Martine, la coquine qui cache bien son jeu
Doc7726/05/2021Jeux interdits au bureau
Je m'étais enfermé dans mon bureau. C'était l'heure de la pause déjeuner. On toqua à ma porte.
« Oui ? » répondis-je, un peu agacé, mais en même temps surpris : qui avait besoin de me voir au lieu de déjeuner ?
C'était Martine. Je l'avais à peine entraperçue ce matin, tellement j'avais eu du boulot. Elle portait une robe de lainage d'un tissu qui semblait malgré tout léger, par ce beau temps printanier et précoce.
— Ça va ? me demanda-t-elle.
— Oui, ça va… répondis-je d'un air étonné.
Puis, comme si je devais me justifier :
— J’ai mangé en dix minutes, j'avais quelque chose à faire…
— Tant de boulot que ça ? demanda-t-elle en souriant.
— Non ; en fait, c'est personnel… mais fallait que je trouve un moment dans la journée pour le faire ; je n'en ai pas eu ce matin, et je sais que je n'en aurai pas cet après-midi non plus.
— Ah… je te dérange, alors ?
— Non, ça va, j'ai presque terminé.
— Et puis tu avais envie d'être au calme… ?
— Oui, j'avoue ; c'est une vraie ruche, à la cuisine, un poulailler : ça caquette, c'est fatiguant !
— Oui, je comprends…
— Tu voulais quelque chose ?
— Non, rien de particulier… juste parler un peu.
— Ça va, toi ?
— Oui, oui, ça va… Tu vois, j'ai le sourire.
— Tu voulais me parler de quoi ?
— Rien de particulier… de tout, de rien…
— Bon, c'est bon : arrête de tourner autour du pot. Je ne te connais pas beaucoup mais je sens qu'il y a quelque chose…
— Non, mais… en fait…
Un silence, puis :
— C'était bien l'autre soir, hein ?
Elle avait bien refermé la porte du bureau ; j'étais à l'aise pour parler, donc.
— Oui, très bien. Tu viens me demander quand est-ce qu'on recommence ? lui demandai-je, rigolard.
— Par exemple… dit-elle avec un sourire trouble.
— Faut qu'on prenne date ? J'ai mon agenda. Tu as le tien ?
Je continuai à plaisanter :
— Ça fait très sérieux, très professionnel.
— Non, je… je ne l'ai pas, là…
Un silence.
— … mais ce que je voulais dire, c'est que… c'est très troublant, cette situation… Tu sais, tu as réveillé mes sens.
— Oui, je m'en suis bien rendu compte. Et ta sensibilité cutanée aussi ! Je suis sûr que tes fesses s'en souviennent encore… dis-je, hilare.
— Pas tant que ça… mais j'ai ça en mémoire… Et quand j'y pense…
— Oui… ?
Un silence.
— Ça me manque…
— Tu ne veux quand même pas que je te fesse ici et maintenant, au boulot, dans mon bureau ?
— Pourquoi pas… ? répondit-elle d'une voix faible.
Je ne réagis pas à sa réponse. Je ne protestai pas, ne m'indignai pas. « C'est à moitié gagné… » devait-elle se dire. Elle baissa les yeux. Je me levai de mon fauteuil, lentement, l'air sérieux et sûr de moi, un air autoritaire et calme. Ce qu'elle aime. Qui la rassure, lui plaît. Une fermeté mâle et bienveillante, mais sans concession.
— Va te placer devant le divan d'examen. Tu retires ta culotte. Tu écartes un peu les jambes.
Elle s'exécuta immédiatement, sans faillir, avec un air qui trahissait un grand trouble. Elle se contorsionna pour extraire sa culotte – une culotte en dentelle bleue – qu'elle sortit de dessous sa robe. Je tendis la main pour qu'elle me la donne, et la lui pris.
— Maintenant tu remontes ta robe sur tes reins et tu la retiens tout en gardant tes mains sur le divan d'examen. Fais comme tu veux, mais tu y arrives, tu le fais, tu te démerdes, je ne veux pas le savoir.
Mais elle était maline ; elle obéit et je vis apparaître sa croupe épanouie surmontée de ses poignées d'amour. Elle maintint le pan avant de sa robe afin qu'elle retombe pas avec ses mains posées sur le lit d'examen.
