Ma voisine exécrable
Imaxparis01/12/2024J'habite depuis peu dans un immeuble de deux étages et un rez-de-chaussée dans la banlieue parisienne – dans les Yvelines pour être plus précis. Un département sympa, dont l'accès à la capitale est facilité par l'autoroute de l'Ouest, comme on continue à le dire ici : A13, c'est un peu rébarbatif, vous ne trouvez pas ?
Non loin des commerces et des transports en commun, c'est ici que j'ai trouvé la perle rare. J'ai acheté sur un coup de cœur cet appartement de six pièces en duplex dans un programme qui vient d'être mis en livraison. J'occupe donc les étages supérieurs, le dernier se composant d'une immense pièce à vivre de plus de soixante-dix mètres carrés et d'une terrasse immense qui en fait le tour ; l'étage du dessous est réservé à la nuit et me permet d'héberger ma famille ainsi que mes amis de passage.
Bénéficiant de revenus plus que confortables – j'ai créé ma start-up dans l'informatique et j'ai plus de cinquante collaborateurs et collaboratrices qui travaillent pour moi – je l'ai acheté comptant et l'ai fait décorer par un cabinet d'architecture intérieure renommé. Ils en ont fait un bijou…
Célibataire endurci, je suis âgé de trente-huit ans. Je n'ai aucun mal à trouver des conquêtes d'un soir, voire de quelques mois, mais j'ai du mal à m'attacher. Lors de mon emménagement j'ai invité mes voisins du dessous à prendre un verre, car comme je possède la majorité des millièmes – je suis donc majoritaire – j'ai voulu leur montrer que je n'abuserai pas de cette position dominante. Je leur ai même proposé de devenir le syndic bénévole de cette copropriété.
Mal m'en a pris… Ce jeune couple trentenaire – Chloé et Bernard (quel prénom ringard !) – une fois l'appartement visité et l'apéritif servi, m'a attaqué d'emblée en me disant que je me croyais tout permis, que je faisais du bruit et tutti quanti. Ils m'ont même reproché d'aller à la cave sans les prévenir (je dois passer par un bout de leur propriété pour relever les compteurs d'eau : c'est un droit de passage, une servitude active qui est spécifiée dans les actes de vente).
Devant cette attaque en règle, désarçonné et ne supportant pas ces dires que je ne comprenais pas, je les ai quasiment mis à la porte. La femme fut particulièrement désagréable, quasiment méchante. C'est elle qui mena la barque, et je ne peux vous dire si elle était belle ou moche tant la haine s'exprimait sur son visage.
Les jours ont passé, et au fil du temps nos rapports se sont apaisés. Nous ne sommes pas copains, mais au moins on se dit bonjour et ils acceptent sans rechigner les comptes annuels de la copropriété.
Mais je me suis juré qu'un jour je me vengerais…
L'occasion de le faire s'est présentée un soir aux alentours de vingt-deux heures. Mon portable sonne : c'est ma voisine du dessous, la fameuse Chloé. Je décroche pour entendre une voix affolée me dire qu'il y a une fuite d'eau chez eux, que son mari est en déplacement professionnel à l'étranger et qu'elle ne sait pas où est le robinet d'arrêt.
Nu dans mon canapé au moment de l'appel – j'adore être comme ça dans l'intimité – et vu l'urgence du sujet, j'enfile un jean sans slip et je me précipite à la cave torse et pieds nus.
Je trouve Chloé affolée ne sachant que faire. Elle me voit arriver avec un pauvre sourire de soulagement. En quelques minutes j'arrête l'eau et elle m'accompagne chez eux pour détecter l'origine de la panne. Je trouve rapidement l'origine. Un coup de clé c'est dépanné…
Je remarque alors qu’elle m’observe fixement. Elle est fascinée par ma tenue ; ses yeux exorbités semblent dirigés vers mon entrejambe – il faut dire que mon jean est un moule-bite et que je n'ai pas eu le temps d'enfiler un slip. Elle murmure juste un :
— Merci…
— Pardon, je n'ai pas entendu ! dis-je d'un ton sarcastique.
— Je voulais vous remercier d'être intervenu si vite. J'étais paniquée…
— Vous croyez vous en tirer comme ça ? Après tout ce que vous avez dit sur moi !
— Je regrette… balbutie-t-elle, vous êtes un type bien – la preuve, vous êtes venu – et je ne sais pas comment me faire pardonner. J'ai été odieuse avec vous et je m'en veux encore. Mais pour excuse j'étais dans une période difficile professionnellement parlant.
— Et alors ? C'était suffisant pour être odieuse et me qualifier de personne malhonnête ? Vous avez besoin d'une bonne punition, vous ne croyez pas ?
