L'admirateur secret
Nathan Kari11/12/2021Amazones, regardez le drôle de spécimen que nous avons capturé !
— Et tu n'en as pas profité ? Même pas un peu, Ad ? me fait Lulu au téléphone.
— Bien sûr que non. Elle était complètement saoule. Je n'allais pas abuser d'elle ; elle aurait probablement regretté après. Je veux coucher avec elle, mais qu'elle décide de le faire avec son père en toute connaissance de cause.
— Bon, OK. Mais elle t'a vraiment dit tous ces trucs cochons ?
— Ben oui, pourquoi je t'aurais menti ?
— Ah là là, elle devait être excitante… J'aurais bien voulu assister au réveil du volcan. Dommage que c'était dans ces conditions. Qu'est-ce qu'elle en a dit le lendemain ? Elle en a reparlé ?
— Non, elle ne se souvient de rien après s'être endormie sur mes genoux pendant le film.
— OK. Bon, c'est bien là, Ad : la petite coquine de Maëlle mouille à fond pour son papa chéri, et c'est une bonne nouvelle. On va finir par la faire craquer. Promis, je réfléchis à une stratégie.
Je raccroche en me demandant ce qu'elle va bien pouvoir inventer encore. Je me demande aussi si cela en vaut la peine. À mon anniversaire, Maëlle avait été claire : c'est une bêtise de coucher ensemble. Oui, elle peut encore changer d'avis, mais ça ne changera pas qu'elle a sûrement raison. J'aime ma relation actuelle avec ma fille et j'aime les moments que nous passons ensemble lorsque je suis un père normal, sans arrière-pensées. Je m'en voudrais de gâcher le tout à cause de mes désirs malsains.
Les résultats du bac sont tombés : Maëlle l'a eu avec mention bien. Lulu l'a eu tout juste. Seul un trio de garçons de leur classe l'ont loupé et doivent tenter leur chance au rattrapage. Ma jolie blonde m'a demandé si elle pouvait organiser une petite soirée à la maison avec plusieurs de ses amies. Bien entendu j'ai accepté, trop heureux qu'elle ait une vie sociale en dehors des écrans. Et puis elle l'a bien mérité.
C'est une soirée posée, en petit comité en plus. En comptant Lulu, Maëlle a invité quatre amies. L'une d'entre elles, Samia, a annulé au dernier moment. Les autres dormiront à la maison. Lulu avec Maëlle, les deux dernières sur le canapé, en bas.
J'ai autorisé l'alcool, mais à petite dose : pas envie d'avoir à gérer des jeunes femmes complètement bourrées. Et Maëlle, pas envie qu'elle me refasse une scène. Surtout si ça arrivait devant ses amies, elle ne pourrait plus se regarder en face. Bon, je connais une certaine rouquine aux cheveux courts qui aimerait voir ce spectacle, mais quand même…
Je les laisse gérer leur soirée comme elles l'entendent, dans le salon. Moi, j'ai prévu de passer un moment tranquille à me regarder une série dans ma chambre tout en grignotant. Je descendrai de temps en temps vérifier que tout se passe bien.
D'en haut, j'entends les filles arriver les unes après les autres. Maëlle les accueille, et toutes discutent bruyamment. Je me lance un épisode, mange quelques chips et me dis à un moment que je prendrais bien une petite bière. Je descends à la cuisine.
Maëlle est là avec une de ses amies, Méloé ; je l'ai déjà vue car était venue à la maison faire un devoir avec ma fille. C'est une petite blonde aux cheveux raides, toute gentille et peu bavarde. Elle a un petit côté réservé.
— Bonsoir, Monsieur Sinclair, me fait Méloé.
— Oh, tu peux l'appeler Adam et le tutoyer : Ad est cool comme mec !
Lulu vient d'arriver dans la pièce avec la dernière des filles, Sabrina, une brune vraiment bien sculptée au regard d'un noir profond.
— Oui, pas de souci, vous pouvez me tutoyer. Je prends juste une bière et je vous laisse, de toute façon.
— Bah, reste avec nous, Ad, me lance la rouquine. On ne mord pas, tu sais…
Mon regard parcourt l'assemblée. Tout le monde à l'air d'accord. Peut-être une légère réticence de la part de Maëlle, mais sans plus. Bon, je sers du coup une bière à tout le monde et me renseigne sur les résultats du bac de chacune pour briser la glace. Je suis ravi de voir que de toutes, c'est Maëlle qui a obtenu les meilleures notes.
