Capucine
Imaxparis2017Chapitre 6
Je comptais profiter de cet intermède que j'avais ménagé pour reprendre des forces.
— Voilà : j'ai à ma disposition un sac plein de gadgets sexuels, certains plus hard que d'autres. Le jeu va consister à vous les faire essayer tous.
— Oh, ça va être amusant ! s'exclama Juliette.
— Je ne suis pas sûre que tu les apprécies tous… lui répondit Capucine. Certains font souffrir – je les connais – mais d'autres m'ont l'air plus redoutables, dit-elle en désignant un fouet et un étau à seins.
— Je n'ai pas l'intention d'abîmer vos corps magnifiques, mais juste vous montrer qu'une douleur graduée et contrôlée peut vous amener au plaisir sublime.
Pour commencer, je pris deux œufs vibrants que je leur tendis. Je leur demandai de les introduire au fond de leur vagin en s'aidant de la bombe de lubrifiant et de se mettre à quatre pattes sur le lit en tendant bien leurs petits culs. J'équipai chacun des nichons de Juliette avec des pinces à seins, ce qui la fit pousser de petits cris lors de la pose.
La poitrine de Capucine était plus importante. Je choisis d'installer de préférence les étaux à seins sur elle en tirant sur ses tétons pour les faire passer entre les deux barres de plastique souple équipées d'une charnière à un bout et réunies à l'autre extrémité par une grande vis avec un écrou à oreilles. En serrant chaque vis, ses doudounes étaient compressées à la limite du bleuissement.
— Courage, ma chérie ; c'est pour moi que tu le fais, lui dis-je alors qu'elle était au bord de la crise de larmes tant la douleur était forte au début.
Elle tourna la tête vers moi pour que je lui baise les lèvres et la rassure.
Je complétai le tableau en insérant dans leur anus deux plugs de taille modérée, et je mis en marche, avec la télécommande, les deux œufs vibrants. On entendit un léger ronronnement ; le résultat ne se fit pas attendre : leurs fesses furent agitées d'un tremblement tandis que leurs corps s'aplatirent sur le lit. Je les fessai alternativement, de plus en plus fort, jusqu'à les faire rougir, mais ce n'était pas suffisant. Je pris le fouet et le fis claquer sur les postérieurs pour les faire crier. Je n'insistai pas car il n'était pas question de les abîmer.
— Allez, maintenant vous vous prenez dans les bras et vous vous caressez jusqu'à la jouissance finale. N'oubliez pas de vous travailler mutuellement les seins et de serrer vos pubis l'un contre l'autre, comme les bonnes gouines que vous êtes.
Je réglai au maximum la vibration des œufs et je m'installai dans un fauteuil pour voir le résultat de leurs ébats.
Pendant plus d'une demi-heure elles se roulèrent dans le lit, se tirant les tétons, se roulant des pelles d'anthologie. Ce n'était que succession de cris, de hurlements, de halètements – de douleur ou de plaisir, difficile à dire. Leurs orgasmes s'enchaînaient. Elles me réclamaient de venir les baiser, les enculer. Elles criaient leur bonheur d'être dominées par un homme qu'elles aimaient. Je résistai jusqu'à l'explosion finale où, s'écroulant sur le dos, définitivement repues, je vins éjaculer dans la bouche de Capucine qui s'empressa, dans la foulée, de partager mon sperme avec Juliette.
Je les déséquipai, leur donnai un baiser sur les lèvres et m'installai entre elles ; puis, leur prenant à chacune tendrement une main, je m'endormis avec mes deux femmes jusqu'au petit matin.
Je fus réveillé assez tôt car j'avais oublié de fermer les volets, ce qui se comprend après le déroulement de cette folle nuit… Capucine et Juliette dormaient toutes deux en chien-de-fusil, l'une sur le côté gauche, l'autre sur le droit, leurs mignons petits culs tournés vers moi.
Je réfléchis à ce que pourrait être notre avenir car je les aimais bien toutes les deux, avec néanmoins une préférence pour Capucine, plus femme que Juliette, surdouée, mieux proportionnée, ses seins magnifiques en harmonie avec ses fesses. Autant je me voyais avoir une relation suivie avec elle – ses parents étant éloignés, donc libre de ses mouvements –, autant ce serait difficile avec Juliette qui habitait avec sa mère divorcée. Elle ne pourrait pas lui dire tous les soirs qu'elle venait passer la nuit chez moi… et que ce serait pour des relations incestueuses débridées. Par contre, je me voyais bien la baiser de temps en temps, seule ou avec sa copine, ici chez moi ou dans une boîte d'échangistes ou au cours de partouzes organisées.
Elles avaient du potentiel toutes les deux pour qu'elles deviennent, dans un jeu commun, mes esclaves sexuelles.
