Martine, la coquine qui cache bien son jeu
Doc7726/05/2021Après une journée de travail
J'avais changé d'entreprise depuis plus d'un an. J'entendais de temps à autre parler d'une secrétaire qui était arrêtée depuis près de deux ans pour dépression.
Personnellement, entre le boulot et mes partenaires de jeux sexuels, je ne m'ennuyais pas. Mais la tristesse s'emparait encore de moi par périodes (notamment l'hiver), en particulier lors de moments de désœuvrement (les soirées où je rentrais chez moi assez tôt alors que la nuit était déjà tombée, ou des week-ends où je ne n'avais rien planifié).
On me racontait que cette fille, Martine, était dépressive à cause de ses déboires sentimentaux. Elle était divorcée depuis de nombreuses années et entretenait une relation avec un homme marié depuis de nombreux mois ; et cette relation, manifestement, n'était pas épanouissante. Je n'en savais pas plus, mais déjà beaucoup, du fait des indiscrétions de ses collègues.
On apprit un jour qu'elle devait revenir travailler, ce qui semblait plutôt inattendu, d'après son entourage professionnel qui la fréquentait encore, car elle ne semblait pas très en forme, toujours sous traitement.
Je fis donc sa connaissance le jour de son retour. Effectivement, elle semblait fatiguée, plutôt calme (l'effet des antidépresseurs ?). C'était une fille grande, un peu en chair, assez charpentée, d'un physique plutôt quelconque.
J'eus à travailler plusieurs fois avec elle, et c'est vrai que ce n'était pas une flèche : elle faisait beaucoup d'erreurs, mais personne ne lui en tenait rigueur, vu de son état moral plutôt moyen, bien que stabilisé.
À la période où elle était revenue au travail je n'étais pas, moi non plus, dans une forme olympique, et j'avais tendance à ruminer des pensées négatives dès que j'avais le loisir de penser, ce que j'évitais.
Un soir de fin d'hiver alors que j'étais resté plus tard au bureau (pas pressé de retrouver ma solitude nocturne dans ma maison vide), je la trouvai au pied de l'immeuble qui abritait nos locaux. Elle était en train de fumer une cigarette, le regard un peu dans le vague.
— Encore là, Martine ? Tu n'es pas partie ?
— Tu vois bien…
— Tu attends quelqu'un ?
— Non, personne… ni rien, d'ailleurs…
— Tu as un problème ?
— Non… pas plus que d'habitude.
Puis, après un silence :
— Je me demande si je vais sortir, faire quelque chose, ou rentrer…
— Ouais… Tu n'as pas trop envie de rentrer chez toi, en fait… ?
— C'est ça, tu as tout compris, dit-elle en souriant.
— Je comprends ça, je sais ce que c'est. Moi-même, des fois… rentrer pour être tout seul la nuit dans le froid… j'avoue qu'en ce moment ça n'est pas très réjouissant.
— Exactement ! dit-elle en souriant.
Je restai là un moment à la regarder, un peu interdit. Qu'est-ce que j'allais faire ? Lui proposer de mêler nos deux solitudes, même si je n'avais aucune affinité pour elle ? Mais après tout, pourquoi ne pas lui proposer une sortie ? Entre collègues. Ça n'engageait à rien.
Il était presque dix-huit heures trente.
— Tu veux aller faire un ciné ? Ou aller quelque part boire un apéro ?
— Oh, le ciné… répondit-elle d'un air las. Tu sais ce qui est sorti, en ce moment ?
— Bof… je ne suis pas ça de près… mais pas grand-chose de palpitant, apparemment, dis-je en allant dans son sens.
Vu son air peu enthousiaste, ça ne servait à rien de la traîner devant le multiplex à côté si c'était pour constater que, finalement, il n'y avait rien qui l'intéressait… ni peut-être moi. Ou alors pour découvrir que nous n'avions pas du tout les mêmes goûts (j'ignorais tout de ses goûts, comme tout le reste, d'ailleurs : je ne savais rien d'elle) et commencer à nous chamailler – ou arriver à nous mettre d'accord – sur un film, parce que l'un de nous céderait au souhait de l'autre et s'ennuierait ferme.
