Chapitre 7

Avec Capucine, nous filions le parfait amour depuis plus d'un an ; dans notre entourage, personne n'était au courant, y compris ses parents. Nous nous retrouvions parfois tous les trois pour des séquences « rétro » torrides.

Nos relations étaient un peu compliquées car nous n'habitions pas ensemble. Capucine chez ses parents, loin de leur domicile principal une grande partie de l'année, ne pouvait pas venir s'installer chez moi sans provoquer un drame familial : leur fille, une « gamine » de dix-huit ans et demi avec un homme de quarante-huit ans ! Quand ils étaient là, nous ne pouvions nous voir que rarement, et peu souvent toute une nuit. Juliette, parce qu'elle vivait avec sa mère divorcée – elle ne voyait plus son père parti un beau jour sans laisser d'adresse – ne pouvait que rarement découcher. Tel était le sort de mes « deux femmes », tributaires des deniers familiaux parce qu'encore étudiantes. Cette situation avait aussi un corollaire : je ne pouvais pas mettre en application des programmes d'initiation un peu plus durs dont les traces ou les signes auraient mis la puce à l'oreille de leur entourage.

Un événement dramatique autant qu'inattendu vint modifier entièrement notre vie à tous les trois. Les parents de Capucine, riches négociants en vins, possédaient un avion de tourisme qu'ils utilisaient pour se rendre dans leur propriété sur la Côte d'Azur. Ils y amenaient quelquefois la mère de Juliette avec qui ils étaient amis. Pour une raison inconnue, leur avion se crasha ; il n'y eu aucun survivant. Juliette et Capucine se retrouvèrent orphelines, majeures, avec un considérable héritage à gérer.

Dès la connaissance de cette nouvelle, je pris les choses en main pour les aider à traverser ce que je considérais, à tort, comme une horrible période pour elles. En fait, elles n'éprouvèrent – pour des raisons différentes – ni l'une ni l'autre aucun chagrin. Juliette parce qu'elle apprit que sa mère lui avait caché que son père était mort d'overdose au Brésil deux ans après sa naissance, Capucine pour avoir été laissée à l'abandon, sans affection, depuis plus de deux ans. Capucine eut d'ailleurs une réaction étonnante : alors que je la prenais dans mes bras pour la consoler, elle se laissa glisser, se mit à genoux, me débraguetta, sortit mon sexe pour l'emboucher et, me regardant dans les yeux, me déclara :

— Maintenant, je suis toute à toi ; il n'y a plus aucun obstacle. Si tu veux, je peux venir vivre définitivement ici avec toi. Tu pourras disposer de moi à toute heure du jour ou de la nuit sans aucune entrave. On pourra même faire venir Juliette. Qu'en dis-tu ?
— Je suis pour ! dis-je en lui souriant. Mais êtes-vous sûres de le vouloir, avec Juliette ? Car désormais il n'y aura plus aucune limite : je peux marquer vos corps, vous faire subir les pires outrages, vous prêter à d'autres hommes ou femmes…
— Je lui en ai déjà parlé ; elle est d'accord. Nous n'avons plus que toi désormais comme famille.
— Déshabille-toi !
— Quoi ?
— Je te dis : déshabille-toi !

Capucine s'exécuta immédiatement et j'en fis de même. Je m'assis sur une chaise, l'attirai dos à moi, la fis se baisser pour faire pénétrer ma queue déjà dure que je dirigeai directement vers son anus afin de l'empaler ainsi, entièrement, jusqu'à toucher mes couilles. Depuis son initiation, elle aimait se faire prendre par le cul, ce qui n'était pas pour me déplaire. C'est une position que nous adorons car elle laisse cours à mon imagination débordante et, comme vous le savez déjà, Capucine apprécie énormément cette qualité. J'ai en effet accès à son sexe dans lequel je peux introduire mes doigts, voire ma main ou un godemichet vibrant, et à sa poitrine et ses tétons proéminents que je peux travailler à ma guise. De son côté, elle peut se faire jouir à son rythme, se titiller le clitoris ou bien – ce que j'aime particulièrement – me branler la bite qui défonce son fondement.

