Ma jeune collègue de boulot
Oshmonek2017Chapitre 7
Aujourd'hui j'ai pris conscience d'une chose importante : nos ébats sexuels, qui au départ n'étaient vraiment que de petits jeux, sont devenus pour moi primordiaux. J'en ai besoin, j'en ai envie, et j'ai envie de les provoquer. Enfin une relation qui m'amuse et qui semble plaire à la jolie Virginie !
Ce matin, en arrivant tôt dans nos locaux, j'ai été déposé un petit mot sur le bureau de la belle ; je saurai rapidement si elle veut bien jouer le jeu. Sur le papier est écrit : « Si tu es capable de me faire jouir sans que je quitte mon fauteuil et sans que personne ne s'en rende compte, tu gagnes un gage. » Un défi de taille. En effet, ces derniers temps je suis de plus en plus présent dans le bâtiment avec pour consigne de réduire un peu mes déplacements afin de rattraper mon retard dans la rédaction de mes devis ; cette sur-présence fait aussi que mes collègues m'interpellent de plus en plus en direct en venant taper à ma porte. Et justement, on tape déjà à ma porte.
Il s'agit de quelques collègues qui viennent d'arriver et qui passent me saluer. Le défilé des salutations matinales commence et va durer un long moment ; je ne vais pouvoir être tranquille que vers 9 h 30 – heure à laquelle tout le personnel aura rejoint l'entreprise – et ce jusqu'à 11 h 30, moment où commencera le ballet des « Tu viens déjeuner ? », ces deux périodes entrecoupées par les pauses café et clope ainsi que par le ballet des demandes dans mon bureau.
Je vais finir par aller m'installer au bureau 123 dans le couloir déserté du premier étage !
J'en suis encore dans ce cheminement de pensées quand Virginie entre dans la pièce pour me saluer. Elle se penche par-dessus le bureau pour me gratifier d'un baiser discret sur la bouche, me laissant entrevoir dans le mouvement et par l'échancrure de son pull la naissance de ses seins magnifiques. Sa tenue est simple et sobre : une courte jupe beige, un pull de la même couleur au large col qui dégage une épaule, et ses jambes nues dans des escarpins gris. Rien de plus simple, mais je la trouve élégante, et en la regardant sortir, je me dis qu'elle ne porte visiblement pas de sous-vêtement sur ses jolies fesses. Troublante Virginie… À chaque rencontre je l'imagine dans une posture sexuelle excitante, et je contiens difficilement mes érections. Incroyable pouvoir érotique qu'elle a sur moi !
Mon téléphone qui sonne me rappelle que j'ai un métier. Je décroche et commence un dialogue avec l'un de mes plus gros clients. Même si l'on se tutoie, que le ton est jovial, le contrat est important et je dois rester concentré sur la négociation. Assis derrière mon bureau, je prends des notes, consulte mes tarifs et mon ordinateur. Nous parlons depuis cinq minutes quand ma belle entre en action, mon papier à la main. Me voyant au téléphone, elle sourit et vient derrière moi. Elle passe ses deux mains sur mes épaules et descend doucement sur mes pectoraux, puis sur mon ventre pour enfin finir sur ma ceinture qu'elle défait en un geste, dégrafant par la même occasion les boutons de mon jean.
Un bruit de pas dans le couloir. Virginie retire ses mains et se tient sagement debout derrière moi. Je suis toujours en conversation téléphonique quand Fred entre pour me demander quelque chose. Me trouvant occupé, il me fait signe qu'il reviendra un peu plus tard. Virginie s'empresse de reprendre ses investigations dès que la porte se referme. Je l'ai cherchée ; je l'ai trouvée. Fallait pas la provoquer !
La voilà maintenant qui se glisse sous mon bureau et entreprend de sortir ma queue de mon pantalon, maintenant trop étroit pour contenir mon sexe gonflé. Sa dextérité est étonnante, et elle a vite fait d'enfourner mon gland au plus profond de sa bouche alors que je termine ma conversation et me laisse aller contre le dossier de mon fauteuil. Sa langue s'active sur ma queue. Sa bouche se fait douce et chaude ; elle m'aspire tout entier, faisant tournoyer sa langue un peu partout sur ma hampe.
Je me laisse faire bien volontiers, ne lâchant pas son regard vert. Elle alterne entre les gorges profondes et les succions plus localisées sur mon gland, me lèche les bourses, passe sa langue un peu partout puis me prend profondément, aspirant mon membre avec force. Toutes ces caresses m'amènent là où elle le souhaite, vers une jouissance certaine. Et c'est au moment où je sens ma liqueur monter de mes bourses que la porte de mon bureau s'ouvre, livrant passage à la jolie rouquine du service clientèle !