Il était temps de les réveiller en douceur. Je les fis mettre sur le dos, délicatement. Elles dormaient tellement profondément que c'est à peine si elles poussèrent un grognement. J'écartai leurs cuisses pour avoir un libre accès à leurs abricots et j'entrepris de lécher d'abord celui de Juliette. Goûteux à souhait, il débordait déjà de cyprine, probablement un rêve érotique. Je passai ma langue entre les lèvres de son sexe pour l'enfoncer dans son vagin puis la ressortis pour sucer son clito et ainsi la mener au plaisir en quelques secondes. Je ne lui laissai pas le temps de réagir et j'entrepris celui de Capucine. Depuis la veille au soir, je n'avais utilisé que sa bouche ; elle devait se sentir frustrée. À peine avais-je touché l'intérieur de son sexe qu'elle s'éveilla, m'attira vers elle pour que je la couvre de mon corps.
— Je t'en supplie… fais-moi l'amour, j'en meurs d'envie. J'ai besoin de ta bite. Baise-moi ! Donne-moi ta bouche, j'ai envie de partager nos sucs mutuels !
— Tes désirs sont des ordres, dis-je en riant.
J'appliquai mes lèvres sur les siennes – sa bouche avait encore le goût de mon sperme – et nos langues se mêlèrent dans un baiser fougueux. Mon corps se pressait avec force contre le sien, écrasant sa poitrine, ma pine durcie se frottait contre son pubis, ses ongles s'enfonçaient dans mon dos. Me soulevant légèrement, je caressai ses seins puis je fis descendre mes mains sur ses fesses et je fis glisser mon sexe vers son antre qui n'attendait que moi. Le visage de Capucine respirait le bonheur, son corps le désir, faisant dégouliner sa chatte déjà accueillante. Je n'eus aucun mal à m'enfoncer en elle malgré son étroitesse due à sa virginité récente. Elle m'accueillit avec un cri de joie et prononça ces paroles :
— Oh, comme c'est bon, mon amour ! J'ai tellement envie de toi… Je n'en peux plus. Défonce-moi, fais-moi crier ! Encule-moi si tu veux, finis dans ma bouche ou ma chatte, je suis ta chose ! Je t'appartiens ! Je t'aime !
C'est à cet instant précis que je m'aperçus que j'étais aussi tombé amoureux d'elle ; sans me préoccuper de Juliette qui nous regardait faire, je lui dis :
— Je vais t'avouer une chose, Capucine. Depuis que j'ai divorcé, tu es la première femme à qui je vais le dire : je t'aime moi aussi ; je ne peux pas me passer de toi, j'ai trop envie de ton corps, je veux te baiser jusqu'à plus soif.
J'avais à peine fini ma phrase que cela déclencha chez elle comme une tornade. Elle me serra avec vigueur dans ses bras et sa bouche reprit la mienne, mordant mes lèvres. Mon vit la perforait de plus en plus profondément. Dans un ample mouvement je la fis basculer sur moi, puis je lui fis relever le corps ; elle poussa un cri car dans cette position la pénétration était totale. Ses seins arrogants me narguaient pour me pousser à les sucer, ce que je fis en les empaumant. Elle entama alors un mouvement alternatif, montant et descendant sur mon pénis, à son rythme, en criant des mots d'amour. J'en profitai pour lui mettre un doigt dans le cul. Elle crut que je voulais la sodomiser, mais ce n'était pas ma volonté : je voulais jouir d'elle au maximum pour finir dans sa chatounette, normalement.
Je la fis coucher sur moi pour mieux prendre le contrôle des opérations, pilonnant sa foufoune à la cadence d'un métronome fou jusqu'au moment ultime où ensemble – elle poussant un hurlement de bonheur, moi éjaculant en elle – un orgasme puissant, violent, s'empara de nous. Son corps brûlant s'écrasa sur moi, épuisé, respirant le bonheur.
— Vous avez été splendides, dit Juliette, tellement que j'ai dû me masturber pour évacuer le désir que vous avez fait monter en moi. Mon cousin est un amant formidable, mais je vois que vous vous êtes trouvés et je ne voudrais pas gâcher ces instants par ma présence. Je ne te remercierai jamais assez, Hervé, de m'avoir redonné goût aux hommes. Je suis ta cousine, et jusqu'à présent tu n'étais qu'un fantasme pour moi ; mais comme tout fantasme, une fois réalisé, on revient à la réalité. J'ai aimé tout ce que nous avons fait ensemble, tous les trois depuis hier soir, mais je ne suis pas amoureuse de toi. Si de temps en temps on peut remettre ça, je serai toujours partante ; mais ce sera simplement si vous êtes d'accord tous les deux.
Émue, Capucine lui répondit :
— Oh, ma chérie, j'aurai toujours envie de toi, de ton corps ; et si Hervé le veut bien, j'aimerais que nous ayons des séances de baise comme cette nuit. Viens que je t'embrasse ! dit Capucine en prenant Juliette dans ses bras pour qu'elles se roulent une pelle, leurs corps nus se pressant l'un contre l'autre.