Les filles me demandent ce que je fais comme boulot. Je leur dis que j'ai ma propre entreprise et leur explique mon job. En quelques minutes, sans trop le vouloir j'ai monopolisé l'attention de toutes. Tous les regards sont posés sur moi. C'est pas désagréable d'être au centre de l'attention de jolies jeunes femmes majeures comme elles. Je crois que j'en rajoute un peu en jouant les charmeurs.
— Et par hasard, t'embauche pas pour des jobs d'été ? me demande Sabrina.
— Ah non, on ne l'a jamais fait. En fait, ça nous rajouterait plus de boulot si la personne n'est pas formée.
— Dommage, tu as l'air d'être un patron cool.
— J'essaie, mais parfois faut quand même mettre quelques coups de pression pour s'assurer que tout se passe bien.
C'est moi, ou elle me fait du charme elle aussi ? Les œillades qu'elle me lance, c'est un peu louche, non ? Je me fais sûrement des idées. Ma libido chamboulée me fait imaginer que je fais tourner toutes les têtes.
Maëlle vient me coller et se montre câline. Tiens, elle qui était plutôt en retrait se retrouve d'un coup bien demandeuse d'attention, comme si elle était jalouse de celle que je porte et que me portent ses copines. Une façon pour elle de marquer son territoire ? Bon, pour ne pas la déranger plus, je lui fais un petit bisou sur le front et retourne en haut regarder ma série.
J'enchaîne les épisodes quand, plus tard dans la soirée, j'entends soudain des cris en bas. Intrigué et légèrement inquiet, je descends voir ce qu'il se passe. Je les trouve agglutinées devant la télé qui diffuse un film d'horreur. D'après ce que je peux voir dépasser de la couverture, elles ont revêtu leur tenue de nuit.
— Ah ! hurlent-elles en chœur devant une scène du film.
— Ça va, les filles ? les questionné-je dans leur dos.
— Ah ! hurlent-elles à nouveau, surprises.
— C'est toi, Ad ? Ah, tu nous as foutu une frousse d'enfer ! se retourne Lulu.
— Monsieur Sinclair, vous pouvez rester avec nous ? Ça fait trop peur…
Visiblement, Méloé a encore du mal avec le tutoiement. Sabrina partage son souhait. Je jette un coup d'œil à Maëlle pour savoir ce qu'elle en pense. Elle me fait un léger signe de tête pour marquer son accord. Je contourne le canapé, et Lulu et ma fille s'écartent pour me laisser un peu de place entre elles. Je me retrouve encerclé par ces deux magnifiques donzelles qui se collent à moi.
Je passe mon bras derrière le dos de ma fille. Elle me fait un bisou sur la joue. Son haleine sent l'alcool. Je lui caresse le bas du dos, et comme elle semble réceptive, ma main passe rapidement sur ses fesses.
Je caresse ma fille, là, au milieu de ses amies, le tout dissimulé par la couverture. Un soupir léger m'indique qu'elle semble apprécier. De mon côté, une érection commence à poindre. Une main atterrit sur ma cuisse puis trouve rapidement ma queue. Ça ne vient pas du côté de Maëlle. Je me tourne vers Lulu qui me lance un sourire coquin.
Le film n'est pas terrible, une histoire de tueur en série fantomatique. Perso, je ne ressens aucune peur – ou à peine – mais peut-être parce que mon attention est plus portée sur les caresses que je prodigue et reçois.
Quoi qu'il en soit, le film se termine et les filles, fatiguées, décident de se coucher. Je déplie le canapé et le prépare pour la petite blonde et la brune tandis que les deux autres montent à l'étage. Je monte à mon tour pour finir mon épisode en cours puis je me décide à dormir.
Peu après, j'entends le sol craquer dans le couloir. Repensant au film, un frisson me parcourt la colonne vertébrale. Ma porte s'ouvre et une ombre se glisse à l'intérieur de ma chambre. Apeuré, j'allume à toute vitesse. Il ne s'agit que de Lulu, en petite tenue et avec un sourire gourmand. Quel crétin ! Je me suis laissé plus embobiner par le film que je le croyais.
— Qu'est-ce que tu veux, Lulu ?
— D'après toi ?
Son sourire lui arrive jusqu'aux oreilles. C'est vrai, la question était idiote.
— T'es folle, Maëlle est juste à côté.
— Je l'ai épuisée. T'inquiète, elle dort à poings fermés.
