Chapitre 9

Oui : désormais, tout était permis ! Et je n'allais pas me priver de ce privilège… Capucine et Juliette étaient à moi, leur tatouage le démontrait.

J'ai pris contact avec un club de libertins non loin de chez nous pour nous inscrire. La femme qui nous accueillit nous précisa les règles :

  1. Dans ce club, seules les femmes sont des soumises, et elles doivent tout accepter. Elles ne peuvent se dérober aux sollicitations des autres membres, sauf si leur maître – en l'occurrence vous – ne le veut pas ou si on exige d'elles des jeux scatologiques ou des rapports zoophiles. Tout le reste est permis, y compris le sadomasochisme léger : fouets, pinces… à condition que cela reste un jeu et qu'à tout moment, grâce à un mot de passe, elles puissent arrêter.
  2. Afin de pouvoir avoir des rapports sans entrave, des tests récents de détection du VIH (moins de cinq jours) doivent être présentés à chaque rencontre.
  3. Une hygiène irréprochable est exigée des membres ; les femmes doivent notamment avoir subi un lavement avant leur arrivée dans les locaux.

Après mon acquiescement à ces règles, l'hôtesse s'adressa à moi :

— Ce sont vos soumises ?
— Oui : Capucine et Juliette.
— Elles sont percées ?
— Oui : seins, clito et grandes lèvres.
— Bien. Il y a une séance de présentation ce vendredi à partir de vingt-deux heures. Les dix membres les plus éminents de notre club seront présents avec leurs propres soumises. Voulez-vous y participer ? Capucine et Juliette seront les reines de la soirée car tous les participants, hommes et femmes, voudront certainement les tester à tour de rôle ou en même temps.
— Oui, sans problème, répondis-je sans demander leur avis à mes deux minettes.

De retour chez nous, excitées comme elles l'étaient mais néanmoins un peu inquiètes de ce qui les attendait, elles se précipitèrent sur moi, baissèrent mon pantalon et mon slip pour prendre alternativement dans leur jolie bouche mon sexe turgescent et m'amener au plaisir en quelques secondes.


Le vendredi était arrivé. Mes femmes, fébriles, se préparaient soigneusement pour cette soirée où, pour la première fois, j'allais les livrer à d'autres personnes que moi. Je leur fis mettre des robes ultra courtes – rouge pour Capucine, bleue pour Juliette – et largement décolletées jusqu'à la taille (on voyait les anneaux qui perçaient leurs seins) pour mettre en valeur leurs jeunes corps magnifiques. Inutiles, les soutiens-gorge : elles n'en avaient pas besoin, tant leurs poitrines étaient fièrement dressées. Elles ne portaient pas non plus de culottes afin de laisser un accès libre et rapide à leurs orifices. Un léger rouge à lèvres mettait en avant les bouches finement ourlées, les rendant plus que séduisantes sans être vulgaires.

Dès notre arrivée au club, l'hôtesse rencontrée lors de l'inscription nous mena dans une salle à l'atmosphère feutrée où régnait une semi-pénombre. La soirée avait déjà commencé. Des hommes et des femmes étaient enchevêtrés sur des poufs, des canapés, des lits bas ou à même le sol. Des bouches pulpeuses avalaient des sexes dressés, des culs étaient violemment transpercés, des femmes doublement pénétrées criaient leur jouissance.
Grâce à un micro, l'hôtesse nous annonça comme dans un spectacle :

— Mesdames, Messieurs, comme promis voici nos deux nouvelles soumises : Juliette et Capucine, et leur maître Hervé. Elles sont jeunes ; elles n'ont que vingt ans et sont à votre disposition suivant nos règles pour toute la soirée. Usez-en, abusez-en : leur maître ne demande que ça.

Des murmures, des cris se firent entendre à la vue de ces corps magnifiques. En l'espace de quelques secondes les jeunes femmes furent happées par des mains avides, leurs robes arrachées plus qu'enlevées tellement les impatiences étaient grandes. Juliette, rapidement doigtée des deux côtés, poussait de petits cris. Capucine, courbée, sa tête reposant sur un pouf, avait les cuisses largement écartées et son sexe était pénétré avec vigueur par le membre imposant du président du club. Celui-ci empoigna ses seins et tira sur les anneaux qui les perçaient ; elle poussa des cris de douleur, le visage est baigné de larmes, mais peu à peu son corps fut secoué de spasmes dus à la soudaine montée de sa jouissance qui s'acheva par l'éjaculation du président dans sa chatte accueillante.

À peine eut-elle récupéré que sa tête fut relevée et qu'un sexe de bonne taille pénétra sa bouche et s'enfonça inexorablement au fond de sa gorge. Elle hoqueta tandis qu'un autre mandrin coulissait dans la raie de ses fesses. Le gland hésita quant à l'utilisation du trou à utiliser, et finalement força son anus étroit. Heureusement que j'avais prévu le coup en le lui faisant lubrifier… L'attaque était rude, mais elle fut vite apaisée par une femme qui s'est glissée sous elle pour lui mâchouiller le clitoris.

Juliette n'était pas en reste, chevauchant un vieux monsieur allongé sur le sol qui l'embrassait à pleine bouche tout en lui pelotant ses jeunes seins. Il était manifestement bien équipé car son mandrin semblait ne pas pouvoir entrer complètement, tellement il était long. En tout cas, ma jeune cousine appréciait le traitement.

