Chapitre 9

— Tu ne connais pas ma sœur Juliette ? me demande Virginie en me présentant une copie conforme d'elle-même.

Il est midi, et dans le hall de l'immeuble où se situent nos bureaux, nombreux sont les collègues qui partent déjeuner et qui dévorent des yeux les deux jumelles courtement vêtues.

— Bonjour à vous, belle dame… lui dis-je en lui tendant la main.

Elle ne prend pas ma main et vient directement poser une bise sur ma joue en me glissant :

— Je peux bien faire une bise à l'homme qui couche avec ma sœur.

Bien ; ainsi, la situation est claire. Je dois la dévorer des yeux car Virginie m'assène une claque derrière la tête en me reprochant dans un murmure :

— Dis donc, tu arrêtes de mater ma sœur comme cela ? Tu auras tout le temps de la regarder ce soir : nous dînons tous les trois ensemble à la maison.
— C'est une invitation ? OK, je serais là. J'amène le vin ?
— Oui, fais cela. En attendant, nous, on va déjeuner… Au fait, c'était une question ou j'ai rêvé ? Alors tu as un gage ; on en reparlera plus tard. Et puis arrête de lui regarder le cul comme ça !

Comme Juliette s'est un peu éloignée pour répondre au téléphone, je la détaille sans vergogne. C'est la copie conforme de Virginie : beau visage, belles fesses, beaux seins, le tout dans une robe-tube blanche collée comme une deuxième peau sur son corps délicieusement appétissant.
Virginie me gratifie de nouveau d'une tape derrière la tête.

— Je la baiserais bien, ta sœur ; je la baiserais sûrement mal, mais je la baiserais bien…
— Je n'en doute pas ; mais te connaissant, tu la baiseras comme il faut, comme tu le fais avec moi… ajoute ma jolie diablesse avec un large sourire de complicité.

Elles partent toutes les deux, bras dessus, bras dessous et je ne peux détacher mes yeux des deux magnifiques postérieurs qui se balancent devant moi.


La journée me semble interminable en ce mois de juillet extrêmement chaud. La clim de mon bureau peine à maintenir une température cohérente dans cette petite pièce ; et la température monte d'un cran quand j'ouvre le MMS envoyé par Virginie sur mon portable.

L'image montre deux paires de seins dénudés que je reconnais immédiatement, au moins pour l'une des deux paires : il s'agit de ceux de Virginie, et je suppose que les autres sont ceux de sa sœur. Le message qui accompagne l'image est des plus explicites : « Ils sont à toi si tu les retrouves. »

Le selfie n'a pas été pris avec beaucoup d'angle, et il y peu d'éléments permettant d'identifier l'endroit. J'aperçois bien de la couleur le long du buste de la paire de seins en poire de Juliette, mais je ne sais à quoi la rattacher. Je tente alors au hasard, me rappelant vaguement le rideau de la douche de Virginie : « Ta salle de bain. »
J'attends la réponse qui ne vient pas.

L'après-midi se termine chaudement mais sans autre message. Je quitte le bureau et file vers mon caviste préféré lui prendre deux bouteilles d'un Saint-Amour que j'affectionne. Je passe chez moi me doucher et me changer afin de me rendre présentable, puis je reprends ma voiture afin de me rendre, comme prévu, chez Virginie.
Je frappe à sa porte, une fois, deux fois, sans réponse. J'ouvre la porte et entre chez elle.

— Il y a quelqu'un ?

Pas plus de réponse. Cependant, comme j'entends des voix à l'étage, je prends l'escalier, guidé par des rires féminins. Personne dans la chambre ; personne dans le dressing. Les bruits qui proviennent de la salle de bain me redonnent le sourire : j'avais vu juste !
J'entre dans la pièce d'eau et trouve mes deux nymphes nues et souriantes.

— Tu as perdu, mon chéri : nous étions dans une cabine d'essayage. Ton gage sera donc simple : nous faire plaisir à toutes les deux sans que nous ayons à nous toucher.

