Chapitre 3

Je mis le couvert ; elle m'aida du mieux qu'elle put dans cette tâche, ne sachant où étaient les choses. Nos corps se frôlaient, électrisés dès qu'ils se touchaient. Plusieurs fois je la pris dans mes bras, dos à moi, pour lui masser ses seins fermes et lui exciter les pointes, ma bite déjà douloureusement tendue dans sa raie culière.
Je ne me lassais pas d'avoir envie d'elle mais je voulais qu'elle se repose un peu pour mieux remettre ça après avoir dîné.

Je fis sauter le bouchon de la bouteille de champagne que j'avais mise au frais pour nous servir deux coupes et trinquer.

— À la nôtre, Capucine, et à tout ce que je vais te faire encore découvrir. Femme tu es, salope tu seras ! dis-je en riant.
— Pourquoi ? Je ne suis pas déjà ta salope ?
— Non, pas encore. Je vais te faire découvrir d'autres chemins dont tu ne soupçonnes pas encore l'existence.
— Tu me mets l'eau à la bouche… Dis-m'en plus !
— Où serait la surprise alors ? Je me dois de t'étonner.
— Tu l'as déjà bien fait en à peine deux heures…
— Ce n'était que les hors-d'œuvre ; d'ailleurs, à propos, goûte-moi ces noix de Saint-Jacques…

Notre dîner en tête-à-tête se poursuivit et nous fîmes mieux connaissance. Capucine était en prépa pour entrer dans une grande école de commerce. Elle avait obtenu 18 de moyenne à son bac scientifique. Je détectai une grande intelligence de sa part et une soif d'apprendre sans limite. Elle me posa beaucoup de questions sur mon métier et sur ma vie personnelle. Pourquoi nous avions divorcés mon ex-femme et moi et si nous avions eu des enfants ? Des enfants, non, et c'est probablement la raison qui nous avait poussés à nous séparer. C'est aussi pour ça que j'étais proche de ma cousine Juliette…

Entraînés par notre conversation, le champagne coulait à flots ; nous avions entamé une deuxième bouteille après avoir fini le dessert. Capucine commençait à devenir pompette. Je me levai de table, pris la bouteille de champagne dont j'avais dégarni le col du papier métallique qui l'entourait et lui pris la main pour l'emmener s'asseoir, sur mes instructions, les fesses au bord du canapé. Je lui fis écarter largement les jambes pour bien dégager et ouvrir son abricot, sa tête reposant sur l'appui-tête. Je glissai le goulot, à l'horizontale, entre les lèvres de son sexe et je le fis coulisser dans un lent mouvement de va-et-vient, veillant à ce que, par moments, il vienne toucher son clitoris.

Capucine fermait les yeux, savourant cette nouvelle initiative de ma part ; ses gémissements venaient le confirmer. L'alcool l'avait totalement désinhibée. Je relevai légèrement la bouteille et fis pénétrer le goulot lentement à l'intérieur de sa vulve, sans forcer, attendant que ses chairs intimes s'ouvrent d'elles-mêmes. Elle me regarda d'un air étonné, cherchant à savoir ce que je voulais faire.

— As-tu déjà goûté du champagne au jus de jeune fille et au sirop de corps d'homme ? dis-je en riant.
— Non, mais je m'attends à tout maintenant avec toi ! répondit-elle avec un sourire moqueur.

Je relevai alors complètement la bouteille dont le contenu pétillant vint se déverser dans le récipient naturel que formait son vagin.

— Tiens la bouteille comme ça, et contracte tes muscles internes pour empêcher le liquide de s'échapper. Je reviens.

J'allai chercher dans le buffet un saladier que je plaçai sous ses fesses. Elle se tortillait, probablement sous l'effet du liquide alcoolisé pétillant qui devait exciter ses chairs intimes. Je retirai la bouteille – presque vide – de sa moule et lui demandai de se retenir encore pour ne rien laisser échapper. Je savais maintenant que son clitoris était très sensible. J'entrepris de travailler la zone avec ma langue pour bien le dégager afin qu'il se redresse pour que je puisse le suçoter et l'aspirer facilement. Capucine, sous cette action, ne tarda pas à avoir un nouvel orgasme qui lui fit libérer dans le saladier tout le champagne qu'elle avait accumulé dans sa fontaine du plaisir.