Je suis prêt à répondre mais je sais très bien qu'avec elle ce sera compliqué, d'autant plus que je n'en ai pas spécialement envie. Lulu ferme la porte derrière elle, et d'une démarche féline monte à quatre pattes sur mon lit. Je ne suis pas long à bander, sachant très bien ce qui m'attend.
La rouquine s'allonge à mes côtés et se frotte à moi. Je lui empoigne ses seins pointus et l'embrasse. Nos langues s'emmêlent. Je lui mets la main au cul, la glissant sous sa culotte.
Le parquet craque à nouveau. « Merde, Maëlle ! » paniqué-je.
— Cache-toi sous le lit, chuchoté-je.
Je la pousse. Elle se ramasse par terre. Un gros boum et un petit « Aïe » se font entendre. Peu de temps après ma porte s'ouvre.
— Monsieur Sinclair ?
Oh, ce n'est que Méloé. Qu'est-ce qu'elle peut bien vouloir, celle-là ?
— Oui ?
— Avec Sabrina, nous avons entendu un drôle de bruit en bas. Nous ne sommes pas très rassurées. Vous voulez bien venir voir ?
Ah, bah oui, ça joue les grandes à regarder un film d'horreur en pleine nuit, et maintenant ça flippe au moindre petit bruit. Ah là là !
— Ce n'est probablement rien, Méloé.
— Oui, mais nous serions plus rassurées si vous veniez voir quand même.
Bon, je sens qu'elle ne va pas me lâcher, celle-là. Je vais descendre un peu pour les calmer, et après je reprendrai mon affaire avec la divine Lulu.
— Bon, OK, donne-moi cinq minutes…
Le temps de débander et de dire à Lulu de ne pas bouger de sa cachette. La petite blonde hoche la tête et disparaît. J'enfile mon pantalon et descends. Les deux filles sont agglutinées l'une à l'autre sur le canapé. J'avance et tends l'oreille.
— Là ! s'écrie Sabrina. Vous avez entendu ?
— Moi oui, ajoute Méloé.
— J'ai rien entendu. Vous êtes sûres que ce n'est pas votre imagination ?
— Sûres et certaines, Monsieur Sinclair.
— Tu ne veux pas rester un peu avec nous ? demande la brune. Nous serions plus rassurées.
Je cède de mauvais gré, plutôt pressé de retrouver la rouquine qu'autre chose.
— Assieds-toi ici, me fait Sabrina en tapotant le canapé.
J'obéis. C'est pile entre les deux jeunes femmes qui en profitent pour se coller à moi. Sabrina m'attrape le bras et commence à le palper.
— Dis donc, tu es musclé, Adam. Tu fais du sport ?
Ça y est, je réalise seulement le traquenard dans lequel je suis tombé : cette histoire de bruit, c'était du pipeau pour me faire venir à elles ; elles avaient autre chose en tête. Ah les garces !
— Oui, c'est que vous êtes très musclé, ajoute la pas si timide que ça Méloé.
— Et de partout, aussi…
La main de Sabrina s'essaie maintenant sur mes pectoraux puis s'attarde sur mes abdominaux. Ah, les coquines, elles ne perdent pas de temps ! J'hésite à repousser les avances mais l'érection qui commence à se manifester n'est pas du même avis. Ma libido est donc en désaccord avec ma conscience.
Les filles savent qu'elles ont gagné la partie. Méloé me prend le visage pour m'embrasser. Dis donc, elle embrasse bien, la coquine ! Sabrina enlève son haut, découvrant ainsi ses seins bien ronds aux larges aréoles. Ma tête plonge sur sa magnifique poitrine pour embrasser ces deux merveilles.
J'entends des bruits dans l'escalier… « Merde, Maëlle ! » paniqué-je. Je saute du canapé pour courir me planquer dans la cuisine mais je me prends les pieds dans la couverture et me ramasse par terre. Aïe !
— Les filles, vous n'êtes pas sympas : vous m'avez pris mon jouet.
Ouf, ce n'est que la voix du Lulu. J'ai paniqué pour rien.
— Ben, on partage, lance Méloé.
— OK, font les deux autres en chœur.
Et moi, personne ne me demande mon avis ? De toute façon ma libido acquiescerait. Je me relève et remonte sur le canapé. Lulu nous rejoint, le regard avide de sexe.
— Amazones, regardez le drôle de spécimen que nous avons capturé ! lance-t-elle. Ils n'est pas comme nous ; examinons-le.
