Chapitre 8

Le lendemain matin, je fus réveillé par deux bouches coquines ; l'une absorbait mon sexe et le pompait allégrement, l'autre parcourait mon corps nu, me donnant des frissons. À ce régime, je ne tardai pas à bander et j'appréciai ce traitement qui allait devenir mon quotidien…
J'aurais aimé que ce moment dure plus longtemps, mais nous avions un emploi du temps chargé et, à regret, après une claque sur les fesses de Capucine et Juliette, je leur dis :

— Allez, à la douche, mes petites salopes ! Frottez bien vos minous et faites-vous un lavement pour être bien propres pour le pierceur ; je ne voudrais pas qu'il soit incommodé par vos senteurs intimes et vos flatulences. Et n'en profitez pas pour vous gouiner : je vous connais trop, désormais.

J'avais pris rendez-vous dans un cabinet spécialisé où je serais certain que toutes les règles d'hygiène seraient respectées. Les aiguilles utilisées étaient à usage unique, et les outils stérilisés selon les règles de l'art. Le tatouage de mes initiales sous leur téton gauche confirmerait qu'elles étaient ma propriété.

Deux heures plus tard, elles étaient toutes deux équipées. Elles avaient souffert tout particulièrement lors du perçage de leur téton mais Jean, le pierceur, en professionnel avéré, avait été d'une efficacité redoutable, ce qui fait que la douleur – violente, selon leurs dires – fut juste fugitive lors du transpercement du tétin.

J'appréciais le travail fait avec art : deux anneaux pendaient de leurs seins, et le capuchon de leur clitoris était percé et équipé d'un barbell droit pour les exciter en permanence. Au dernier moment, sur les conseils du pierceur, j'avais fait équiper les grandes lèvres de leur sexe de deux anneaux qui, réunis par un cadenas, me réservaient l'accès unique à leur puits d'amour.
Au moment de partir, je dis en aparté à mes deux chéries :

— Je crois que pour remercier Jean vous devriez lui faire une petite gâterie ; ça me semblerait normal, non ?

Elles me regardèrent avec étonnement ; c'était la première fois que je leur demandais de s'occuper d'un autre homme que moi, mais aucune ne broncha ; et c'est de concert qu'elles débraguettèrent Jean pour le sucer alternativement et l'amener à la jouissance dans leurs bouches grandes ouvertes.

Près de trois mois s'écoulèrent avant que la cicatrisation fût complète ; on était dans la norme. Les possibilités de leur faire l'amour pendant cette période furent assez limitées : j'utilisais uniquement leur bouche et leur cul pour me satisfaire. Elles ne pouvaient se gouiner car leurs seins et leur chatte risquaient l'infection. Elles s'excitaient en s'embrassant à pleine bouche et, faute de pouvoir aller plus loin, se retournaient vers moi pour que je les encule alternativement et que j'éjacule ensuite dans leurs bouches affamées.

Je profitai de ces moments pour bien les initier aux gorges profondes et améliorer leur technique ; elles étaient désormais capables d'avaler les plus gros chibres qu'elles seraient susceptibles de trouver dans les partouzes où je comptais les amener. J'avais utilisé pour ça les énormes godemichets que j'avais pu trouver sur le marché. Ceux-ci me servirent aussi pour assouplir leur anus.

Vint le jour où, après une visite chez le pierceur, elles furent toutes les deux reconnues « bonnes pour le service ». En prévision de ce qui nous attendait j'avais pris du Cialis pour être capable de suivre le rythme qu'elles ne manqueraient pas de m'imposer ; je ne fus pas déçu…
À peine dans la voiture, Capucine sauta sur moi pour m'embrasser à pleine bouche. Elle saisit ma main gauche et l'amena sur son minou libre de toute culotte : elle avait prévu son coup. Je m'empressai de la doigter, et à peine je l'eus touchée qu'elle fut prise d'un orgasme irrépressible tant elle attendait ce moment depuis plus de trois mois.
Juliette, frustrée, dit alors :