Il était temps pour moi de m'occuper de mon propre plaisir. Beaucoup des femmes présentes n'étaient plus toutes jeunes ; j'ai néanmoins repéré l'une d'elles, à mon avis âgée d'une trentaine d'années, qui semblait pour l'instant délaissée, tellement l'attraction pour mes soumises est grande parmi la gent masculine.

Elle était assise dans un canapé, entièrement nue, les jambes écartées. Dans cette position, on pouvait voir que les lèvres de son sexe, équipées d'anneaux, étaient fermées par un petit cadenas. Manifestement, son maître n'autorisait pas la pénétration vaginale, qui lui était réservée. Ses seins, naturels, tombaient légèrement vu leur grosseur, mais avaient l'air ferme. Elle me vit la scrutant et me sourit.

Je m'avançai vers elle, attiré par sa poitrine. Je bandais à mort et j'avais un besoin impérieux de me soulager. Je me penchai, pris ses seins en main et j'en tordis les pointes. Elle leva sa tête vers moi et grimaça de douleur. Je m'adressai alors à elle :

— Comment t'appelles-tu ?
— Sophie.
— Tu as quel âge ?
— Trente-cinq ans.
— Qui est ton maître ?
— Celui qui encule en ce moment votre Juliette.

Je détournai mon regard et la vis, toujours chevauchant son vieux, mais cette fois-ci doublement pénétrée par un grand Noir qui profitait avec délectation de son anus.

— Vous voulez me sodomiser ? Il n'y a que là que vous pouvez me faire l'amour, ou dans ma bouche. Devant je suis, comme vous pouvez le voir, cadenassée.
— Je veux d'abord ta bouche.

Sophie déboucla la ceinture de mon pantalon qui tomba à terre, baissa mon caleçon et avala entièrement mon sexe dressé dans sa bouche. Elle le pompait violemment, puis le ressortait et le léchait en enroulant sa langue tout autour pour le faire pénétrer encore plus profondément jusqu'à toucher sa glotte. C'était une étrange sensation car je sentais mon gland légèrement massé par les papilles de sa luette. Jamais une femme ne m'avait avalé de cette façon ; c'était fabuleux. Je me serais bien laisser aller jusqu'à l'éjaculation, mais j'avais trop envie de son cul.

— Tourne-toi !

Elle eut l'air déçu mais se mit à genoux sur le canapé. Je me plaçai derrière elle, empoignai ses seins que je pressai fortement, approchai mon vit de son anus et la transperçai d'une seule poussée. Son maître n'avait pas pris autant de précautions que moi car elle n'était manifestement pas lubrifiée. Elle hurla sous la pénétration mais je n'en eus cure, tellement c'était bon de la prendre comme ça à sec…

Elle se calma et je pus alors entrer dans une sarabande infernale en la sodomisant longuement jusqu'au moment où je me sentis arriver au point de non-retour. Je la fis alors se tourner et je m'enfonçai dans sa bouche jusqu'à mon éjaculation finale.

Je la laissai là, débordante de mon sperme, pour aller vérifier dans quel état étaient mes soumises. Je ne vis pas où était Capucine. Ma cousine, elle, se fait prendre en sandwich, debout, par deux hommes d'une quarantaine d'années qui la besognaient avec vigueur. Ses pieds ne touchaient pas terre, et les bites alternaient entre son cul et son con. Elle criait son plaisir.

J'assistai alors à un exploit inouï de sa part. Un des hommes quitta son anus pour faire cohabiter son sexe avec celui de son compère dans la chatte de Juliette. Ma cousine, doublement pénétrée vaginalement, avait l'air d'aimer ça ; elle devenait une vraie salope !
Je la laissai à ses ébats et me rendis dans la chambre attenante où je découvris Capucine, ma douce, attachée à une croix de Saint-André dressée au centre de la pièce, entourée de plusieurs hommes et femmes. Elle me vit ; ses yeux révélaient sa peur mais je ne devais pas me laisser attendrir car c'était une nouvelle phase de sa formation. Elle savait qu'elle allait être fouettée et qu'elle devait l'accepter si elle ne voulait pas me perdre.

Des poids furent suspendus aux anneaux de ses seins et à ceux des lèvres de son sexe.
Le président du club, me voyant arriver, s'adressa alors à moi :

— Les membres du club aimeraient qu'elle soit flagellée avec vigueur. Êtes-vous d'accord ?

J'agréai d'un signe de tête. Il prit alors un long fouet dont il fit siffler la lanière aux oreilles de Capucine puis, méthodiquement, il fouetta son corps en insistant sur les seins, le ventre et sa foufoune. Il était très adroit et sans violence extrême. Ma douce tressaillait sous les coups tout en me regardant avec amour, sans crier. Le traitement s'arrêta. On la délia. Je la pris dans mes bras et l'embrassai doucement sur les lèvres.

C'était la fin de la séance. Mes femmes avaient subi les outrages de tous les hommes et femmes présents. Elles avaient été baisées, sodomisées, fistées. Leur bouche prise avec violence. Elles ont léché des chattes, des culs à n'en plus finir et avalé le sperme de tous les hommes présents. Capucine a été fouettée et Juliette doublement pénétrée dans sa chatte.
Dans un état d'épuisement total, je les fis se rhabiller. Leurs cheveux étaient en bataille et elles étaient couvertes de semence séchée. Leurs robes n'étaient plus que des chiffons.

À la sortie du bâtiment, le président du club me félicita pour leur prestation, et souhaita nous revoir bientôt. Nous rentrâmes à la maison.