Le Club des nymphes II
Nathan Kari2018(Nathan) Sous le masque de président
— Au revoir, Préz', bon week-end !
— Au revoir, Préz !
« Préz »… Cela sonne bien je trouve. J'ai encore du mal à m'y habituer. Eh oui, c'est moi le président, la star des élèves. Tout le monde se retourne sur mon passage et me salue ; les gars me serrent la main, les filles me font la bise, parfois de façon un peu trop appuyée, ce qui n'est pas pour me déplaire. Je ne passe pas inaperçu. Ils sont tous à ma botte… enfin, je devrais plutôt dire « presque » tous. Il y a encore ces maudites nymphes et leurs partisans. Bon, ce n'est plus qu'une question de temps pour que ces derniers les quittent maintenant que le vent est en train de tourner en notre faveur. Ces garces finiront par disparaître d'elles-mêmes quand elles n'auront plus aucune influence. J'aurai ainsi débarrassé l'école d'une gangrène qui la pourrit.
— Au revoir, les gars ! Bon week-end à vous aussi.
Et il va être bon, le week-end… Enfin, je l'espère, mais vu comment les choses ont évolué ces derniers jours, j'ai de bonnes raisons de l'espérer. Morgane vient chez moi ce soir. En tant que parrain, je dois lui refiler des annales de cours ainsi que des bouquins qui pourront lui être utiles, et j'en ai profité pour l'inviter à manger chez moi. Elle a accepté, bien évidemment. Ah, Morgane… Qu'est-ce qu'elle est bandante, celle-là ! J'espère bien me la faire. Quoi de mieux que la fille la plus canon de première année pour le Préz' ? Pas question que je la laisse à d'autres, et surtout pas aux nymphes ni à leurs homologues sirènes. Je la veux pour mon plaisir personnel.
Parce que je les vois déjà arriver, les nymphes et les sirènes, à essayer de me la chiper. Il faut que je me méfie de ces filles. Pour qu'elles ne lui mettent pas des idées dans la tête. Bon, ça va : je me suis occupé des nymphes, les sirènes ont l'intelligence de savoir rester à leur place pour le moment, et Élodie écarte bien les cuisses quand je lui demande.
Me voilà chez moi. Un peu de rangement, de ménage, de cuisine, une douche et je suis prêt à recevoir ma fillote. La scène est parée pour la représentation de ce soir. Je jette un regard dans le miroir ; elle va me tomber dans les bras, c'est sûr ! Qui pourrait résister à pareil visage ? Qui pourrait résister au roi que je suis devenu ? Ils sont tous à mes genoux ; elle le sera aussi bientôt et aura la bouche grande ouverte. Hum, j'ai hâte ! Je sais déjà qu'elle n'est pas insensible à mon charme, les signes ne trompent pas : les filles sont toutes les mêmes, à se trémousser, à faire la belle pour se faire baiser. Et elles aiment la bite, ces salopes ! Elles en redemandent encore et encore. Elles se pavanent autour de nous jusqu'à nous rendre dingues.
On sonne. Elle est là ! J'ouvre et la découvre dans une tenue affriolante, pas vulgaire au point de dire « Je viens ici pour baiser » mais qui en dévoile suffisamment pour témoigner qu'elle l'a envisagé et pour échauffer le pauvre homme désarmé que je suis. Je la fais entrer et lui fais la bise ; j'en profite pour poser une main sur le bas de son dos, juste au-dessus des fesses. Elle s'est parfumée aussi ; oui, elle veut plaire !
Après lui avoir fait une rapide présentation des ouvrages que je vais lui remettre et avoir pris un petit apéritif, je l'invite à passer à table. La discussion commence. On parle des cours, puis de notre quotidien. J'en profite pour lui expliquer à quel point le précédent BDE n'était qu'une bande de bons à rien. Je la baratine, elle me baratine. Je glisse quelques compliments à son intention qui la font sourire. Les femmes aiment qu'on leur passe la pommade… Je ne fais qu'assurer mon rôle dans cette pièce. Le vin coule à flots, un bon cru. J'ai sorti le grand jeu pour l'impressionner et j'interprète le gentleman.