Eh bien, voilà une situation inattendue ! Les deux femmes sont nues dans la salle de bain et me regardent avec gourmandise. Je me défais prestement de mes vêtements afin d'apparaître en tenue d'Adam. Mon sexe déjà au garde-à-vous se dresse en direction de ces deux femmes qui, je dois l'avouer, sont bien appétissantes.
Virginie m'entraîne par la main dans la chambre et me pousse sur son lit. Juliette, en retrait, lui fait un petit signe. Virginie s'approche et je les vois comploter à voix basse. Juliette, qui jusque là s'était tue, déclare alors :

— Nous allons modifier un peu ton gage : je vais t'attacher au lit et te bander les yeux, et tu devras tout de même nous donner du plaisir ; mais à notre manière.

Tout en disant cela, les deux sœurs me lient les poignets aux barreaux du lit et Virginie me couvre les yeux d'un bandeau. Je suis à leur merci ; elles peuvent faire de moi ce qu'elles souhaitent, et je n'ai rien à dire pour ma défense.

Les bras écartés et les yeux bandés, je ne peux que subir les fantasmes de mes deux maîtresses du moment. Les choses ne se font pas attendre : je sens rapidement des lèvres qui effleurent mon torse. Des mains caressent mes cuisses, d'autres mon ventre. Une bouche joue avec mes tétons, une autre effleure ma queue dressée. Les sensations sont terriblement excitantes… Une bouche – laquelle, je ne saurais le dire – vient d'enfourner mon sexe et commence à descendre le long de ma hampe. Je sens le matelas s'affaisser de part et d'autre de ma tête, et une douce odeur de cyprine arrive à mes narines en même temps qu'un sexe de femme se pose sur mes lèvres. Je déguste cette chatte offerte, insinuant ma langue entre les lèvres déjà humides. Je me concentre sur cette caresse pour ne pas penser à la bouche qui me pompe de plus en plus fort et profondément au risque de me faire éjaculer rapidement.

Je lèche les lèvres, les écarte, enfonce ma langue au plus profond puis ressors pour jouer avec le bouton d'amour, le lécher, l'aspirer, puis ma langue s'éloigne pour venir goûter la rondelle anale. Mes caresses doivent être agréables car je sens ce corps au-dessus de moi bouger, chercher mes caresses, essayer même de les guider et s'appuyer de plus en plus fort sur ma bouche. Les gémissements qui accompagnent cette caresse se font plus rapides et plus forts. Je ne parviens pas à savoir laquelle des deux sœurs je suis en train d'honorer ainsi.
La bouche qui me pompait la queue a quitté la zone après m'avoir léché abondamment les boules.

Nouvel affaissement du matelas à hauteur de mes hanches, et c'est maintenant dans un vagin trempé que je coulisse d'abord lentement puis de plus en plus vite. Le sexe sur mon visage est toujours actif et les mouvements de bassin de sa propriétaire se font plus rapides et plus directifs. J'ai maintenant en permanence l'anus sur ma langue, qui bien volontiers le fouille et s'enfonce au plus loin comme un petit sexe. Je sens également qu'une main est venue prendre possession du sexe que j'ai été obligé d'abandonner.

Les deux demoiselles gémissent en rythme, et je ne sais qui fait quoi mais elles vont jouir dans les secondes à venir, et moi aussi. Au même instant les deux femmes se laissent aller au plaisir, m'écrasant le visage et le sexe dans un même mouvement. Je sens la cyprine couler sur mon menton et sur mes testicules au moment où je jouis en poussant un cri libérateur.
À peine le temps de me remettre de mes émotions que les deux furies qui ont quitté la scène et doivent être en train de me contempler me disent :

— Si tu devines qui faisait quoi, on te détache et nous serons tes esclaves jusqu'au petit matin.

Voilà une proposition alléchante ; mais si je ne trouve pas (et seront-elles de bonne foi car, après tout, je ne vois toujours rien), que vont-elles encore inventer ? Je cherche dans ma mémoire olfactive et sensorielle des détails qui pourraient me permettre de faire le bon diagnostic. Le goût ou l'odeur du sexe que j'ai dégusté, la bouche qui m'a sucé… Je tente de me souvenir des détails rattachés à ma Virginie. Je me lance dans une réponse argumentée, même si je ne suis pas sûr de moi à 100 % :

— Virginie sur ma queue et Juliette dans ma bouche.