— À la tienne, ma chérie !

Et je lui tendis le saladier pour qu'elle s'abreuve de son contenu. Si je l'avais laissée faire, elle aurait tout bu tant elle était excitée, mais je voulais ma part et la baiser – mieux, la défoncer – ensuite tant cet épisode m'avait procuré un désir d'elle encore plus grand.

— Alors, c'était bon ?
— Oui ; c'est surprenant, nos sucs intimes mêlés au champagne. J'aime bien. On devrait le breveter…

Après avoir bu moi aussi, je m'assis sur une chaise et demandai à Capucine de venir s'empaler, dos à moi, sur mon sexe tendu qui n'attendait que cela. Elle me fit entrer en elle lentement jusqu'à ce que mes couilles touchent ses fesses. Je pris ses seins et les malaxai comme j'aimais désormais le faire. Comprenant vite ce qu'il fallait faire, elle nous fit l'amour à un rythme endiablé jusqu'au moment où, n'y tenant plus, nous jouîmes ensemble, elle en m'inondant de sa mouille, moi en éjaculant au fond de son vagin.

Le temps avait passé très vite ; il était plus de minuit. J'étais étonné de mes performances à mon âge : son jeune corps, vierge encore il y a quelques heures, m'avait stimulé. J'avais besoin de récupérer mais je voulais la mener au paroxysme de la jouissance et de l'obéissance, et je comptais mettre à profit le reste de la nuit pour ça. J'avais un plan diabolique qui répondait à mes désirs tout en me permettant le repos dont j'avais besoin.

— Tu n'es pas en état de rentrer chez toi maintenant. Tu as quelque chose de prévu aujourd'hui ?
— Non, ce sont les vacances scolaires et je suis libre pendant quinze jours.
— Tu n'en profites pas pour rejoindre tes parents ?
— Non, ils sont en voyage aux USA.
— Tu veux rester et passer le reste de la nuit avec moi ?
— Oui, et même plus longtemps si tu veux… dit-elle avec un sourire radieux.
— Allez, viens, allons dans ma chambre ; j'ai un nouveau jeu à te proposer.
— Je suis curieuse de le découvrir ; tu as tellement d'imagination… Je te suis.

Je pris au passage le sac qui contenait tous les accessoires que j'avais achetés au sex-shop.
Le lit, un « king size », occupait le centre de la pièce. La salle de bain en occupait le fond, sans séparation, comme on peut le voir dans les décorations modernes.

— C'est magnifique ! J'aime beaucoup. Tu as bon goût…
— Maintenant, tu vas te laisser faire et m'obéir sans discuter. Tu es d'accord ?
— Est-ce que, depuis que je suis ici, j'ai refusé quoi que ce soit ?

Je ne répondis pas. Je l'amenai près du lit et la fis allonger sur le dos, bras et jambes largement écartés. Je pris ses poignets, fixai des menottes et les attachai aux montants du lit. J'en fis autant pour ses chevilles. Dans cette position, bras et jambes en croix, elle était entièrement sous mon contrôle. Elle eut alors ces phrases admirables :

— J'ai voulu être à toi complètement ; je suis désormais à ta merci. Fais de moi ce que tu veux, je ne pourrai pas t'en empêcher. Sache seulement que je suis d'accord pour répondre à tous tes désirs.

Fouillant dans le sac, je pris le tube de pommade aux vertus spéciales. Capucine, curieuse, regardait ce que je faisais.