— C'est dégueulasse ! Vous auriez pu attendre d'être à la maison pour qu'Hervé puisse s'occuper aussi de moi.
— Ne crains rien : ton tour va arriver, lui dis-je en me tournant vers elle. Tu seras la première à prendre ma bite en entier dans ta chatounette ; je vais t'enfiler debout dès la porte fermée. Tiens-toi prête !
— C'est pourtant de moi que tu es amoureux… dit Capucine en branlant ma bite durcie à travers mon pantalon. C'est moi que tu dois baiser la première !
— Bon, OK ; je vous enfilerai toutes les deux. Dès notre entrée dans la maison, vous vous mettrez, après avoir retroussé vos robes, l'une au-dessus de l'autre pour que je puisse avoir vos sexes en vue et que je puisse aller de l'un à l'autre sans difficulté. Je vais vous bourrer bien à fond. En attendant, branlez-vous et jouez avec le barbell au-dessus de vos clitos !
— Mais depuis leur pose on est excitées en permanence ! dit Capucine. C'est incroyable l'effet que ça nous fait !
— Bon, on arrive. Préparez-vous.

À peine la porte fermée, Juliette se mit à genoux sur le carrelage de l'entrée et releva sa robe. Capucine, finaude, enleva sa jupe et son chemisier et se retrouva entièrement nue ; elle n'avait pas de soutien-gorge. Elle se positionna au-dessus de Juliette.

J'éjectai mes mocassins et enlevai mon pantalon et mon caleçon. Mon sexe se dressa fièrement devant cette situation. Qui allais-je enfiler la première ? La nudité de Capucine était tentante, ses seins bien durs ne demandant qu'à être empoignés et martyrisés avec leurs anneaux pendants. Heureusement, je n'avais pas oublié d'enlever les cadenas qui empêchaient d'accéder à leur chatte ; je ne me voyais pas chercher les clés à ce moment crucial…

Juliette poussa un cri : je venais de perforer son con d'une seule poussée rectiligne et je m'enfonçais inexorablement, à toucher sa matrice. C'était chaud ; ses parois pressaient mon sexe dans un subtil massage dû à ses muscles internes. Un orgasme puissant l'emporta, mais il n'était pas question que j'éjacule : je devais me réserver. Capucine n'eut pas le temps de protester que je sortis de Juliette et m'enfonçai dans son abricot déjà ruisselant. Elle poussa un hurlement tellement elle jouit brutalement sous cet assaut, mais je n'en avais pas fini avec elle.

Je me penchai en avant et saisis les anneaux qui transperçaient ses seins, et je tirai en arrière tout en continuant à la bourrer de fougueux coups de reins. Elle ne cessa de crier, tellement la douleur devait être forte ; mais elle se calma peu à peu, la jouissance montante prenant le dessus. Son cul s'agitait ; c'était trop tentant… Je sortis d'elle, remontai ma queue et l'enculai jusqu'à la garde.

Je ne voulais pas laisser Juliette frustrée ; ce fut alors une succession d'enfilements dans son con et son cul, puis ce fut au tour de Capucine. Ce petit jeu dura plus d'une demi-heure tandis que mes femmes faisaient orgasme sur orgasme. J'avais dominé mon plaisir, mais j'arrivais au point de non-retour ; je voulais jouir moi aussi. Je les fis mettre à genoux, côte à côte, et je crachai ma purée directement sur leur visage.
Elles nettoyèrent mon vit amoureusement, comblées, épuisées, mais heureuses.

— On attendait ça depuis trop longtemps ! dit Capucine. Et comme toujours, tu ne nous as pas déçues… Je t'aime.
— Je t'aime… dit aussi Juliette, de concert.
— Allez à la douche et gouinez-vous bien si vous en avez la force ; à partir d'aujourd'hui, tout est désormais permis !