Avant qu'elle ne réponde, c'est le moment où je la regarde d'un œil nouveau. C'est une belle brune aux cheveux longs tirés en queue de cheval, aux seins lourds, semble-t-il, que l'on devine sous son tee-shirt informe. Ses tétons pointent ; elle n'a pas de soutien-gorge… Son beau visage est magnifié par ses yeux verts, un nez légèrement retroussé et une bouche aux lèvres finement ourlées. Vu l'urgence, elle a enfilé une jupe courte qui moule bien ses fesses et met en valeur ses jambes bien galbées et sans le moindre défaut.
À la voir comme ça, je reconnais par expérience une femme qui, sous ses dehors revêches, est une soumise qui s'ignore. À mon avis, son mec est une larve qui doit se coucher devant elle dès qu'elle émet un son…
— Oui… répond-elle d'une voix incertaine.
Je me rapproche d'elle et la fixe droit dans les yeux. J'ouvre la bouche pour lui dire brutalement :
— Savez-vous ce que l'on fait aux petites filles capricieuses comme vous ?
Elle bredouille un « non » timide… À son attitude, je ne reconnais plus le comportement arrogant du premier jour de notre rencontre.
— On leur donne une fessée : c'est tout ce qu'elles méritent ! Pour vous punir, je vais claquer votre postérieur jusqu'à le faire rougir. Qu'en dites-vous ?
— …
Qui ne dit mot consent. Je la prends alors par le bras et m'assois sur une chaise proche, puis je la mets en position couchée sur mes genoux. Sa poitrine repose sur mon service trois pièces – dans cette attitude elle ne peut ignorer la pleine érection de mon sexe. Aucun son ne sort de sa bouche, on la dirait anesthésiée…
Ayant soulevé sa jupette, je constate qu'elle n'a pas de culotte. Ses fesses blanches et libres sont désormais à ma portée. Je la corrige pendant un long moment – elle crie que ça lui fait mal, mais je n'en ai cure – et se tortille sur mes genoux pour échapper au châtiment, ce qui accroît mon érection. Je m'arrête quelques secondes, écarte ses globes fessiers rougis au maximum et plante un doigt dans son con. Cette salope est en train de jouir : elle mouille au maximum ! Il faut que je me la fasse, elle est désormais conditionnée.
Rien de tel qu'une bonne fellation pour accroître ma domination.
Sans qu'une seule parole ne soit prononcée, je la fais mettre à genoux entre mes jambes et dégrafe mon jean ; mon vit jaillit droit comme un I devant ses yeux. Elle me regarde, soumise, et entame le léchage de mon pieu. Ses lèvres sont divines, j'ai trop envie… Tout en lui tenant la tête j'enfourne ma bite jusqu'au fond de sa gorge et j'éjacule longuement dans sa bouche. Elle tousse, veut recracher ma semence, mais je maintiens ma pression et je lui crie :
— Avale !
C'est la première fois que je la tutoie… mais pas la dernière.
Manifestement matée, je ne dois pas lui laisser de répit. Je l'allonge à même le sol et m'agenouille auprès d'elle. J'écarte ses cuisses et plonge mes doigts dans son antre bouillant. Pendant plus d'une demi-heure je vais baratter sa chatte, la faisant crier sa jouissance. Je m'applique plus particulièrement à stimuler son point G. Des secousses animent son corps qui s'arque plusieurs fois suite aux nombreux orgasmes que je déclenche chez elle. Elle me supplie de la prendre, me dit qu'elle me veut en elle, mais je continue mon travail de sape. C'est ma main qui s'introduit désormais entièrement dans son vagin. Elle hurle au passage de mon poing entier qui distend ses chairs puis s'apaise une fois bien en elle. Mes longs va-et-vient déclenchent des jets de mouille abondants qui révèlent chez elle la « femme fontaine » qui s'ignorait.
Incontestablement épuisée, elle cherche à tout prix à me prendre dans ses bras. Je veux la voir nue, entièrement abandonnée. Je lui retire son tee-shirt informe – un vrai tue-l'amour – et ôte sa jupette. Elle est désormais entièrement à ma merci. Ses gros seins, malgré sa position, sont bien en position et aptes à prendre mon vit entre eux.
Je retire mon jean et me mets à cheval sur elle. Elle regarde avec envie mon sexe arrogant dressé devant ses yeux et comprend ce que j'attends d'elle : elle relève ses mamelles pour enserrer ma queue qui coulisse entre elles. Je pince ses tétons très proéminents, lui faisant pousser de petits cris d'oiseau.