Mine de rien, le repas passe vite et je me suis surpris à apprécier cette mascarade qu'exigent les femmes alors qu'elles savent déjà comment cela va se terminer. Nous nous retrouvons sur le canapé pour déguster un dernier petit verre. Je m'approche d'elle, prêt à entamer les hostilités, réfléchissant à la meilleure tactique à employer mais elle me coupe dans mon élan :
— Ce n'est pas un hasard si je suis ta fillote, demande-t-elle sans me regarder dans les yeux. Tu m'as choisie, n'est-ce-pas ?
— Oui, avoué-je, surpris. Je n'aurais pas laissé n'importe qui être mon fillot.
— Et si tu m'as choisie, c'est parce que tu voulais me baiser ?
— Oui, admets-je une nouvelle fois.
Elle ne demande rien d'autre, reste silencieuse et se contente d'éviter encore mon regard. Je tente une attaque. Ma main se pose sur l'une de ses cuisses et la caresse doucement ; elle les écarte. Hé-hé, c'est gagné ! Je le savais : toutes les mêmes ! Ma main s'engouffre dans son pantalon et actionne son petit bouton. Je tourne son visage vers le mien pour procéder à un baiser. Elle ne s'y oppose pas et nos langues s'emmêlent. Du coup, la machinerie s'emballe et les choses s'accélèrent. La passivité de Morgane n'est plus ; son moteur désormais bouillant, elle ne se retient plus. Je l'emmène dans ma chambre où nous nous déshabillons l'un l'autre de façon automatique. Je peux enfin admirer la beauté plastique de son corps. Elle est parfaite, avec tout ce qu'il faut aux bons endroits. Elle a les yeux fixés sur mon engin. Je l'invite à le manipuler.
L'étape suivante, nous enchaînons avec un corps-à-corps tout à fait standard. Je l'allonge sur mon lit et la pénètre de mon dard. Je me mets à la pistonner ardemment. Son corps répond en réaction et accompagne mes gestes. Je l'embrasse dans le cou et Morgane gémit ; visiblement, elle apprécie. Je l'installe ensuite à quatre pattes pour la prendre en levrette. Morgane se laisse faire et tend le cul en signe d'invitation. Je le lui claque, et elle proteste. Je reprends là où je m'étais arrêté et entre mon outil dans sa salle des machines. J'observe notre reflet dans le miroir de ma chambre. Comme j'aime l'image de moi défonçant cette femelle en chaleur… Mon long appareil coulisse dans sa chatte. Comme c'est jouissif !
La vapeur grimpe ; je suis bientôt en surchauffe. Mon disjoncteur saute et je perds les commandes. Je ne réponds plus de moi et la baise frénétiquement et de façon saccadée. La machine s'emballe. Cette garce me faisait tellement envie que maintenant que je l'ai j'en perds mon self-control. Cette fois, c'est bon, j'atteins l'orgasme et vide les soupapes entre ses reins dans un cri d'extase.
Je m'allonge de tout mon long, fier de m'être enfin taper ma fillote. En revanche, cette dernière se relève et commence à se rhabiller. Tiens… D'habitude, c'est plutôt aux hommes de quitter le navire une fois qu'ils ont eu ce qu'ils désirent. Elle ne va pas me faire ce coup-là, quand même ?
— Que fais-tu ? lui demandé-je.
— Il est tard ; je vais rentrer chez moi.
— Tu peux rester si tu veux.
— Non, c'est bon, je préfère rentrer.
Je me lève à mon tour, et tandis qu'elle tente de passer la porte de la chambre, je la bloque avec la main. Je me plaque contre Morgane, respire son odeur, et d'une voix sensuelle mais néanmoins impérieuse lui dis :
— Allez, reste cette nuit : c'est un ordre de ton président. On peut encore s'amuser ensemble.
— D'accord, cède-t-elle. Mais pas plus d'une nuit : il faut que je ne parte pas trop tard demain matin.
Victoire ! Croyait-elle vraiment qu'elle allait m'échapper tout de suite ? Maintenant que je l'ai, je n'ai pas envie de la lâcher. Elle est maintenant à moi. Elle passe donc la nuit chez moi où je la baise une nouvelle fois. Elle ne prend, ce coup-ci, aucune commande et me laisse diriger la machine comme bon me semble. Je profite donc et la baise dans le silence. Nous nous endormons peu après, chacun de son côté du lit. Il y avait malheureusement trop longtemps que je n'avais pas partagé mon lit avec une compagnie féminine.
Nous sommes réveillés à l'aube par les rayons de lumière qui percent les volets. Je lui souhaite un bonjour qu'elle ne semble pas entendre. Au lieu de ça, elle est prête à partir mais je lui attrape le poignet.