Le bandeau est retiré de mes yeux et je découvre mes deux belles agenouillées sur le lit à mes côtés, Virginie à hauteur de mon bassin et Juliette à hauteur de ma tête.

— Tu as gagné, mon chéri. Je te détache et je te promets que nous allons être à toi pour la nuit. Demande ce que tu veux et nous t'obéirons.

Le fantasme total : deux magnifiques jeunes femmes qui vous offrent ce cadeau, je suis fou de joie ! D'ailleurs mon sexe l'est aussi puisqu'il se dresse instantanément en direction des corps dénudés de mes présents pour la soirée.

— Très bien, mes petites chiennes adorées. Mettez-vous toutes les deux à genoux à mes pieds, les mains dans le dos.

Les deux femmes descendent du lit et viennent se positionner comme demandé.

— Penchez-vous en avant, la tête sur le sol les fesses bien relevées.

Encore une fois les deux sœurs obéissent sans un mot. J'ai sous les yeux deux magnifiques postérieurs, l'un plein de ma bave dont la rondelle anale est luisante, l'autre dont le sexe qui a déjà été honoré dégouline de sperme.
Le spectacle est très excitant. Je ne résiste pas à l'envie et je claque celui de Juliette.

— Vous avez été très vilaines avec moi ; je vais vous corriger !
— Oh oui, mon chéri, nous avons été de vilaines filles… ajoute Virginie en prenant un faux accent de petite fille pénitente.
— Silence, chienne ! Je vais vous corriger toutes les deux !

Et je frappe le cul de Virginie. Je fesse de nouveau Juliette assez fort, puis Virginie. J'alterne mes coups sur l'une et sur l'autre ; leurs fesses commencent à rougir, et je me rends compte que les deux sexes commencent à mouiller abondamment.

— Mais c'est qu'elles aiment ça, les cochonnes !
— Oh oui, mon Maître… me répond Juliette.

Pour la faire taire, j'ajuste la fessée sur sa cuisse mais mes doigts atterrissent sur ses grandes lèvres, provoquant chez elle comme une décharge électrique. Je me mets à genoux entre elles, légèrement en arrière ; j'ai ainsi une vision des deux postérieurs, mais aussi des deux visages. Je les vois sourire. Mes mains se posent sur les fessiers rougis pour caresser les deux femmes en même temps. Je descends dans les raies culières, grattant du bout du doigt l'anus de chacune d'elles au passage et enfile directement deux doigts dans chacune des chattes trempées. Les deux demoiselles gémissent à l'unisson et adoptent le même rythme de respiration au fur et à mesure que j'accélère la vitesse de mon doigtage.

Les deux visages sont posés sur le sol et tournés vers moi ; Juliette se lèche les lèvres en regardant intensément ma queue qu'elle n'a pas encore goûtée. J'avance mon bassin pour lui permettre de prendre mon sexe dans sa bouche. Virginie, qui a vu ce que je fais, proteste :

— Bah alors, et moi ?

Juliette lâche ma queue qu'elle avait plongée loin dans sa gorge et lui répond :

— Comme dans la pub de Kinder Bueno : on partage ?

Et elles se mettent à me sucer de concert, l'une m'avalant presque pendant que l'autre lèche ma paire de boules. C'est divin, deux sœurs qui vous mangent la queue pendant que vous leur caressez la chatte ! Que demander de plus ?

Je n'en peux plus de leurs caresses, et pour ne pas jouir de suite je me retire malgré leurs protestations. Je me recule et me penche sur le cul de ma jolie maîtresse que je me mets à lécher dans tous les recoins avec avidité. Je passe de son clitoris à son anus pour lui donner le plus de plaisir possible pendant que ma main continue de fouiller le sexe de sa sœur.

Juliette se tourne de nouveau et échappe à ma main ; elle se penche et recommence à me sucer, quasiment allongée sur le sol. Virginie, toute à son plaisir, ne l'a pas vue changer de position et reste les fesses en l'air à la merci de ma bouche qui va de plus en plus vite, de plus en plus profondément, cherchant à la faire jouir.