— Bon, et un apéro ?
— Ouais, pourquoi pas ? Tu connais un bar sympa ?
— Non, pas dans le coin en tout cas. Je n'ai pas l'habitude d'aller dans les bars, et ça fait bien longtemps que je ne suis pas allé dans un bar à cocktails. Pour tout te dire, ça remonte à mes années d'étudiant, une bonne trentaine d'années.
— Ben, si tu veux, on peut aller le prendre chez moi ? J'ai des trucs dans mon bar, pas énormément, mais si t'es pas difficile…
— Pas de problème, t'inquiète pas.
Et je faillis ajouter : « Ça sera toujours mieux que de se retrouver tout seul chacun de notre côté… » mais je m'abstins, ne voulant pas rendre l'ambiance encore plus déprimante.
Je la suivis en voiture. Elle conduisait lentement, d'une manière presque hésitante, et je mesurai alors combien elle ne devait pas être très bien dans sa tête depuis des mois.
Une fois chez elle je constatai que je n'avais pas, moi, à me plaindre, vu son appartement, « appartement » étant un bien grand mot : à 53 ans, vivre dans un petit studio après une vie différente, un peu plus confortable, devait effectivement être déprimant. Je me demandai même comment elle avait fait pour rester presque deux ans en arrêt maladie dans cette grande pièce plutôt dépouillée.
Chez elle, c'était plutôt le bordel ; je n'avais pas à rougir du mien, en comparaison. Mais il faut dire qu'elle avait peu de meubles. La déco était sommaire : ça ressemblait plus à un endroit où l’on rentre pour dormir, regarder la télé, dîner. Rien du cocon douillet et chaleureux.
Elle m'invita à m'asseoir dans son canapé… enfin, là où j'arrivai à trouver une place, en poussant un peu les affaires qui traînaient. Elle m'offrit un verre et nous commençâmes une discussion, ayant pris naturellement comme premier sujet de conversation cet appartement.
Elle ne s'excusa pas pour le désordre, ce qui me plut. Après tout, elle assumait, et j'appréciai ce naturel et cette désinvolture, qui n'en était peut-être pas une tout à fait : elle semblait avoir perdu le goût de vivre, l'élan vital, la motivation de faire quoi que ce fût ; elle n'allait pas très bien, voilà ce que révélait l'état de son intérieur.
Mais ma présence – avoir pour une fois une personne chez elle et avec qui parler – devait lui changer son état d'esprit (du moins pour la soirée) car elle s'animait progressivement, arrivait même à sourire, bien que la conversation dévia vite sur sa vie sentimentale récente qui était pour l'essentiel le motif de sa souffrance et qui provoquait en elle un sentiment d'échec, d'impasse : cette relation ne l'avait menée nulle part, ne l'avait conduite qu'à entretenir sa souffrance.
— Je comprends, lui dis-je ; on dit toujours qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné. Mais d'un, être seul(e) n'est pas toujours marrant ; et de deux, quand on est dans une relation délétère, il est difficile de prendre soi-même la décision d'y mettre fin : c'est un pas difficile à franchir, surtout quand on est tombé(e) au fond du trou…
— Surtout quand tu essaies, le jour où tu as trouvé un peu de courage, et que le mec insiste, ou te relance, vient te rechercher… et le jour où tu es faible, que tu te sens seule, tu replonges…
— Oui, effectivement, je vois ça tout à fait… même si j'imagine que, pour lui, ce n'est pas marrant de se retrouver seul…
— Enfin, seul… il est marié : il ne se retrouvait pas seul quand il rentrait chez lui, lui…
— On peut se sentir encore plus seul avec quelqu'un que vraiment seul, parfois, tu sais…
— Oui, enfin, c'est quand même différent.