— Lâche-moi, se plaint-elle. Je t'ai dit qu'il fallait que j'y aille.
— C'est bon, lui souris-je. Tu n'es pas à cinq minutes près…
— Nathan, s'il te plaît, je dois y aller.
— OK, mais avant je voudrais que tu me montres ce que tu sais faire avec ta bouche.
Elle tire un grand coup, ce qui me fait lâcher prise. Elle prend ses habits et commence à les enfiler. Je me lève et l'enveloppe de mes bras, la queue raide pointant sur son cul.
— Regarde dans quel état je me réveille ; tu ne vas pas me laisser comme ça, n'est-ce-pas ? Allez, montre à ton cher parrain comment tu suces. Allez, montre-moi que tu m'appartiens désormais. Agenouille-toi devant ton parrain.
Je me frotte contre son cul et lui palpe un sein. Ma respiration dans son cou, je la sens hésiter. Elle finit cette fois encore par céder. Hé-hé, je savais qu'elle ne pouvait pas me résister ! Elle se retourne, se met à genoux, prend mon sexe en main et le masturbe lentement. Elle met un long moment avant de se décider à le prendre en bouche. La voilà qui me pompe mécaniquement, sans se montrer créative. Soit elle n'a que peu d'expérience dans ce domaine, soit elle n'a pas l'intention de se donner à fond.
Je ne pense pas qu'un canon comme elle en soit à sa première fellation : un bon nombre de queues a dû passer par cette bouche ! Elle pourrait donc y mettre plus de cœur, quand même… Mais bon, la voir à genoux, ma bite à la bouche, est bien suffisant pour me faire jouir. D'ailleurs je viens. Je lui maintiens la tête et me déverse dans sa bouche. Elle a un mouvement de recul mais se trouve obligée de boire mon sperme.
— Très bien ; maintenant tu peux partir.
Elle finit donc de se rhabiller sans me regarder et disparaît quelques minutes plus tard sans un au-revoir. Je m'allonge sur mon lit, le sourire aux lèvres, et termine ma nuit. J'ai hâte de remettre ça avec elle.
Ce n'est que le lundi midi suivant que je la recroise. Elle est assise seule sur un banc devant notre école et discute au téléphone. Elle me fait un signe de main quand elle me voit approcher. Je m'assois à côté d'elle et l'écoute discuter. Je comprends rapidement que c'est avec son mec. J'ai un petit sourire sadique en coin ; le pauvre ne doit pas savoir qu'il est cocu. C'est trop drôle… elle lui donne même des petits surnoms amoureux débiles. Quelle comédienne, celle-là ! Je me moque ; Morgane fronce les sourcils.
— Allez, raccroche maintenant, lui soufflé-je dans l'oreille, qu'on aille s'amuser avant la reprise des cours.
Mais elle m'ignore et continue sa conversation pathétique au téléphone. Pas grave, je peux commencer à jouer dès maintenant. Je l'embrasse dans le cou et pose une main sur sa cuisse. La coquine a mis une minijupe, ce matin ; je prends ça comme une invitation. Morgane repousse cependant ma main. Ah, là là, ces femmes ! Il faut toujours qu'elles simulent un peu de résistance avant de se soumettre alors qu'elles n'attendent que ça. Morgane n'est pas différente ; elle me l'a prouvé ce week-end chez moi. Il a fallu que j'insiste un peu pour qu'elle se mette finalement à genoux. Ma main repart à l'assaut de sa cuisse et glisse sous le pli de la jupe. Morgane serre les jambes. Pas grave, ma main ne peut aller plus loin, mais en attendant elle est au chaud et je sais qu'elle va encore finir par céder : ce n'est qu'une question de temps.
— Allez, fillote, dis-lui que tu le plaques, qu'on passe à la suite. Tu es à moi maintenant ! lui murmuré-je en palpant un de ses magnifiques nichons.
Hum, qu'ils sont appétissants ! J'ai envie de lui arracher les boutons de sa chemise et de mâchouiller ses tétons. Des caresses et d'autres baisers dans le cou plus appuyés commencent à lui faire baisser la garde. Je prends sa main et la pose sur la bosse qui déforme mon pantalon pour qu'elle voie ce qui l'attend. Elle a un mouvement de recul, mais finalement la laisse. Je repars à l'assaut de ses cuisses et trouve le passage ouvert. Bingo ! Je le savais. Une belle salope, celle-là, pour mon plus grand plaisir. Ma main atteint sa culotte humide et commence à frotter son sexe à travers le tissu.