La voyant prête à exploser sous mes caresses, je cesse le jeu de ma langue, retire ma bite de la bouche de sa sœur et l'enfile directement au plus profond de son sexe dégoulinant. Juliette, se voyant privée de son jouet, soupire et vient regarder par-dessus le fessier de sa frangine mon sexe qui la pilonne. Elle se tourne vers le lit de Virginie et cherche un objet sous l'oreiller d'où elle ressort un gode rose de taille identique à mon sexe et se met à le sucer juste au-dessus des reins de ma belle. Sa bouche inonde l'objet en plastique de sa bave ; elle se penche au-dessus des fesses de Virginie, crache un peu de salive sur son anus puis commence à y introduire le morceau de plastique rose.

Virginie tend ses fesses a cette double pénétration et râle de plaisir sous les coups de boutoir qui maintenant ramonent ses deux orifices. La sensation de cette double pénétration est pour moi divine ; même si je me sens un peu à l'étroit, j'ai une folle envie de défoncer l'orifice où je m'agite. Je m'active donc avec force dans ma belle. Elle n'est pas longue à jouir dans un long cri de délivrance, s'affalant sur la moquette, pantelante.

Elle m'a laissé la bite raide et en pleine forme ; qu'à cela ne tienne, j'attrape Juliette par la hanche, la positionne comme sa sœur pour reprendre mon action là où je l'avais laissée mais, à ma grande surprise, la place a déjà été investie par le gode abandonné par Virginie, et la demoiselle me tend ses fesses pour une sodomie de bon aloi.

Je ne me fais pas prier et enfonce mon pieu de chair dans la rosette si gentiment offerte. La sensation est tout aussi agréable que lors de la précédente pénétration ; je sens le gode s'activer de l'autre côté de la paroi qui sépare les deux conduits et je commence un ramonage profond, rapide et sans pitié.

Virginie, qui a repris ses esprits, glisse sa tête entre mes cuisses et se met à me gober les boules. Je n'y tiens plus ; c'est tellement bon que je jouis brutalement dans le cul de Juliette qui me rejoint instantanément dans un long cri. Ma queue est éjectée du conduit anal tant elle serre fort son vagin autour du godemichet, et Virginie s'empare de ma bite pour aspirer de mon gland les dernières gouttes de sperme qui s'en échappent. Elle m'avale et me pompe si bien que j'ai un deuxième orgasme et décharge encore une fois dans le fond de sa bouche les dernières gouttes de ma semence.

— Déjà fini ? Mais on vient juste de commencer ! s'exclame Virginie.
— Mais non : il va recharger ses batteries et on remet ça ! lui répond Juliette.
— Alors à genoux, mes petites chiennes : vous n'avez pas écouté mes consignes, je vais devoir vous punir.

Je récupère les liens qu'elles ont utilisés et attache l'une et l'autre aux barreaux de la tête de lit, Virginie sur le ventre, Juliette sur le dos.

— Où étiez-vous cet après-midi quand vous avez pris la photo ?

Juliette me répond :

— Dans une cabine d'essayage.

Je frappe sa cuisse du plat de la main et lui ordonne :

— Tu dois m'appeler « mon Maître » et être précise dans ta réponse !
— Dans la cabine d'essayage d'un sex-shop, mon Maître.
— Et qu'avez-vous essayé ?

C'est Virginie qui répond :

— Des sextoys, mon Maître.
— Et ils sont où ?
— Dans un sac sous le lit, mon Maître, me renseigne Juliette.

Je me penche et trouve le sac ; à l'intérieur, un gode rose comme celui déjà utilisé et deux œufs vibrants à télécommande. Il y a aussi de la lingerie très sexy et un bâillon pour chacune d'elles.

— Je vois que vous avez prévu de vous amuser…
— Oh oui, mon Maître ! me répondent-elles ensemble.
— Eh bien je vais commencer, puis j'irai prendre ma douche. Je mangerais bien un bout aussi.

Je m'approche des deux jeunes femmes à ma merci. Je leur passe le bâillon pour les forcer au silence, leur bande également les yeux, puis je m'approche des sexes détrempés par nos précédents jeux. Je fouille chacune d'elle de ma main et introduis un œuf dans chaque vagin. Je règle les deux télécommandes sur vibration minimum et les range dans la poche de mon jean que je ramasse à l'entrée de la chambre. Avant de sortir, j'ajoute :

— Je vous laisse jouir un moment ; je vais me doucher et manger quelque chose… il faut bien que je recharge mes batteries !

