Chapitre 10

Dès leur arrivée à la maison elles filèrent prendre une douche et allèrent directement se coucher tellement elles disaient être mortes de fatigue. Je les rejoignis peu après et j'eus la surprise de les trouver sur le lit en position de soixante-neuf en train de se goder mutuellement chatte et cul ; elles étaient insatiables ! Inutile de dire que ça a eu sur moi un effet stimulant et que je me retrouvai vite en érection totale.

Capucine avait un gode enfoncé profondément dans le vagin ; il ne me restait donc plus que son cul, où je m'enfonçai très facilement et entièrement au fond de son ampoule rectale. Les massages de ses deux sphincters anaux eurent vite raison de mon profond désir et j'éjaculai rapidement dans son fondement. À demi sorti de son anus, je sentis la langue de Juliette venir me lécher le vit pour le nettoyer et terminer le travail.


Les jours passaient ; mes femmes ne me laissaient aucun répit et me stimulaient en permanence tellement elles étaient excitées. L'abstinence partielle durant trois mois les avait échauffées, et pour longtemps désormais. Le barbell droit qui équipait le capuchon de leur clitoris y était aussi pour quelque chose en excitant en permanence leur bouton d'amour. Heureusement qu'elles avaient leurs études à poursuivre et moi mon travail, sinon elles auraient risqué de m'achever… La venue de leurs règles était aussi un répit partiel ; malheureusement, elles ne les avaient pas ensemble !

Vu leur insatiabilité, je devais trouver une solution, malgré notre présence fréquente dans le club libertin auquel nous étions inscrits. J'eus alors l'idée de mettre dans le coup mon meilleur ami, médecin libéral, célibataire, qui était au courant de ma situation. Il y a quelques années, il était fréquent qu'au cours d'une soirée nous échangions ou partagions nos conquêtes respectives. Au début, cela a donné lieu à des crises de fou-rire lorsque, pour la première fois, lors d'une tentative de double pénétration de notre partenaire mutuelle, nos sexes bandés se sont trouvés accolés et se sont touchés… Il s'en est suivi que nous avons débandé et que la fille a dû nous ranimer pour obtenir satisfaction et avoir un orgasme géant, à ses dires, pour sa première double pénétration qui ne fut pas la dernière ; nous en avons bien profité…

Patrick – c'est son prénom – était un bel homme noir de mon âge, avec un appétit sexuel important. Il passait son temps à draguer sur Internet et se contentait d'étreintes éphémères car il ne tenait pas à s'attacher. Ces rencontres le laissaient frustré, et il aurait bien aimé baiser sans préservatif, ce qui ne pouvait se faire que dans le cadre d'une relation suivie. Comme il était à la recherche d'un logement, je lui proposai de venir habiter avec nous ; ainsi, il pourrait profiter de mes deux coquines. Je lui précisai que j'aimais Capucine – il le savait déjà – et que j'aurais toujours la priorité sur elle.

Pour préparer le terrain, je l'invitai à un apéritif dinatoire pour lui présenter mes deux belles qu'il ne connaissait pas encore. Je leur expliquai qu'elles devraient être gentilles avec lui comme elles l'étaient avec moi et qu'il serait inutile de mettre des préservatifs car il était clean.

Dès son arrivée, je vis que Juliette était très attirée par lui. Ma Capucine semblait intéressée elle aussi, mais au regard qu'elle me porta je sentis qu'elle n'était pas prête à m'échanger. Juliette vint vers moi et en aparté me susurra :

— C'est une belle surprise, ton meilleur ami ; j'ai déjà envie de l'essayer. Il est aussi bien membré qu'on le dit des Noirs ?
— Ça, tu t'en rendras compte par toi-même quand tu le verras à poil !

Nous nous installâmes dans les canapés et mes femmes firent le service. Leurs robes, très courtes, virevoltaient au gré de leurs mouvements et montraient que mes deux cochonnes ne portaient pas de culotte. Les décolletés plongeants laissaient pratiquement voir entièrement leurs jeunes seins magnifiques et leurs tétons qui pointaient de temps à autre en dehors du tissu, comme une incitation à venir les mordiller ou les sucer.

Patrick était subjugué. Il me dit que j'avais bien de la chance de les avoir ; je lui répondis qu'elles seraient aussi à lui dès qu'il viendrait habiter à la maison. Les filles sursautèrent à ces mots, et c'est Capucine qui réagit :

— Patrick va venir vivre avec nous ?
— Oui ; à la fin de la semaine, il emménage ici.
— On fera l'amour tous ensemble ?
— Exactement, ma chérie. La maison va devenir un vrai lupanar !
— On peut déjà essayer ? demanda Juliette.