— C'est quoi ?
— C'est un onguent dont la particularité est de décupler les sensations des endroits sensibles où on l'applique. Je vais t'en passer sur la pointe de tes seins et les aréoles, sur ton clitoris, les lèvres de ton sexe, l'intérieur de ton abricot, et pour finir l'entrée de ton anus.
— L'entrée de mon anus ?
— Oui, car j'ai l'intention, à l'issue de cette épreuve, quand tu n'en pourras plus de jouir, de déflorer le seul orifice de ton corps qui n'a pas encore connu mon sexe.
— Tu veux dire que tu veux me sodomiser ?
— Oui : ce sera la preuve de ton abandon total.
— Mais tu vas me faire mal ! C'est étroit, le trou de mon cul… J'arrive à peine à y mettre un doigt. Ta bite est plus grosse que lui…
— D'où l'intérêt de la pommade qui est aussi un lubrifiant. Mais sache néanmoins que tu dois aussi souffrir un peu pour découvrir les attraits d'être enculée : la jouissance après la douleur. D'ailleurs j'ai l'intention aussi de te fouetter et de « travailler » tes seins magnifiques.
— Mais tu vas abîmer mon corps qui deviendra moche, et tu ne voudras plus de moi !
— Ne t'inquiète pas : je n'ai nullement l'intention d'attenter à ton intégrité physique. Tu devras juste souffrir un peu.

J'ouvris le tube et commençai par masser ses seins avec le produit, ne lésinant pas sur la quantité, puis je passai à son sexe, insistant bien sur son clitoris qui ne tarda pas à durcir, puis sur ses chairs profondes en faisant pénétrer trois de mes doigts à l'intérieur dans un lent mouvement circulaire pour agrandir le passage. J'entrepris alors de la même façon le travail de son anus afin que ses sphincters s'habituent à la pénétration car, comme toutes les vierges du cul, elle était très étroite à cet endroit-là. Pour préparer la suite, je fouillai dans mon sac à malices et en sortis un petit plug que j'installai d'une seule poussée dans son fondement.

Pendant tous ces préliminaires, Capucine ronronna, tellement elle trouvait agréable les caresses que je lui prodiguais à cette occasion. Au fur et à mesure que le temps passait, le produit commença à faire effet. Les pointes de ses seins se dressaient de plus en plus vers le plafond, atteignant plus d'un centimètre et demi. Son clitoris émergeait d'entre les lèvres de son sexe, en totale érection, telle une petite bite. Elle poussait des grognements montrant que le plaisir était en train de l'envahir. Son corps s'agitait sur les draps et se tendait en arc pour montrer qu'elle me voulait, qu'elle s'offrait complètement.

— Viens, mon chéri, viens me faire l'amour ! Encule-moi comme tu as envie de le faire… Je n'en peux déjà plus !
— C'est encore trop tôt pour que tu jouisses.

Je plongeai ma main à nouveau dans le sac et je trouvai deux pinces à seins que j'appliquai délicatement sur chacun de ses tétons. Capucine poussa à chaque fois un cri tant la douleur était vive.

— Ça fait mal ! Enlève-les !
— Je t'avais prévenue : il faut que tu souffres un peu pour me mériter. Tu vas t'habituer, tu vas voir. Je vais mettre une pince identique à celles-là sur ton clitoris. Tu es prête ?
— Oui, mais j'ai peur…

Un cri proche du hurlement – les chairs sont plus tendres à cet endroit – et la troisième pince était posée. Quelques secondes…

— Alors, ça va mieux maintenant ?
— Oui, c'est juste au moment où tu les installes que la douleur est vive. Après, c'est supportable.
— Tu es adorable… dis-je en l'embrassant sur les lèvres.

Elle répondit immédiatement à mon baiser.

— Je t'en prie, fais-moi l'amour, ça me chauffe de partout…

Son corps était agité, mais la pommade était diabolique car elle exacerbait ses sens mais pas suffisamment pour qu'elle ait un orgasme. Je décidai néanmoins de répondre à ses désirs en installant dans sa chatte un godemichet vibrant en latex de dimensions raisonnables qui imitait à la perfection le sexe d'un homme. Il y avait à la base une poire qui permettait de faire gonfler le gland et ainsi accroître la possession une fois enfilé. À l'intérieur, de petites billes qui, une fois le vibrateur mis en branle, frapperaient la paroi, les vibrations produites se transmettant dans tout le corps. Une courroie, installée autour de ses reins, empêchait son éjection une fois installé. Pressant la poire plusieurs fois, je dilatai son vagin au maximum jusqu'au moment où je vis son visage se crisper, indiquant que j'étais au summum de ses possibilités.