Je suis un peu salaud sur ce coup-là, mais il faut vraiment que j'avale quelques aliments et me repose un peu ces deux diablesses m'ont épuisé.

Après avoir pris tranquillement une douche, je me suis habillé, visité le rez-de-chaussée à la recherche d'objets utiles pour la suite, et suis allé me servir dans la cuisine. Un ou deux fruits plus tard, je remonte dans la chambre le plus discrètement possible afin d'observer de plus près l'avancement des événements.

Ce que je découvre est tout simplement délicieusement bandant : mes deux nymphes ont réussi à se tourner l'une vers l'autre et sont en train de frotter leurs clitoris l'un contre l'autre, les jambes de l'une passant entre celles de l'autre. Elles se frottent vite, preuve que la vibration ne suffit pas à les faire jouir mais seulement à les exciter. Le rythme de leur bassin s'accélère encore et je les entends gémir. Je prends les deux télécommandes et d'un coup enclenche la vitesse maxi. La réaction des deux femmes est immédiate : elles cessent leur frotti-frotta pour se concentrer sur l'œuf qui maintenant doit leur donner des sensations plus puissantes dans le bas-ventre. Elles se pâment, ne retiennent pas leur jouissance, et je les vois se relâcher, le souffle coupé… deux secondes à peine car la machine continue inlassablement à vibrer.

Je m'approche d'elles. Juliette tourne la tête dans ma direction, car même si elle ne peut pas me voir, elle a dû m'entendre. Je pose ma main sur sa cuisse, baisse l'intensité du jouet et me penche à son oreille :

— Pas un son ne doit sortir de ta bouche. Je vais enlever le bâillon. Laisse-moi faire ce que je veux et continue à aider Virginie à prendre du plaisir.

Je défais le tissu qui recouvre sa bouche, baisse mon pantalon et fourre ma queue entre ses lèvres. Je l'enfonce sans difficulté au plus profond de sa gorge et commence de lents allers et retours de toute la longueur de mon sexe, presque jusqu'à sortir. Mes mouvements sont lents et amples, et je ressens divinement chaque portion de mon sexe entre ses lèvres. De ma main j'appuie sur ses fesses pour que son clitoris continue à frotter celui de Virginie. J'ai remis un peu plus de vibrations dans l'œuf qui ne les a pas quittées, et les deux femmes repartent vers un orgasme au diapason.
Je vois ma Virginie trembler et se recroqueviller pour échapper à la vibration insoutenable qui envahit son ventre. Juliette serre les lèvres sur ma bite au moment où elle jouit.

La bite toujours tendue, je quitte le doux écrin qu'est la bouche de Juliette et leur annonce :

— Alors, mes petites chiennes, vous en avez assez de cette punition ? Encore un petit effort et je vous libère.

Je desserre les liens de Virginie et la fais s'allonger sur Juliette, maintenant sur le ventre. Devant moi, les deux femmes l'une sur l'autre me présentent quatre orifices trempés. Je retire les œufs, me positionne debout derrière elles et commence à enfoncer mon sexe bien raide dans l'anus de Virginie puis, une fois au fond, je ressors et honore son vagin que je quitte bientôt pour enfiler le cul de Juliette, et enfin c'est au tour de son sexe. Je reprends la même opération en remontant, gratifiant chaque orifice de plus nombreux coup de bite à chaque introduction.

Après quelques minutes de ce traitement fantasmatique, je me rends compte que je ne les ferai pas jouir ainsi ; il me faut de l'aide. J'attrape les godemichets roses que j'enfile dans chacun des anus à ma disposition et me contente d'honorer les deux chattes ouvertes, lubrifiées et rougies par l'excitation et les jouissances répétées. Mes deux petites chiennes sont haletantes, alors je continue de plus belle mes coups de boutoir dans l'une et l'autre, poussant dès que je le peux les godes plus loin dans les petits culs.

Leur jouissance, comme la mienne, ne se font pas attendre ; elles se laissent aller et je regarde leur cyprine inonder les deux corps. Pour ne pas faire de jalouse, je sors mon sexe du dernier orifice et balance ma semence sur les deux fentes dégoulinantes.