En quelques minutes, alors que je lui écrasais simultanément les pointes de ses seins, je la menai à l'orgasme qu'elle manifesta en poussant un long cri. Après quelques minutes de repos, Capucine se décula et se mit face à moi :

— Alors, tu veux de nous ?
— Oui, mais j'ai plusieurs conditions.
— Lesquelles ?
— Je veux qu'en signe de soumission vous vous fassiez percer les tétons et le capuchon du clitoris pour y installer des anneaux ; comme ça, je pourrai me livrer à des jeux plus subtils avec vous.
— Mais ça doit faire mal…
— Juste au moment du passage de l'aiguille dans le téton ou le capuchon, mais après c'est juste une gêne. Tu verras, ça stimulera de façon permanente vos clitoris et accroîtra vos sensations et votre plaisir pendant l'acte sexuel.
— Si tu le veux, on le fera.
— Je veux aussi que vous vous fassiez tatouer mes initiales sur votre sein gauche – le côté du cœur – sous le téton pour montrer que vous m'appartenez. On est d'accord ?
— Oui : on sera tout à toi.

Je n'avais pas eu le temps de jouir dans son cul ; alors, sur mon injonction, Capucine se mit à genoux pour venir me finir avec sa bouche, ce qu'elle fit avec délicatesse en avalant tout comme à son habitude sans exprimer aucun dégoût, ainsi que je le lui avais enseigné.
Je déroulai alors le scénario de notre vie future :

— Vous allez venir vous installer le plus rapidement possible chez moi, le temps de régler vos affaires personnelles et de déménager ; vous serez alors entièrement à ma disposition. Je vais faire installer un grand lit dans la chambre pour que vous puissiez partager ma couche et faire en sorte que nos jeux amoureux soient facilités. Vous poursuivrez vos études, toi de commerce, Juliette d'ingénieur, et nous aurons une vie sociale normale. Aux yeux des autres, tu seras ma compagne attitrée puisque tu es celle que j'aime…

À ces mots, je vis son visage se baigner de larmes ; je poursuivis :

— … et ma cousine, en tant que colocataire dans cette grande maison. Demain, nous irons vous faire équiper et tatouer dans une boutique spécialisée. Il ne faut pas tarder car la cicatrisation prend un peu de temps. Pendant cette période, il vaudra mieux que je n'utilise pas vos sexes : je ne pourrai que vous sodomiser ou utiliser vos bouches divines pour me satisfaire. Tu peux appeler Juliette pour qu'elle vienne nous rejoindre ; j'ai hâte de fêter cet accord ! Dis- lui de venir nue avec juste son manteau sur le dos ; quant à toi, tu restes comme ça en l'attendant. Pendant ce temps-là, afin de te rassurer, tu pourras lire ces instructions que j'ai trouvées dans Wikipédia et qui décrivent ce que l'on va vous faire demain.

Capucine, après avoir appelé Juliette, lut les informations suivantes :

Le piercing au capuchon du clitoris est aussi appelé piercing hood. Il est beaucoup plus fréquent que le piercing au clitoris puisqu'il permet de stimuler le clitoris sans qu'il n'y ait un risque de désensibilisation. Le capuchon du clitoris est le petit bout de peau qui recouvre le clitoris. Lorsque ce capuchon est percé verticalement, la stimulation sexuelle sera plus forte, voire permanente. Dans ce cas, l'extrémité du piercing repose directement sur le clitoris. D'après les témoignages, il s'agirait même d'une sensation unique qu'aucune autre méthode ne peut apporter. Le piercing au capuchon du clitoris horizontal permettrait aussi d'obtenir des sensations uniques, mais dans ce cas c'est plutôt l'esthétisme qui motive l'acte. Au moment de percer le capuchon du clitoris, on utilise généralement un guide pour éviter de toucher le clitoris lui-même avec l'aiguille. La cicatrisation dure de deux à quatre mois.