— Allez, sale chienne, lâche ton larbin qu'on aille baiser.
Morgane fronce les sourcils et se lève en repoussant violemment ma main. Quoi ? Elle joue les vierges effarouchées maintenant ? Qu'elle ne se moque pas de moi ! Elle se dirige plus loin derrière le bâtiment pour continuer sa conversation en paix. Je souris. Elle veut jouer ? Alors on va jouer ! Je la suis. J'attends le bon moment et la plaque par surprise dans un petit recoin un peu caché. Je lui passe une main entre les cuisses, une autre sur les seins et tente de l'embrasser, mais elle me repousse.
— Attends mon chéri, déclare-t-elle au téléphone. Je peux te rappeler plus tard ? Il faut que je raccroche… Très bien, moi aussi je t'embrasse.
— Eh bien, ce n'est pas trop tôt, me réjouis-je en tentant un nouvel assaut. Nous allons pouvoir enfin passer aux choses sérieuses.
— Mais ça ne va pas ! s'agace-t-elle en me repoussant une nouvelle fois. Qu'est-ce qui te prend ?
— Bon, on arrête de jouer maintenant ! lui dis-je, agacé par sa fausse résistance. Je sais que tu en as autant envie que moi. Allez retire-moi ta culotte qu'on baise.
— Mais t'es malade ! Je ne vais pas faire ça ici. Et si quelqu'un nous voyait ?
— Et alors ? Mais on peut toujours se trouver un endroit à l'intérieur si tu préfères.
Elle me pousse de son passage et s'écarte de quelques pas. Non, mais elle a fini avec ces manières ? Elle a beau faire semblant, je sais bien que c'est une salope qui n'attend que ça, comme toutes les autres.
— Nathan, tu me plais, c'est vrai, mais je crois que c'était une erreur de coucher avec toi. Je ne referai pas cette erreur une nouvelle fois. Laisse-moi tranquille maintenant.
— Tu te moques de moi ou quoi ?
Je n'en crois pas mes oreilles, mais elle ne répond rien et commence à s'éloigner à grand pas. Je la poursuis et l'attrape par le poignet. Si elle croit m'échapper comme cela ! Son réflexe est direct ; je n'ai pas le temps de voir le coup venir et me mange une claque dans la gueule. Ma fierté blessée, je la laisse cependant partir pour le moment. Je n'ai cependant pas dit mon dernier mot.
C'est à une pause le lendemain que je la recroise. Je suis accompagné de Manuel, David, et d'un autre membre de mon BDE. Elle est en train de discuter avec une autre première année dont j'ignore le nom et dont je me fous.
— Salut les filles, comment ça va ? lancé-je d'un air grandiloquent.
Elles me saluent à leur tour, Morgane d'une façon méfiante. Je leur fais la bise et profite pour passer ma main discrètement sur le cul de Morgane. Elle fronce les sourcils. Mes collègues les saluent à leur tour.
— Alors fillote, lui souris-je, comment va ton mec ? Ça ne le dérange pas trop, les cornes ?
Morgane devient toute rouge et propose à sa camarade de la retrouver plus tard. Cette dernière s'éloigne en nous jetant un coup d'œil curieux.
— Hé, il paraît que Nathan t'a mise à genoux et que tu l'as pompé, enchaîne David sans laisser le temps à Morgane de répliquer. J'aurais donné cher pour assister à ce spectacle.
— Tu ne veux pas nous refaire une démonstration ? ajoute Manuel, mon vice-président. En plus, ça tomberait bien : j'ai les couilles pleines.
— C'est qu'elle aime ça, la salope… ricané-je. Elle a tout avalé comme une grosse gourmande, j'vous jure !
— Putain, Nathan, arrête ça ! crache-t-elle. Tu avais besoin de raconter cela à tout le monde ?
— Quoi ? fais-je sur un ton faussement innocent. Je partage tout avec mes amis.
Et on s'éloigne en ricanant, la laissant le regard baissé. Ce n'était qu'une mise en garde ; la prochaine fois, elle réfléchira avant de me refuser quelque chose. Et peut-être que je la partagerai elle aussi avec mes amis, histoire de lui apprendre qui commande.