— Tu veux jouir ? Tu vas être servie…

Je pris la télécommande, m'assis confortablement dans un fauteuil près du lit et mis en branle l'olisbos. D'abord doucement en attendant les premières crispations, prémices de la montée de son plaisir. Puis, dès que je vis son visage se figer, j'arrêtai l'instrument. Je répétai ce manège plusieurs fois, la laissant à chaque fois frustrée de ne pouvoir finir. Elle geignait, me demandant, me suppliant de la mener jusqu'au bout. Ce que je lui refusai à chaque fois. Ce jeu dura plus d'une heure. Les billes dans le godemichet frappaient les parois de son vagin ; la pommade et les pinces agitées par ses secousses accroissaient ce supplice. Elle se tortillait sur le lit, ne pouvant assouvir son plaisir elle-même.

Finalement, j'eus pitié d'elle et je mis le vibrateur au maximum pendant plusieurs minutes jusqu'au moment où son corps magnifique arc-bouté dans un ultime sursaut fut parcouru par un orgasme fulgurant qui lui fit pousser un hurlement de plaisir.
Elle s'écroula sur le lit, anéantie.

Je lui défis les menottes, la débarrassai de tous les accessoires : pinces, plug, godemichet… Elle ne bougeait plus, se laissant faire, épuisée. Elle s'endormit d'un profond sommeil. Je me couchai à côté d'elle, nous couvris d'un drap et ne tardai pas à la rejoindre dans les bras de Morphée.


Au petit matin elle dormait, étrangement calme, sur son côté droit. De la voir si paisible, mon sexe se mit rapidement au garde-à-vous.

Avant de me coucher, en prévision, j'avais disposé sur la table de nuit une bombe de lubrifiant. Je la mis à portée de main et m'approchai d'elle, glissant ma verge entre ses fesses. Je soulevai sa cuisse gauche et je plaçai mon gland sur son trou plissé. Prenant la bombe, j'envoyai un jet de lubrifiant dans son anus et sur ma bite. Elle ne bougeait toujours pas, semblant attendre car sa respiration devenait plus forte.

Je fis passer mon bras droit sous son corps pour prendre en main son sein droit. M'aidant de ma main gauche, je fis entrer lentement le bout de mon sexe pour franchir le premier sphincter. Elle était désormais réveillée car elle poussa un petit cri. J'arrêtai le mouvement, mais constatant qu'elle semblait s'en accommoder, j'amplifiai mon emprise pour passer le deuxième sphincter et entrer pour la première fois dans son ampoule rectale. Ma main gauche ne me servant plus à rien, je la posai sur son sein gauche.

En position de cuillère, faisant rouler ses tétons entre mes doigts, je démarrai mon enculage à un rythme effréné. Capucine poussait des cris de douleur, vu l'étroitesse de son anus pourtant abondamment lubrifié. Je la fis mettre sur le ventre, mis un coussin sous celui-ci pour lui remonter légèrement les fesses et je continuai mon pilonnage. Elle ne criait plus, mais au contraire me poussait à continuer encore plus fort.

— Oh oui, Hervé, vas-y ! Défonce-moi la pastille !
— Mets ta main sur ton clitoris et branle-toi.

J'accélérai mes mouvements, entrant et sortant entièrement de son cul avant de replonger, encore plus fort, mon vit au sein de ses entrailles. Les spasmes de ses sphincters massaient ma bite. À ce rythme, je ne pus tenir plus longtemps ; je poussai un cri et lui dis que j'allais jouir.

— Je viens aussi ; continue, mon amour…

Le temps de quelques allers et retours encore et j'éjaculai dans son fondement dans un orgasme commun et libératoire.