Je m'approchai plus près, m'apprêtant à lui placer sa culotte dans la bouche.
— Comme ça on ne risquera pas d'entendre tes cris dans les autres bureaux ni dans les locaux sociaux.
— Y a pas de risque : ici, c'est bien isolé phoniquement, osa l'effrontée.
— Je vois que Madame n'a pas froid aux yeux, et que la situation l'excite, au contraire. Je suis sûr que tu es déjà mouillée, ma petite salope.
— Oh oui… Je le sens.
Je ne pus m'empêcher de vérifier : un bref passage de mes doigts entre les lèvres de son sexe trouva cette humidité glissante si émouvante. Elle frissonna, redressa la tête.
— Et maintenant, comment penses-tu être fessée ? Doucement ? Sévèrement ? Une fessée lente et progressive, ou une claquée forte, puissante, et sans pitié ? Puisque tu m'as fait remarquer que c'était bien isolé phoniquement, j'ai tendance à en déduire que tu as envie de crier sous les claques.
— Euh… entre les deux ? Enfin, c'est à toi de choisir : tu es le Maître, tu décides.
— Je vois que tu apprends vite. Ou plutôt qu'il y a des mois que tu réfléchis à ce genre de situation, chez toi, en fantasmant… en te branlant. Eh bien, tu as raison : mais comme tu en as très envie, tu vas être fessée comme tu le mérites. Tu as plus de cinquante ans, tu n'es plus une gamine, et j'ai constaté que tu sais encaisser. Et je sens que tu as envie d'être punie pour cette envie irrépressible, aussi, cette envie qui t'a fait me chercher et me trouver jusque dans mon bureau, comme une femelle en chaleur. Je vais te fesser comme la salope que tu es !
Je savais que ces mots crus et durs l'exciteraient terriblement, d'autant qu'elle me savait capable de tendresse, et que j'étais plus un érotomane qu'un sadique : je voulais son plaisir, et le mien, notre plaisir à tous les deux, tous les deux en harmonie.
D'ailleurs, reculer un peu me confirma cette pensée : sa mouille brillait sur l'intérieur de ses cuisses, près de ses grandes lèvres, et je distinguais les pointes de ses seins se dresser et pousser le fin lainage. Sa posture et sa tenue étaient des plus excitantes aussi. La voir ainsi, cuisses et fesses nues en chaussures, robe retenue sur les reins, jambes écartées, m'inspirait et me faisait bander.
Je commençai : une bonne claque ferme et bruyante s'abattit sur la fesse droite. Elle poussa un petit cri étouffé. Puis, de la main gauche je claquai à l'identique la fesse gauche. J'appréciai la vue des ondulations brèves qui agitèrent sa chair molle. J'étais donc parti pour la fesser à deux mains, alternativement main droite main gauche, fesse droite fesse gauche : pas de jalouses ! Son beau valseur épanoui tressautait à chaque fois (un spectacle que j'aime !).
— Penche-toi un peu en avant. Offre mieux ton cul.
Au bout d'une dizaine de claques je commençai à accélérer – il ne s'agissait pas de s'endormir. J'allais te la réveiller, moi ! Son fessier commençait à rosir et à voir çà et là les empreintes de mes doigts.
— Ça va, je te fesse bien ? Tu apprécies ? Tu as ce que tu as voulu ?
— Hmmm, oui… répondit-elle d’une voix étouffée par son bâillon-culotte.
— Tu mérites d'en recevoir une bonne ; et comme je sais que tu peux encaisser… je vais te fesser sérieusement, à partir de maintenant !
Elle ne protesta pas, ne montra aucun signe d'inquiétude. Ça ne lui faisait pas peur. De plus, au pire, elle savait qu'il y avait toujours un mot-clé pour que j'arrête, au cas où. Elle savait que j'étais réglo.
La situation l'excitait. Elle n'avait certainement pas envie que ça s'arrêtât déjà.
Je passai donc à la vitesse supérieure et un cran au-dessus : je commençai à lui claquer la fesse droite de ma main droite en salves et à un rythme accru, en veillant bien à couvrir toute la surface (ne pas claquer deux fois de suite exactement la même zone), puis je passai à la fesse gauche avec ma main gauche, même rythme, même méthode.
