Ma jeune collègue de boulot
Oshmonek2017Chapitre 2
Et dire que je pensais finir la journée sur cette note laissée en suspens… Mais c'était sans compter sur la pétillante Virginie. Il faut dire que je l'avais visiblement laissée sur sa faim et qu'elle ne comptait pas en rester là.
Tout l'après-midi j'étais resté suspendu à mon portable avec des clients et des fournisseurs, enchaînant les appels et les messages, quand je reçus un nouveau SMS de la demoiselle. Nouveau message, nouvelle photo, et une question : « Où cela se trouve-t-il ? »
J'ouvre la photo : un grain de beauté sur sa peau. Bonne question. Où est ce grain de beauté ? J'ai beau agrandir la photo, la tourner et scruter le moindre détail, je ne trouve pas. Je ne vais pas lui répondre de suite et prendre mon temps, la laisser mariner…
D'un coup, une idée me vient : en fait, je l'ai déjà vu, ce grain de beauté. Je reprends les précédentes photos qu'elle m'a envoyées dans la journée et les étudie de très près. En agrandissant la seconde photo de son sein, j'aperçois la petite tache brune sur le bord de l'image, entre ses deux seins.
Réponse par SMS : « Cette malice se trouve entre tes seins. Tu as un gage ! »
Elle me répond :
« Observateur ! OK pour le gage. »
« Rien de sexuel ; pour demain, voici ton dress code : bas noirs, jupe ou robe noire, un haut plutôt transparent, escarpins assortis, et pas de sous-vêtements. »
« Pas de sous-vêtements ? »
« Oui, et je vérifierai ! »
Je sais que je la provoque ; je ne suis pas sûr qu'elle jouera le jeu. Elle est jeune, et habituellement pas du tout dans la provocation. Je la pousse volontairement vers un comportement qui ne lui est pas familier ; mais après tout, c'est elle qui a voulu jouer. On verra demain.
Je ferme mon ordinateur, range mon bureau et me prépare à partir. D'un coup, la porte de mon bureau s'ouvre et Virginie se glisse à l'intérieur ; elle referme derrière elle et se cale le dos contre la porte.
— Tu pensais t'en sortir comme ça ? J'ai eu envie de toi toute la journée, et tu penses que tu vas me laisser dans cet état jusqu'à demain ?
— Demain ? Bien plus, ma belle : nous jouons, et pour obtenir ce que tu veux, il te faut gagner. Pour le moment, c'est moi qui ai la main.
— Alors je fais comment, moi ? J'ai une énorme envie et je suis trempée.
— Si tu es trempée, enlève ta culotte ; si tu as une grosse envie, caresse-toi toute seule.
Elle me regarde droit dans les yeux :
— D'accord, je vais faire ça. Mais ici, maintenant, et devant toi !
— Je n'ai pas vraiment le choix puisque tu bloques la porte.
Elle ne prend pas le temps de répondre. Elle se déchausse, remonte sa jupe sur ses hanches et se baisse pour rouler ses collants qu'elle fourre dans son sac. La culotte, aperçue sur un selfie ce matin, prend la même direction.
Son sexe est bien épilé ; il ne reste de sa toison qu'un ticket de métro fort agréable à l'œil. Elle ne perd pas une seconde ; ses doigts commencent à investir son intimité. Elle ne s'est pas déplacée et reste appuyée à la porte ; ses yeux n'ont pas lâché les miens, et elle commence sa masturbation avec un regard plein de désir braqué sur moi. Ses mains s'activent ; deux doigts sont enfoncés dans son vagin tandis que son autre main caresse son clitoris de plus en plus rapidement. Elle halète de plus en plus.
Moi, je suis toujours assis derrière mon bureau (bien en peine de me lever avec l'érection compressée dans mon jean) et je ne lâche pas son regard dans lequel je vois, en plus du désir et de la jouissance qui monte, une supplication, un « viens m'aider », mais je reste imperturbable (en apparence, du moins). Elle va jouir, je le vois : ses gestes sont plus saccadés, ses jambes tremblent et fléchissent pour se pénétrer plus profondément avec ses doigts qui l'envahissent.
Elle jouit dans un long râle qui a dû s'entendre dans tout le bâtiment. Je vois ses doigts se crisper et arrêter leur manège, ses jambes se détendre et son regard s'envoler. Elle ferme les yeux un instant pour profiter de son plaisir. Quand elle les ouvre à nouveau, son regard s'est légèrement voilé. Elle me lance :
— Tu me le paieras au centuple !
Le ton est joueur ; je lui réponds :
— Si tu me laisses faire, tu seras remboursée comme il convient.
Elle rabaisse sa jupe et quitte mon bureau avec juste un « Bye ! »
Moi, je vais attendre avant de quitter le bureau ; attendre que mon érection se calme un peu.
Le lendemain matin j'étais – je dois l'avouer – de bonne heure au bureau, ce qui n'est pas vraiment dans mes habitudes. J'attendais l'arrivée de Virginie avec une impatience que je ne laissais pas transparaître de peur d'être démasqué par d'autres.