— Oui, c'est sûr… et puis c'est son problème, dis-je, réalisant que je parlais comme un psy.
— C'est ce que j'allais dire, répondit-elle en souriant.
Au fur et à mesure de la conversation elle semblait de plus en plus à l'aise. À l'aise avec moi, mais aussi à l'aise avec elle-même, comme si le peu d'attention que je lui portais, mon empathie et ma compréhension lui faisaient non seulement du bien à l'âme mais amélioraient (un peu et transitoirement) son estime de soi. À mon avis, à ce moment-là, ça devait se limiter à ça : vu son état moral, je n'imaginais même pas que je lui inspirasse un embryon de désir ni un commencement d'espoir de début de relation entre nous, fût-elle physique. Son esprit devait être à des années-lumière du moindre désir.
Après un silence, elle me dit :
— C'est bien que tu me comprennes. Toi, tu n'as jamais vécu une histoire comme ça ?
— Non, jamais. Je n'ai jamais eu de relation adultère. J'aurais pu, ça n'est pas arrivé, je n'en tire aucune fierté. Mais j'avoue que j'aurais eu peur de vivre une situation comme celle-là, ou de me retrouver avec une sensation de frustration… enfin, de me sentir encore plus seul.
— Enfin, voilà… Tu veux un autre whisky ?
— Euh, oui. Mais alors un petit.
On aurait dit que la conversation – ou alors l'alcool que nous buvions de concert – la déridait : je ne dirais pas qu'elle était euphorique mais, malgré les sujets sur lesquels nous philosophions (à vrai dire pas très gais), elle semblait désormais comme planant avec un certain degré d'indifférence, de détachement, comme si elle venait de faire le bilan de sa vie passée, comme si le fait d'en parler faisait que tout ça lui devenait égal.
Moi-même, dans les légères brumes de l'alcool où je commençais à flotter, je me sentais bien, enfoncé profondément dans ce sofa, appréciant cette ambiance propice aux confidences, sans vraie ni fausse gêne, en sa présence pas désagréable bien que je ne ressentais aucune attirance pour elle.
Elle se leva pour tenter de trouver d'autres amuse-gueules dans sa kitchenette, bien que semblant peu optimiste sur ses stocks. Elle semblait mal assurée sur ses jambes – l'alcool ne fait pas bon ménage avec les antidépresseurs – et, se déplaçant avec lourdeur, elle bouscula un petit chiffonnier à la présence quelque peu incongrue dans cette pièce (elle me dit plus tard qu'elle l'avait mis là parce que sa chambre était minuscule). Le meuble se renversa avec fracas ; des tiroirs sortirent, répandant leur contenu sur le sol.
Je me levai promptement pour l'aider, redressai le meuble, le remis sur ses pattes et ramassai un tiroir pour le remettre en place. Mais j'avais vu un martinet à lanières de cuir, un bâillon-balle, un plug, des chaînes… Je ne connaissais que trop bien ces instruments qui m'étaient familiers, et dont j'aimais me servir de temps en temps avec des partenaires partageant mes goûts.
Elle rougit, me prit maladroitement le tiroir des mains pour le replacer bien vite, mais c'était trop tard. Je ne lâchai pas, n'ayant pas l'intention de faire comme si je n'avais rien vu. Sans doute désinhibé par l'alcool je m'entendis lui dire, avec un petit sourire entendu :
— Eh bien, Martine, on dirait que tu ne craches pas sur certains jeux…
Elle bafouilla, légèrement courroucée :
— Oh, ça, c'est lui… c'étaient ses jeux, les jeux qu'il aimait… avec moi…
— Et tu gardes tous ces jouets à portée de main ? Pourquoi tu ne t'en es pas débarrassée si tu n'aimes pas ça ?