Ses reins ployaient à chaque attaque, son corps poussé en avant, comme sous le recul d'un fusil. Elle tenait bon ; elle se cramponnait, appuyée contre la table. Elle commença à gémir – sûr que sa peau, si fine, devait commencer à lui cuire. Tout son corps était désormais agité de petites secousses sous l'impact de la drache qui tombait drue comme à Gravelotte. Sous l'élan de la claquée colérique, mes mains s'égaraient à la lisière des cuisses, sur le haut des fesses et près des hanches : toute la surface de sa mappemonde virait au rouge. Je commençais à avoir mal aux mains et des courbatures dans les bras. Je lui intimai, d'une voix pas trop forte (j'avais trop peur qu'on l'entende du couloir) mais bien audible et d'un ton ferme :
— Allez, fous-toi à quatre pattes, je vais te finir !
Elle se retourna, me regarda une seconde, les yeux brillants, hésita un instant comme si elle allait dire quelque chose, mais elle ne retira pas la culotte de sa bouche, sans se soucier du ridicule qu'elle renvoyait. Elle aurait dû trouver ça humiliant mais elle était trop excitée pour ça (elle me le confirma plus tard, lors d'une confidence). Elle s'accroupit, posa ses mains à plat sur le sol, s'installa à quatre pattes, reposant sur les avant-bras.
Pendant ce changement de posture sa robe était retombée. J'allais lui ordonner de la remonter de nouveau sur ses reins mais je n'eus pas le loisir de le faire : elle s'était déjà retroussée et avait dénudé sa croupe, me l'offrant à nouveau.
— Cambre-toi bien, tends bien ton cul. Et écarte un peu tes cuisses, que je voie ta tirelire, ta pêche bien fendue.
Elle leva ma tête et me sourit ; je l'enjambai, plaçant mes jambes de chaque côté de sa taille et ainsi l'enserrai bien. J'étais donc tourné vers son fessier bien exposé, bien déployé, bien offert. Mes doigts s'aventurèrent entre les lèvres de son sexe qui étaient aussi ouvertes et luisantes de rosée qu'une fleur qui s'épanouit à l'aube sous les premiers rayons du matin. Mes doigts glissèrent tellement c'était humide, chaud, satiné.
Elle n'émit pas la moindre protestation quand je lui dis que j'allais la finir, ni ne demanda des précisions craintives. Mais dès ce moment, si elle n'avait pas bien saisi le sens de ce verbe, elle allait comprendre : je me penchai et me mis à la fesser à un rythme soutenu, alternant main droite, main gauche, fesse gauche, fesse droite, et je n'y allai pas de main morte ! Les claquements sinistres et évocateurs envahirent la pièce ! Je ne me souciais même plus du bruit qui pouvait passer à travers les cloisons ou la porte. Elle non plus, d'ailleurs, puisqu'à chaque claque elle émettait un cri sourd, étouffé par son bâillon de nylon. Je sentais son corps de plus en plus agité au fur et à mesure ; elle se cabra, sa croupe s'agitait, se tordait par moments, elle donnait des poussées en avant comme si elle voulait s'enfuir… mais mes jambes serrées au-dessus de son bassin la retenaient fermement prisonnière.
Je perdis un peu ma retenue et frappai fort ; mes paumes me faisaient mal. Je distribuai des claques même sur les cuisses qui se mirent rosir… mais elle eut raison de moi : c'est moi qui arrêtai tellement j'avais mal dans les bras. Elle n'avait pas supplié, pas prononcé le mot-clé : malgré ses petites ruades, elle n'avait pas mis fin à sa fessée !
Je la libérai. La laissai se relever, lentement, pesamment. Puis je lui ordonnai :
— Appuie-toi contre la table d'examen, face à moi. Maintiens ta robe sur ton ventre et caresse-toi ! Je vais te regarder. Astique-toi jusqu'au bout : je vais te regarder jouir !
Elle commença maladroitement, comprit qu'il n'y avait pas de discussion ni de négociation possible, et je pensai qu'elle s'était prise au jeu, celui d'obéir. Les sensations qu'elle éveilla en elle semblèrent rapidement lui faire de l'effet : elle redevint la jeune fille en fleur qu'elle avait été, en proie à ses premiers émois d'adolescente d'il y a près de quarante ans ; elle ferma à demi les yeux et entrouvrit la bouche en ressentant le plaisir qui montait.
