ! »