— Bon… c'est pas que je n'aimais pas ça… Il y a eu des bons moments, quand même, avec lui…
Et elle ajouta :
— Je devais m'en débarrasser…
— Tu sais, Martine, il n'y a pas de honte à aimer ça. Je trouve ça plutôt innocent. Il n'y a pas de honte à se faire du bien, comme on dit…
Elle me regarda en coin, l'air bizarre :
— Tu… tu aimes ça, toi ?
— Oui, je l'avoue. Je ne le crie pas sur tous les toits. Mais un petit jeu de rôle avec une femme qui aime ça… avec des règles et dans le respect… oui, ça me plaît.
— Oh, bah ça, alors… je n'aurais pas cru ça de toi. Enfin, je veux dire, j'étais loin de me douter… tu n'es pas du tout le genre d'homme qu'on imagine…
— Pourquoi ? C'est quoi le genre d'homme ?
— Ben, tu es gentil, plutôt attentionné… Enfin, je veux dire… tu as l'air doux…
— Oui. Et respectueux. C'est tout à fait compatible, tu sais. Et puis je suis un mec cérébral : j'aime le raffinement, les jeux de rôle. Tout « ça » reste un jeu, dans le respect mutuel et avec les limites qu'on choisit ; l'important, c'est de prendre son pied.
Désinhibé, j'avais osé l'expression. Je le regrettais presque : peur d'avoir été inconvenant, et aussi de l'avoir effrayée, qu'elle pense que j'allais lui proposer de jouer. Mais je n'aime pas draguer ni pousser les femmes. J'aime bien les séduire, et faire en sorte que tout vienne d'elles. J'aime jouer à susciter leur envie, à voir poindre leur désir.
— Pourquoi, il est plutôt… « brutal », lui ?
— J'ai pas envie d'en parler…
Je n'insistai pas. Mais je la regardai ; elle n'avait pas l'air triste : elle semblait plutôt troublée. Elle ne bougeait presque plus, comme paralysée, et fixait le sol.
Je pris le martinet par le manche :
— Bel objet. Et il semble tout neuf. Il n'a pas l'air d'avoir beaucoup servi. Tu as raison : Martine, ça va avec martinet ! dis-je en riant.
— Oh !
— Excuse-moi, me ravisai-je, je ne veux pas te rappeler des mauvais souvenirs…
— Non, non, ce ne sont pas des mauvais souvenirs… répondit-elle avec une voix peu rauque et un peu plus basse.
— Ah… ?
Elle ne bougeait plus, debout, comme figée. J'osai :
— Maintenant que tu me dis ça, j'avoue que je t'imagine bien avec ton bâillon-balle dans la bouche… soumise.
— Soumise… comment ?
— Eh bien par exemple là-bas, au coin de ton canapé, à genoux, le pantalon et le slip baissés au bas des cuisses…
— Oh…
— Tu as envie ? Envie de… jouer ?
— Là, maintenant ?
— Tu as autre chose d'urgent à faire ? À moins que tu aies juste envie d'y penser, d'imaginer… Je ne veux pas te forcer… Une autre fois… Ou pas, si tu préfères…
Un silence s'installa, quelques secondes, durant lesquelles elle ne bougea toujours pas. Je pensais qu'elle allait hésiter, et me dire « une autre fois, peut-être… » ; mais contre toute attente, sa réponse sortit, d'une voix grave :
— Tu ne devrais pas me laisser le choix : une soumise, ça obéit…
Comme je restais interdit, presque sonné par ces mots que j'avais rarement entendus dans la bouche de mes partenaires de jeu – surtout avec un tel aplomb – elle ajouta :
— J'aime recevoir des ordres. Et j'ai envie d'en recevoir de toi… !
Cette fois, je ne me fis pas prier :
— Eh bien tu vas t'installer comme je te l'ai dit ! Et vite !