Elle n'attendit pas mon assentiment et vint s'asseoir à califourchon sur les genoux de Patrick, qui se retrouva avec la poitrine de Juliette sous le nez. Il pencha la tête, écarta le tissu de sa robe et vint téter son sein gauche. Celle-ci frotta son minou sur la bosse déjà conséquente que faisait son pantalon et sembla apprécier sa grosseur. Patrick, trop impatient de se faire une minette aussi assoiffée de sexe, libéra sa queue de son pantalon et l'emmancha littéralement sur son chibre.

— Oh, qu'il est gros ! s'écria Juliette. Tu as bien fait de l'amener ici ; je sens qu'on va bien s'amuser…

À ces mots, elle se souleva légèrement, écarta ses fesses qu'elle me présenta et me dit :

— Allez, Hervé, viens nous rejoindre. J'ai trop aimé la double pénétration, l'autre fois. Viens m'enculer ; je veux des bites partout.

Je ne fis ni une ni deux, et j'accédai à son désir après avoir retiré mon futal. Elle se retrouva alors doublement pénétrée par nos deux queues qui entrèrent en action immédiatement, se frottant l'une à l'autre, séparées uniquement par la fine paroi qui séparait son cul de son con ; cela nous rappela des souvenirs… En quelques secondes, Juliette eut son premier orgasme et cria sa joie d'être ainsi baisée.

Nous la défoncions sans relâche ; sa mouille inondait le pantalon de Patrick. Elle hurlait. Capucine vint nous rejoindre et se mit entièrement nue. Elle m'arracha la chemise et frotta sa poitrine contre mon dos ; je tournai la tête pour l'embrasser. Sa bouche me dévorait, sa langue s'enroulait autour de la mienne, me montrant qu'elle me voulait. Je ne pus résister et je déculai de Juliette qui avait joui pour la énième fois. Capucine me prit en bouche et me pompa comme si c'était la dernière fois. Je ne lui laissai pas le temps de me faire jouir ; je la soulevai par les anneaux qui perçaient ses tétons. Elle cria de douleur. Je la tournai dos à moi, la penchai sur Juliette et la sodomisai à son tour, à sec, sans aucune préparation. Elle poussa un long cri d'agonie tant la percée était violente mais ne tarda pas à changer de registre quand j'accélérai mes mouvements. Ce ne furent plus que des cris de plaisir, entrecoupés de mots ou d'expressions salaces :

— Encule-moi ! Baise-moi ! Plus fort ! Défonce-moi !

Patrick avait achevé Juliette et joui en elle pour la première fois. Libéré, il s'intéressait à Capucine et, intrigué, tira légèrement sur les anneaux qui ornaient ses seins. Dans les mouvements que nous faisions, Juliette se retrouva assise sur le canapé, écroulée de fatigue ; Capucine la remplaça. Patrick n'eut plus qu'à ajuster son vit, et c'était maintenant Capucine que nous pénétrions doublement ; on voyait dans son regard qu'elle appréciait ce traitement, et c'est de concert que nous avons joui ensemble, tous les trois, pour la première fois.
Depuis cet apéritif mémorable, inutile de vous dire que ce soir-là nous avons usé et abusé de leurs jeunes corps jusqu'à l'aube !


Depuis, nous vivons ensemble. Juliette et Patrick sont tombés amoureux l'un de l'autre, et je continue à filer le parfait amour avec Capucine. Nos amours débridées, sans aucun tabou, laissent libre cours à nos imaginations respectives, au point que nous allons de moins en moins dans des clubs libertins. Nous pratiquons désormais le SM léger et nous avons équipé une pièce pour ça ; nos femmes sont fouettées régulièrement et doublement pénétrées dans toutes les combinaisons possibles : anale, vaginale, ou anale et vaginale. Nous ne leur laissons aucun répit, et elles sont désormais comblées.

Néanmoins, il leur manquait quelque chose ; et pour cela, elles nous ont piégés : sans nous prévenir, elles ont cessé toute contraception et se sont retrouvées enceintes au même moment.

Elles ont voulu accoucher le même jour ; comme Patrick est médecin, elles ont pu le provoquer au jour dit. La surprise fut générale, car au contraire de ce que l'on aurait pu attendre, Juliette a mis au monde une petite fille blanche et Capucine une petite fille noire.

Pour une surprise, ce fut une surprise !