— Bien, ma reine, joue le jeu Sabrina.
Les paumes des filles se posent sur tout mon corps. Avoir six mains féminines qui me palpent partout est vraiment excitant. Merde alors, c'est la première fois que je vais coucher avec plusieurs femmes d'un coup. Des mains s'attaquent à mon pantalon qui disparaît rapidement. Mon érection s'étend dans toute sa splendeur sous les regards affamés.
— Oh, s'exclame Lulu, qu'est-ce que c'est ?
— C'est gros, dur et tout chaud, déclare Méloé en me caressant l'engin.
— Ma reine, lance Sabrina qui participe aussi aux fouilles en me tripotant les bourses, ça me fait un drôle d'effet dans la culotte.
— Oui, moi aussi, renchérit Lulu. On dirait que la forme est parfaite pour s'emboîter dans nos chattes.
— Mais ça pourrait être dangereux, intervient Méloé ; il faudrait s'assurer que la chose n'est pas toxique. Je me dévoue pour la goûter pour vous, ma reine.
Et la bouche de le petite blonde plonge sur ma queue. Mon gland est attrapé par une langue efficace. Je pousse un soupir d'aise.
— Alors ? demande Lulu.
— Cela a l'air OK. C'est même plutôt bon.
— Laisse-moi goûter ! s'interpose Sabrina.
Maintenant c'est à la brune de me sucer. Elle se révèle moins experte que sa camarade. C'est marrant, j'aurais plutôt pensé la contraire : Méloé a bien caché son jeu. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences.
Sabrina me suce encore un peu puis laisse la place à Lulu pendant que Méloé me roule une pelle sensuelle. Merde, passer de bouche en bouche est une expérience folle. Je ne pensais pas vivre ça de ma vie.
De nouveau Sabrina me gobe pendant que Lucie déshabille la petite blonde et commence à lui sucer ses petits seins. Moi, je me contente de profiter et de palper les seins bien fermes de la brune.
— Amazones, faites place ! Je vais tester ce pieu de chair.
Sabrina s'écarte. Lulu m'envoie un sourire complice avant de s'empaler sur moi. Pendant que la rousse oscille le long de ma queue, les bouches des deux autres m'embrassent partout. Je laisse mes mains vagabonder au hasard. Des doigts finissent par s'attarder sur une zone humide. Je commence à doigter la petite blonde.
Lulu laisse sa place à Méloé et s'attaque à Sabrina. Elle l'allonge et commence à lui embrasser le bas du ventre. L'autre est nerveuse ; c'est peut-être sa première caresse saphique. Sa nervosité s'envole quand la langue de la rouquine s'attaque à son clitoris. Très vite, ses gémissements font écho à ceux de Méloé, qui m'abandonne. J'écarte doucement Lulu pour tester la troisième camarade de ma fille. La brune m'accueille avec joie. Je la baise lentement tandis que des mains me caressent le dos.
Mon Dieu, baiser avec trois jeunes femmes fougueuses, je dois être en train de rêver… Si Maëlle nous surprenait là, en pleine action, j'imagine le scandale qu'elle ferait ! Elle ne me le pardonnerait pas, à coup sûr. Mais mes fantasmes me poussent à l'imaginer rejoindre ses camarades.
Lulu m'attire à elle tandis que Méloé s'essaie à lécher son amie. Visiblement, à entendre les gémissements de Sabrina, la blonde ne s'y prend pas si mal. Moi, je me contente de baiser Lucie à fond. Cette saleté me plante ses griffes dans le dos.
La fin approchant, je veux goûter une fois de plus à la chatte de Méloé, toujours occupée à lécher son amie. Je la prends en levrette. Lulu part en renfort de Méloé et s'attaque aux seins de Sabrina. Mes mains tiennent fermement la chute de reins de la blonde pendant que je la culbute avec fougue. Je donne mes dernières forces dans ce corps-à-corps, sachant très bien que je n'aurai pas assez d'énergie pour satisfaire trois jeunes nymphes. Je jouis de longues giclées dans la vagin de la blonde.
Éreinté, je m'écroule un moment, me contentant de regarder les filles se donner du plaisir. L'eau me monte finalement à la bouche, alors je rejoins les amazones et chope la première vulve à portée de main. Lulu m'accueille avec joie en écartant ses cuisses en grand. C'est ainsi que je termine ma soirée, en enchaînant les chattes à laper. Chacune des filles atteint l'orgasme.