Je n'eus pas besoin d'insister. Elle retrouva soudain l'énergie et l'assurance pour filer tout droit à l'endroit désigné et monter à genoux sur le coussin. Je la vis défaire sa ceinture, se déboutonner, puis lentement, d'un mouvement que je trouvai calculé et sensuel, elle baissa visiblement sans gêne son pantalon puis sa culotte – une grande culotte de coton jaune – et alla jusqu'à rouler son chemisier sur ses reins pour mieux dégager un fessier plantureux, de belles fesses presque carrées et épanouies.
— Écarte un peu tes cuisses !
Elle obéit sur le champ, d'un mouvement gracieux, presque lascif.
J'ouvris le tiroir où tous les accessoires intéressants venaient d'être rangés et je pris le bâillon-balle, le martinet toujours en main. Je m'approchai, posai le martinet bien en évidence sur le rebord du sofa. Elle eut un petit mouvement de tête pour vérifier que c'était bien ce qu'elle pensait. Je lui mis délicatement le bâillon-balle dans sa bouche et l'attachai derrière sa tête. Je reculai d'un pas, contemplai son fessier, comme j'aurais fait pour une œuvre d'art, un bon moment, pour qu'elle comprenne bien ce que je faisais et mettre un peu de suspens.
Puis :
— Tu as de très belles fesses, Martine. Je n'aurais pas cru. Tu ne paies pas de mine, mais tu as vraiment un beau cul. Et tu ne sais pas encore, mais j'adore administrer le martinet… surtout à une femme qui me présente un aussi beau cul !
Je m'approchai, et de la main droite j'effleurai – plus que je ne caressai – ses fesses, les palpai au passage, appréciant leur molle élasticité, les fis bouger, osciller légèrement, en imaginant déjà comment elles allaient vibrer sous les coups de lanière.
Elle attendait, dans cette troublante expectative de la soumise émue qui attend la chose promise, mais je décidai de faire durer un peu : un châtiment, ça se mérite.
— Mais d'abord, ma chère Martine, j'ai vu que tu as un jouet dont j'aime user et abuser. Pour tout dire, j'adore fustiger les fesses d'une soumise qui a un plug dans le cul.
Elle se cambra un peu plus comme dans un frisson, et je vis même apparaître de la chair de poule sur ses fesses.
J'allai au tiroir, pris le joli plug rouge conique (la forme ne laissait aucune équivoque sur son usage, et sa taille permettait – foi d'expert – l'introduction sans peine dans n'importe quel anus, même débutant.
— Tout d'abord, voyons… Eh bien, voilà une moiteur de très bon augure… Et moi qui me demandais comme j'allais lubrifier ton œillet, c'est tout trouvé.
Mes doigts trouvèrent ses lèvres sexuelles entrebâillées et constatèrent avec satisfaction que toute cette mise en scène plaisait à cette femme mûre, bien au-delà de mes espérances : elle était mouillée comme une jeune chienne en chaleur ! Joignant le geste à la parole, je fis glisser de haut en bas et sur les côtés le jouet en plastique pour bien l'enduire de sève. Je passai également mes doigts encore gluants entre ses fesses, et trouvant la petite cupule froncée, je la badigeonnai comme il se devait.
— Écarte-toi les fesses avec les doigts, Martine ; je vais te garnir !
Sans hésiter, elle plaça ses deux mains qui tirèrent de chaque côté les masses adipeuses.
— Plus que ça ! Je ne vois rien, là ! Expose bien ton anus, offre ton anneau… mieux que ça !
Elle obéissait au doigt et à la voix.
— Voilà. Là, c'est mieux… J'aime qu'une soumise m'offre son cul ainsi.
Ce disant, je plaçai la pointe du plug sur le centre de la cible, jouai à apprécier la résistance de son anneau culier en exerçant de petites pressions pour le regarder se déprimer, absorber la pointe ; puis, peu à peu, j'arrivai à l'enfoncer jusqu'à son plus grand diamètre. Elle geignit, mais ne bougea pas. Finalement à force de va-et-vient qui lui lubrifièrent le conduit, je finis par le pousser jusqu'au rétrécissement qui permet de coincer l'objet. Elle poussa un petit cri étouffé.