Le piercing au téton le traverse horizontalement, en passant en dessous ou au milieu selon sa proéminence. La douleur du piercing au téton est plutôt intense ; on sent bien l'aiguille passer ! On sent ensuite chaque fois une petite douleur pendant quelques jours quand on respire et qu'on étire donc la peau. Certains pierceurs utilisent une crème anesthésiante pour limiter la douleur. La cicatrisation dure de deux à quatre mois.

Inquiète après avoir lu ces descriptions, elle me demanda :

— Tu veux que nous soyons très réceptives sexuellement parlant, mais que nous devrons avoir mal pour ça ?
— Oui. Je veux que vous deveniez des reines du plaisir, et souffrir un peu pour cela. Ce ne sera que le temps de quelques minutes, et juste pour me faire plaisir.
— Mais… on ne le fait pas déjà, te faire plaisir ?
— Si, mais maintenant vous le serez à plein temps pour satisfaire en plus des gens que je vais vous faire rencontrer.
— Hommes et femmes ?
— Qu'importe ; de toute façon, vous êtes bi.
— Tu as raison ; et puis je suis amoureuse de toi, et tu sais déjà que tu peux tout obtenir de moi et que Juliette me suivra. Vivement demain ! Tiens, ça sonne : ce doit être elle.

Effectivement, c'était elle. À peine entrée, elle ouvrit son manteau pour me montrer qu'elle avait obéi et qu'elle était nue dessous.

— Tu es magnifique, ma chérie, lui dit Capucine en se jetant dans ses bras.

Elles s'étreignirent avec force, leurs bouches se dévorant mutuellement, chacune pelotant les fesses de l'autre. C'est Juliette qui prit la parole la première :

— Si tu savais comme je suis heureuse de venir vivre avec vous deux ! Je suis comme dans un rêve, mais éveillée… À partir de maintenant je suis à toi, Juliette ; je suis à toi, Hervé.
— Non : vous êtes à moi uniquement ; et accessoirement, quand je le désirerai, vous pourrez être l'une à l'autre. Allez, montrez-moi comment vous pouvez me rendre heureux ; prenez des initiatives et faites-moi jouir.

Dès lors se déroula un ballet bien réglé. Juliette s'assit par terre, la tête posée en arrière sur le canapé. Capucine me poussa et me fit asseoir, le cul posé sur son visage. Je sentis immédiatement la langue de Juliette entreprendre mon anus pendant que ses mains s'activaient vivement sur mon chibre qui ne tarda pas à durcir sous l'action de ces traitements conjugués. Capucine s'empara alors de mon sexe pour l'emboucher afin de pratiquer sur moi une douce fellation dont elle avait le secret, prenant bien soin de caresser mes couilles. Je lui demandai alors de se positionner la tête en bas entre mes jambes, ses cuisses reposant sur mes épaules. Cette acrobatie permettait à mon sexe de bien s'enfoncer au fond de sa gorge, et mes mains pouvaient caresser ses seins, plutôt les malaxer et pincer ses tétons. J'avais accès à son doux abricot que je m'empressai de bouffer sauvagement. Le haut de mes cuisses l'empêchait de tomber par terre, laissant ses mains libres d'atteindre la chatte de Juliette pour la branler allégrement…

La langue de Juliette avait pénétré mon cul et me massait agréablement l'intérieur, tel un petit sexe. Je ne suis pas bi, mais j'avoue apprécier une telle caresse.

Sous ces actions simultanées, Capucine eut plusieurs orgasmes. Juliette n'était pas en reste : ses couinements, étouffés par mes fesses, montraient qu'elle avait joui elle aussi plusieurs fois. Je ne pus tenir plus longtemps et j'éjaculai longuement dans la bouche de Capucine.

Il était temps de se reposer car la journée de demain allait être longue…