D'un mouvement brusque je me remets en appui sur mon bureau et avance mon siège au plus près du bord afin que ma visiteuse ne puisse rien voir de ce qui se trame ici. Je décharge au même instant dans la bouche de Virginie qui ne fait plus aucun bruit de succion, se contentant d'avaler mon sperme le plus consciencieusement possible. J'ai du mal à garder une posture digne alors que la jouissance est fulgurante ; et répondre aux questions de mon interlocutrice est un défi. Je donne les réponses attendues par la belle Christine. Elle a l'air de se douter de quelque chose mais ne relève rien et quitte enfin la pièce, non sans m'avoir lancé un dernier regard et un clin d'œil entendu. Qu'a-t-elle deviné ? Ou vu ? Je ne le sais pas.
J'aide Virginie à se relever dès que le bruit de ses pas s'éloigne dans le couloir. J'embrasse ma belle à pleine bouche, retrouvant le goût de mon sexe sur ses lèvres, et d'un geste je fais disparaître la petite perle de ma semence qui orne le menton de ma belle suceuse.
— Maintenant tu me dois un gage ; je te le fais connaître avant ce soir, mon bel étalon.
Que d'excitation… que de plaisir… Cette diablesse m'enivre, et j'attends son gage avec impatience. Je suis tout de même un peu inquiet car elle est capable de tout, même de me mettre dans une situation périlleuse au bureau ; ce ne serait pas la première fois.
La journée se déroule sans nouveaux événements et je ne vois pas le temps passer, coincé entre mon bureau, mon téléphone et mon ordi. Je n'arrête de travailler que vers 19 heures, me décidant enfin à quitter mon travail pour m'accorder un peu de temps pour moi. Je rentre à mon domicile par la route habituelle, laissant mon esprit vagabonder alors que je roule tranquillement sur la départementale qui me ramène vers mon village.
Au loin, j'aperçois une jeune femme sur le bord de la route qui fait du stop à côté d'une voiture dont les warnings fonctionnent. Je ralentis. La route est déserte : elle n'est pas près d'avoir de l'aide, par ici… Je m'arrête à sa hauteur pour lui demander si elle souhaite que je la dépose. À ma grande surprise je reconnais, une fois les lunettes de soleil enlevées, ma jolie Virginie qui, avec un grand sourire, me dit :
— Merci bien, Monsieur, de vous être arrêté ; je crois que je suis en panne, et j'aurais besoin de l'aide d'un beau et gentil monsieur comme vous pour me secourir.
Elle me la joue un peu « pauvre petite fille seule » ; je rentre dans son jeu.
— Je peux vous déposer où vous voulez ; vous êtes fort jolie, et les routes sont peu sûres dans nos contrées.
— Je veux bien, mais promettez-moi d'être sage et de ne pas essayer de me violer au détour d'un chemin.
— Promis ! est ma réponse accompagnée d'un large sourire.
Alors c'est cela, le gage : elle veut que l'on simule un viol. Elle monte côté passager, me dévoilant largement ses cuisses en s'asseyant dans mon véhicule. Je ne me prive pas de regarder ses jolies jambes et cette jupe déjà courte qui remonte maintenant bien haut.
— Vous avez promis d'être sage, Monsieur, et déjà vous regardez sous mes jupes… Auriez-vous une idée derrière la tête ?
Je pose ma main sur sa cuisse si douce.
— Je crois bien, oui ; vous êtes fort jolie, et…
— Oh non, Monsieur ! Je ne veux pas que vous me fassiez des choses sexuelles… proteste-t-elle en surjouant le rôle de la belle effarouchée.
Pour l'emprunter tous les jours, je connais bien cette route ; à peine quelques mètres et je prends un chemin de traverse qui, je le sais, mène à un petit bosquet tranquille. Elle se tortille sur son siège, jouant la belle en panique.
— Où m'emmenez-vous ? Je vous ai demandé d'être sage ; vous n'allez pas me violer, quand même !
Je ne réponds pas et me gare sous les arbres, retire la clef de contact, descends de la voiture et viens ouvrir sa portière, puis je la fais sortir du véhicule en la tirant par le bras.
— Vous allez me violer ? Oh non… Je ne veux pas que vous soyez trop brutal ; j'ai peur ! Et puis vous avez l'air d'avoir une grosse queue…
Encore une fois elle a pris le ton de la jeune effarouché mais les mots sonnent faux. Elle veut que je simule le viol, que je la bouscule… Soit, jouons.
— Tu vas commencer par la sucer, cette grosse queue. Et en douceur, sinon il va t'en coûter !
Je la force à s'agenouiller dans l'herbe et défais mon pantalon ; elle m'aide dans ma tâche, ce qui me confirme son désir de jouer. Elle gobe mon gland et commence à me caresser les testicules de ses mains ; elle me prend maintenant bien en profondeur, faisant courir sa langue autour de ma queue bien dure. J'attrape une poignée de cheveux et appuie sur sa tête pour la forcer à aller plus loin et lui donner le rythme ; elle s'applique, me suce divinement.