— Tu m'as détruite ! J'ai le cul en feu ! Je sens que je vais avoir du mal à m'asseoir pendant plusieurs jours…
— Tu as aimé ?
— Oui ; tu m'as fait souffrir, mais la domination que tu as exercée sur moi a été plus forte, et c'est le plaisir qui l'a emporté.
— Tu recommenceras sans que je te le demande, à ton initiative ?
— Oui : je te le proposerai à chaque fois que nous ferons l'amour. Le choix dépendra uniquement de toi et de ton bon vouloir : finir dans mon cul, ma bouche ou mon abricot.
— Bon, allez, il est temps de prendre une bonne douche car ça commence à sentir le fauve ici ! dis-je en riant.

Le passage dans la salle de bain fut encore l'occasion de jeux érotiques. Je savonnai Capucine en insistant particulièrement sur sa poitrine si sensible qui agissait sur moi comme un aimant. Je lui fis remarquer, en lui montrant mon sexe couvert de matières fécales, qu'elle aurait à se laver profondément en pratiquant un lavement pour éviter ce genre d'inconvénient.

— Oh, je suis désolée, mais je ne savais pas que tu allais m'enculer et quelles précautions il fallait prendre. Je vais te laver. Laisse-toi faire.

Je remarquai au passage qu'elle devenait plus crue dans son langage. Ses mains pleines de savon prirent ma verge délicatement et en entreprirent le nettoyage complet. Elle passa ensuite à mes bourses, ma raie culière et mon anus. Fière de son travail, elle se baissa pour emboucher mon vit qui avait durci entre-temps et l'enfonça au fond de sa gorge comme je le lui avais enseigné.

— J'aime ce que tu me fais, mais j'ai peur de ne pas pouvoir finir : il faut quand même du temps à un homme pour récupérer. Tu es tellement excitante que depuis ton entrée ici hier soir tu m'as vidé complètement. Il me faut un peu de repos.
— Moi, j'ai encore envie ! Je ne me rassasie pas de tout ce que tu m'as fait découvrir. Tu veux inventer encore de nouveaux jeux et me faire jouir encore ? dit-elle avec un sourire charmeur en me regardant dans les yeux.

Une idée me traversa la tête. Je la fis mettre de côté pour pénétrer sa chatte accueillante, tant elle était déjà excitée ; d'abord de deux doigts, puis d'un troisième qui vint les rejoindre. Je pris alors la douchette cylindrique dont l'extrémité était percée de multiples trous, l'enduisis de savon pour l'introduire plus facilement dans son vagin et j'ouvris lentement le robinet thermostatique. Je penchai sa tête en arrière en la tournant vers moi et je l'embrassai sauvagement. Nos langues se mêlèrent dans un ballet frénétique pendant que ma main faisait aller-et-venir le godemichet improvisé dans sa chatounette. L'eau tiède, sous pression, massait ses chairs internes. Capucine fermait les yeux, savourant ces instants. Elle porta l'une de ses mains vers son berlingot et se mit à le branler vivement jusqu'au moment où la conjugaison des mouvements l'amena à l'orgasme qu'elle attendait.

— J'attendais de la créativité de ta part, et je ne suis pas déçue. Tu veux toujours de moi ou tu me jettes maintenant que tu as eu tout ce que tu voulais me faire ?
— Qui te dit que j'ai tout eu ? Pour moi, jusqu'à présent ce ne sont que des hors-d'œuvre. Je veux plus de toi, plus d'abandon, plus de soumission, plus d'avilissement. Es-tu sûre que tu veuilles continuer ? Es-tu prête à te gouiner avec ma cousine devant moi ? Es-tu prête à me sucer la bite pendant que je l'enculerai ? Es-tu prête à te donner à un autre homme que moi, ou à plusieurs ? Si ta réponse est oui sans limite, alors oui, je te veux toujours.

Capucine me fixa intensément et me répondit :

— Oui, je suis prête à tout cela. Je t'ai gagné, et je ne veux pas te perdre !