— Ouvre les yeux. Regarde-moi dans les yeux : je veux te voir jouir pendant que tu me regardes !
Elle se caressa de plus en plus vite, de plus en plus fort. Son corps commença à être agité de petites secousses frénétiques. Je sentais que ça montait fort. Son regard était trouble, mais il soutenait le mien.
Moi, j'avais sorti ma queue et avais commencé à m'astiquer ; mais à la voir, on pouvait se demander si elle en s'en était rendu compte. Alors, avant qu'elle parte, je lui ordonnai :
— Fous-toi à genoux, là, devant moi, les cuisses bien écartées, et continue à te branler !
Elle s'exécuta, tomba littéralement à genoux. Je lui mis ma queue raide et arquée quasiment sous le nez tout en continuant à me polir la colonne ; elle loucha presque dessus. J'accélérai le rythme ; elle m'excitait, ce spectacle obscène m'excitait : une quinquagénaire, les cuisses grand écartées, à moitié partie, en train de se branler comme une gamine…
Au moment où je sentis monter moi aussi le plaisir, je lui jetai d'une voix rauque :
— Suce-moi, prends-moi en bouche. Je te préviens : je vais partir, je vais tout lâcher dans ta bouche, et tu vas avaler !
À peine mon gland était-il dans sa bouche que je sentis l'explosion arriver. Je giclai ; elle ferma bien les lèvres, et je la sentis déglutir en gémissant : elle était en train de jouir également !
Cette expérience nous laissa tous les deux pantelants, vidés. Elle finit par se relever, les doigts encore gluants de sa sève. Je pris sa main et suçai ses doigts. Elle sourit, m’embrassa, puis alla se nettoyer au lavabo.
— Moi, je n'en ai pas besoin : tu m'as bien nettoyé ! lui dis-je.
Je ramassai sa culotte.
— Confisquée ! Tu vas finir ta journée de travail sans culotte : ça me plaît de te savoir le cul à l'air sous ta robe.
Elle me sourit avec une petite moue mutine, que je pris pour une protestation qu'elle n'osait pas exprimer. C’est pourquoi j’ajoutai :
— Tu es ma petite salope. Cette culotte est mon titre de propriété. Et quand on est une petite salope, on doit assumer ! Et puis ça m'excite de savoir que tu es disponible pour moi sous ta robe pour le restant de la journée.
Je mis sa culotte dans ma poche.
— Je te la rendrai la prochaine fois que je viendrai chez toi ; ça me fera une occasion de revenir.
Là, elle eut un sourire radieux. Je lui pelotai une fesse à travers le lainage de la robe, émis un « hummm » gourmand, puis lui administrai une bonne claque sur cette croupe insolente et voluptueuse.
— Allez, va bosser, feignasse !
Elle prit ça avec bonne humeur puisqu'elle me savait taquin. Je pris un air songeur, réfléchissant.
— Tiens, je me demande si on ne va pas instaurer cette règle entre nous : quand on bossera ensemble, tu devras venir sans culotte. OK ? Comme ça je saurai que tu es à moi.
Elle partit, ravie, sans répondre mais en me regardant avec un sourire énigmatique qui ressemblait à un acquiescement.
Je savais qu'elle était heureuse de cette nouvelle situation, que cela débutait une relation entre nous, et que pour elle c'était déjà ça. Je savais que ça allait lui faire du bien au moral.
Je me dis que dans l'après-midi j’irais la voir dans son bureau, et que sans même prendre la peine de fermer la porte je passerais furtivement la main sous sa robe, lui peloterais les fesses, passerais deux doigts entre les lèvres de sa chatte où je constaterais une moiteur encore présente tandis qu'elle, horriblement gênée, rougirait, prise de peur qu'on nous surprenne, et que je lui dirais :
— Il va falloir que tu t'y habitues : désormais tu vas être ma soumise, et j'entends jouir de ma propriété à ma guise, où et quand je voudrai.
Je sortirais, la laissant très émue et réfléchissant à son sort et à son nouveau statut.