Elle ressort mon sexe luisant de sa bouche pour me dire :
— Vous n'allez pas me violer, Monsieur ; ni le sexe, ni les fesses…
Je ne réponds toujours pas, la saisis sous l'aisselle pour la faire se lever, la pousse vers la voiture et la force à plaquer son torse sur le capot. Lorsque je relève sa jupe, je constate qu'elle ne porte pas de culotte ; je vois son sexe luisant d'humidité.
— Pas de culotte et la chatte trempée ? T'es une belle salope !
— Oui, c'est vrai, Monsieur, je suis un peu salope ; mais si vous me prenez l'anus, faites doucement, je suis encore vierge…
Nul besoin de traduction : elle me demande de lui déflorer le cul. Mais avant, je vais la baiser conventionnellement.
Je pose ma main sur ses lèvres intimes trempées de mouille et j'introduis deux doigts ; elle écarte les pieds pour me faciliter l'accès. J'écarte ses lèvres de mes deux mains tout en caressant de mes deux pouces son clitoris gonflé ; elle gémit et écarte encore plus ses jambes. Je l'attrape derrière le genou, remonte sa jambe sur le capot de la voiture et la pénètre d'un coup à fond ! Elle pousse un long cri de plaisir. Je commence mes allers et retours. Elle a la tête sur le côté et essaie de me regarder. Je passe une main sous son pull afin d'attraper un sein écrasé par le poids de son corps sur le capot ; elle se redresse légèrement pour me laisser pincer le téton turgescent.
Je la baise violemment, allant de plus en plus vite dans son sexe détrempé. La position que je lui ai imposée ouvre légèrement ses fesses et je vois sa pastille rosée cachée entre les deux merveilleux globes de son fessier. Je glisse un doigt dans sa bouche pour qu'elle le lèche et le mouille, ce qu'elle fait comme elle aurait fait avec ma bite. Mes coups de boutoir sont réguliers et elle gémit de plus en plus fort ; je la sens prête à jouir. Elle se démène pour venir à la rencontre de ma queue qui la défonce. Mon doigt bien mouillé, je le place à l'entrée de son anus et en caresse les contours, puis je l'enfonce un peu. Ses gémissements changent d'intensité, et ses mouvements aussi. Elle aussi cherche cette pénétration, venant à la rencontre de mon doigt qui viole son trou du cul.
Elle va jouir, je le sens… Je la laisse venir, retenant ma propre jouissance. Dans un long cri elle se laisse aller, serrant tout à la fois son vagin sur ma queue et son muscle anal sur mon doigt. Ses jambes ne la portant plus, c'est mon bassin qui la cloue sur le capot qui la maintient dans la position. Contre toute attente elle me dit :
— Prends-moi le cul maintenant et viens jouir au fond de moi ; il y a ce qu'il faut dans mon sac.
Me penchant pour regarder dans ses affaires, j'aperçois un tube de gel lubrifiant ; elle avait tout prévu ! Je m'en empare, et comme elle a gardé la position, j'en étale sur sa pastille ainsi que sur mes doigts. Lentement, je reprends possession de son anus, la pénétration de mon doigt facilitée par le gel. Il est maintenant enfoncé jusqu'au plus profond d'elle, et Virginie recommence à gémir :
— Vas-y, défonce-moi le cul… J'en rêve… Je veux…
Je fais tourner le doigt et y adjoins un deuxième, puis je les fais coulisser dans sa rosette qui commence à se détendre. Elle ne reste pas inactive : sa main droite s'est glissée sous son ventre et elle caresse doucement son clitoris. Son autre main m'attrape le sexe et me masturbe doucement de bas en haut au même rythme que mes caresses manuelles. Quand mes deux doigts voyagent aisément dans son cul, d'elle-même elle approche ma queue de son antre et place le gland sur la pastille de son petit trou. Sa main droite s'active toujours sur son clitoris mais elle a lâché ma queue pour écarter ses fesses et me faciliter l'introduction. Je pénètre doucement ; le gland passe sans difficulté, et je m'enfonce lentement dans son anus. Elle gémit de plus en plus fort et m'incite à plus de fougue :
— Vas-y franchement ! Baise-moi le cul ! Encule-moi avec ta belle queue, fais moi jouir du cul !
Il ne m'en faut pas plus ; je commence à aller et venir de plus en plus vite dans son cul, distendant la délicate rosette. Elle s'active de plus en plus vite sur son petit bouton, et moi je saisis encore une fois son sein et le triture violemment. Encore une fois, elle va jouir : je sens son anus se serrer sur ma bite ; elle râle, puis crie fort son plaisir alors que je me déverse en elle au même moment, et nous jouissons en un bel ensemble de cette première sodomie.
— Ne crois pas que c'était ton gage, ça : c'était juste un jeu. Pour ton gage, je m'en occuperai dans les jours prochains. En attendant, c'était trop bon !