Mon sexe est dur comme de la pierre. Cette femme est vraiment ce que je cherchais depuis longtemps ; jamais je n'étais tombé sur une telle soumise. Ses seules paroles sont grossières et m'invitent à la posséder durement. Il est temps de prendre totalement possession de son corps. Quoi de mieux qu'en levrette ? Je la retourne sur le ventre et la fais mettre à genoux, le cul bien relevé, ses avant-bras posés sur le sol.
Elle est cambrée dans une position que j'adore. Ma bite bien dressée glisse entre ses fesses bien lubrifiées par sa mouille abondante. Mon gland écarte ses lèvres vaginales. Je l'entends haleter dans l'attente de mon intromission qu'elle réclame en agitant son cul. La tête de mon nœud se fraie un chemin dans ses chairs. Elle est grosse, elle semble apprécier. Ça y est, elle a franchi le seuil de son antre je peux alors me déchaîner. D'une seule poussée brutale, rectiligne et inéluctable, je m'enfonce en elle jusqu'à heurter le seuil de son utérus.
Elle pousse un cri et jouit sous cet assaut imprévisible. Je peux alors massacrer son con pendant de longues minutes, l’amenant à l'orgasme plusieurs fois. Endurant, je ne compte pas m'arrêter là, alors je teste avec mon pouce l'élasticité de son anus. Il semble bien étroit et peu apte aux plaisirs sodomites. Elle essaie de retenir ma main, mais comme j'insiste elle s'abandonne enfin. Finalement, elle semble apprécier… Je profite de cet avantage. Ma bite sort de son vagin et, bien lubrifiée pas sa mouille, tente une pénétration anale. Chloé est contractée mais une bonne claque sur ses fesses la libère de ses appréhensions et décontracte ses sphincters. Ma queue entre jusqu'aux couilles sans coup férir : c'est l'estocade !
Je vais alors lui faire la totale, et elle va se laisser faire sans rechigner. Telle une poupée de son, je vais la manipuler pour la baiser, la sodomiser, puis m'enfoncer dans sa gorge où je vais finir avec délice au bout d'un long moment. Sa queue de cheval va m'aider tout au long de mes pérégrinations pour accentuer mes mouvements.
Vidé, je suis prêt à rentrer chez moi ; c'est alors qu'elle m’ordonne :
— Restez !
Tiens, elle continue à me vouvoyer alors que désormais je la tutoie… C'est bon signe !
— Donne-moi une bonne raison de le faire.
— Vous m'avez désinhibée, et je voudrais passer le reste de la nuit avec vous. Vous m'avez traitée comme la femme que j'ai toujours voulu être, uniquement comme votre objet de plaisir, mais avec un plus…
— Ah oui, quoi ?
— Vous n'avez pensé qu'à me faire jouir sans vous préoccuper de votre propre jouissance, et j'ai particulièrement aimé. Restez, j'ai encore envie de vous.
— Je veux bien ; tu es une très belle femme quand tu jouis. Je n'ai pas fini de jouer avec toi. Par contre, c'est chez moi que tu vas finir la nuit. Je veux te prendre dans toutes les pièces de mon duplex ; et puis… j'ai de nombreux jouets à te faire tester. Tu es d'accord ?
Sa réponse ? Ce sont ses lèvres qui me la donnent dans notre premier baiser. Nos langues se découvrent. La sienne sent la bite, le sperme et ses flux corporels. Je le lui dis. On adore tous les deux. Je la prends dans mes bras et, nus tous les deux, nous rejoignons mon duplex où tout le reste de la nuit nous allons faire l'amour comme des gamins dans toutes les pièces, comme je le lui ai promis.
Nous sommes devenus des amants réguliers jusqu'au jour où, ne pouvant plus continuer à lui mentir, elle a avoué notre liaison à son compagnon. Comme il en faisait autant lors de ses voyages professionnels, leur séparation s'est passée dans le calme.
L'appartement (ils l'avaient acheté en commun), ils l'ont mis en vente et je l'ai acheté. Chloé vit désormais chez moi. Nous avons eu un enfant – une fille – et nous nous apprêtons dans les prochains jours à nous marier. Qui aurait cru ça de moi il y a un an ?
Chloé a décidé de ne plus travailler et de se consacrer uniquement à l'éducation de notre fille. Toujours aussi soumise, c'est une bête de sexe qui me comble au plus haut point. Toujours disponible – moi aussi, ne le cachons pas – nos ébats ont lieu au moins une fois par jour et s'achèvent le plus souvent par une sodomie dont Chloé raffole.
Le pluralisme ne nous intéresse pas, et nous vivons parfaitement notre sexualité.
Voilà comment une femme exécrable s'est transformée. Un conte moderne ? Pourquoi pas…