Fred, mon collègue, remarque aussitôt ma présence. Lui qui arrive aux aurores, me demande la raison de ma présence. Arguant d'un surcroît de travail, j'écarte ses questions et me replonge dans un dossier que j'ai déjà lu dix fois depuis mon arrivée. Malgré moi, elle me trouble, cette jeune femme. Va-t-elle jouer le jeu ou faire en sorte d'esquiver le gage ?
Huit heures ; j'entends des pas dans l'escalier et des voix de femmes. Virginie et Julie entrent dans mon bureau pour me saluer. Je ne peux m'empêcher de détailler la belle de la tête aux pieds afin de m'assurer qu'elle a suivi les consignes. À première vue, elle a fait exactement ce que je lui ai imposé : talons, bas ou collants noirs (je ne peux pas le vérifier), robe noire courte, chemisier gris presque transparent mais sagement fermé et partiellement recouvert par le haut de la robe. Pour les sous-vêtements, impossible de m'en assurer, si ce n'est que je ne vois pas de bretelles de soutien-gorge sous le chemisier.
Je ne montre pas plus d'émotion que d'habitude, mais les yeux de Virginie, eux, ont suivi mon manège, et elle me lance un petit sourire avant de sortir.
Très excitant, tout ça ! Elle est vraiment jolie, et le noir met bien ses jambes en valeur. Bas ou collants ? Mes pensées vagabondent sur ce sujet pendant que je relis pour la onzième fois mon dossier. Comment vais-je vérifier qu'elle ne porte rien sous sa robe ? Encore une question à laquelle je ne peux répondre pour le moment, mais je sais que je vais trouver le moyen de le vérifier rapidement.
Onze heures. Ma ligne fixe sonne : c'est Virginie qui me dit avoir un dossier à vérifier avec moi. Bien sûr, je l'invite à passer dans mon bureau. En quelques secondes elle est devant moi, repousse la porte sans la fermer, dépose un dossier sur mon bureau et me questionne sur le client dont elle vient de me donner le fichier.
Elle prend le fauteuil juste en face, s'assied et croise très haut ses jambes. Ce geste volontaire me permet d'apercevoir le haut de ses bas. Elle a effectivement suivi mes consignes et me le démontre en décroisant encore une fois les jambes, telle Sharon Stone dans Basic Instinct. J'entrevois qu'elle ne porte effectivement pas de culotte. Je la détaille sans vergogne, oubliant même de parler.
Est-ce l'excitation ou seulement le frottement du tissu sur ses mamelons, mais il me semble que ses tétons sont dressés et m'invitent à venir les libérer.
— Franck, tu peux me donner des informations ? … Franck ?… Hé, ho, tu reviens au dossier ?
— Euh… Oui… Excuse-moi, j'étais en pleines réflexions.
— Ah oui… Réflexions sur ce client ?
— Oui. Approche et explique-moi ceci.
Je pointe une ligne sur le dossier et l'incite donc à passer derrière le bureau afin de se rapprocher de moi pour lire par-dessus mon épaule. Comme beaucoup d'hommes, j'aime quand une femme vient se pencher par-dessus mon épaule.
Elle se lève prestement et vient se positionner à ma droite, cherchant vraiment la ligne que je lui indiquais du doigt. Mes doigts qui, justement, ont quitté la feuille et viennent directement se poser sur sa robe au niveau de son postérieur. Un peu surprise, elle sursaute. Ma main caresse ses jolies fesses bien rondes et fermes, puis elle descend sur l'arrière de sa cuisse pour remonter sous la robe vers la partie charnue de son anatomie. Elle sursaute à nouveau mais se laisse faire.
Je suis arrivé à la lisière des bas et mes doigts effleurent la chair nue. J'adore cette zone entre la fin de la cuisse et le début de la fesse. Je remonte encore et vérifie ainsi qu'elle ne porte rien. Pendant ce temps, elle continue son petit jeu, cherchant dans le dossier, remuant les feuilles, relisant des paragraphes, puis sa main se pose d'un coup sur ma braguette déformée par une érection digne des meilleurs films pornos. Elle flatte mon sexe à travers le jean pendant que j'entreprends une exploration douce de son intimité.
Mes doigts glissent le long des grandes lèvres, les trouvant humides et douces. Je frotte doucement son clitoris encore caché dans ses replis intimes. C'est volontairement que je ne m'y attarde pas. Mes doigts reviennent en arrière, s'insinuent un peu entre ses grandes lèvres puis continuent leur chemin entre ses fesses, effleurant sa rosette bien fermée, ce qui provoque chez elle un nouveau sursaut et une crispation des muscles fessiers. Visiblement, la zone est interdite pour le moment.
Je retire ma main, pose mes doigts sur mes lèvres et les lèche afin de goûter ce jus qui les a humidifiés. Elle retire sa main de mon entrejambe, la passe derrière ma tête et colle mon visage contre sa poitrine. Ma bouche se trouve juste sur son téton que je pince entre mes lèvres à travers le tissu, mais ce geste ne peut pas durer car ma porte n'est pas fermée : quelqu'un peut entrer à tout moment.
Elle soupire de plaisir (fugace), lâche ma tête, récupère son dossier et quitte mon bureau.
Encore une fois, je me retrouve bandant comme un cheval, coincé derrière mon bureau et sans possibilité de le quitter dans l'instant au risque d'être démasqué.