— Voilà, c'est parfait ! Ton plug est en place, comme tu peux le sentir. Tu peux lâcher tes fesses. Pose tes bras sur le rebord du canapé. Je vais te punir, Martine !
Cette fois je ne la fis pas languir : j'abattis le martinet d'un coup sec mais peu puissant en travers de son fessier. Elle poussa un petit cri sourd, plus de surprise que de douleur. Puis, à un rythme lent mais régulier, je fis tomber les lanières, non sans les avoir retenues avant le coup de la main gauche afin de bien mesurer la force, mais aussi de bien viser. Consciencieusement, j'alternai fesse droite, fesse gauche, coup droit et revers, haut des fesses, sommet, bas des fesses, et sa peau pâle commença à se couvrir de fines stries rosées.
J'avais décidé d'aller lentement, mais crescendo. Je ne savais pas, en effet, comme elle encaissait d'habitude. Et sans accélérer d'abord, je me mis à la fouetter de façon plus ferme, la laissant souffler entre chaque coup (souffler ou bien ressentir la cuisson de chaque coup, là est la question…). De temps en temps, avant de faire une petite pause, je lui assénai une salve de plusieurs coups plus vachards, en triolets ou en quadruples croches, et sa bouche obstruée par le bâillon-balle émettait des plaintes brèves mais plus vigoureuses.
Je commençais à être vraiment excité, me sentant à l’étroit dans mon boxer ; pour tout dire, je bandais comme un cerf ! Le sang me montait également à la tête. J'avais envie de la fustiger joyeusement, cette grosse poule, cette belle plante au fessier épanoui. D'une voix survoltée mais également autoritaire, alors que je marquais une pause (qui lui permit également de souffler), je lui intimai :
— Allez, c'est bon maintenant : fous-toi entièrement à poil ! Tu ne vas pas me faire le coup de la pudeur, comme une jeune pucelle.
Effectivement, elle ne sembla pas gênée, et sans hésiter elle retira son chemisier, dégrafa et fit voler son soutien-gorge, puis abaissa jusqu'aux pieds pantalon et slip. Au cours de cette opération j'aperçus les lèvres de son sexe d'où pendaient des filets de bave ! Elle n'aurait pas pu protester qu'elle n'aimait pas son traitement…
— Garde tes chaussures à talons, par contre. Tu es bandante comme ça ! Oui, tu te remets en position ; je n'ai pas fini : ça ne fait que commencer. Et écarte bien tes cuisses. Et cambre-toi bien.
Je me remis à flageller son cul, sur toute la surface, d'une force égale. Et puis doucement d'abord – comme pour tester sa sensibilité à ce nouveau traitement – j'envoyai balancer les lanières entre ses cuisses, où elles fouettèrent doucement ses muqueuses intimes. Encouragé par l'absence de protestations, je dosai bien la force jusqu'à atteindre de menus coups secs marqués de petits « floc, floc » jusqu'à ce qu'un coup plus cinglant lui arracha un cri aigu étouffé et une vive ruade.
Je n'insistai pas. Par contre, j'ôtai son bâillon-balle.
— Je vais continuer, Martine. Par contre, maintenant j'ai envie d'entendre tes cris. Lâche-toi, exprime-toi : les vocalises d'une soumise, ça m'excite !
Je repris la fustigation de ses fesses avec des coups plus forts, sur un rythme désormais irrégulier. Elle poussait de temps à autre de petits cris pudiques, tout en retenue. Parfois des petits « ahh » un peu plus forts, des « hmmm » un peu plus hauts.
Je m'attaquai à la chair tendre du haut de ses cuisses, plus fine mais aussi plus sensible ; ses cris montèrent en intensité. Sa main frottait parfois la zone qui venait d'être fustigée.
— Enlève ta main, Martine, sinon je la fouette aussi ! Bien que si tu y tiennes, je peux te fouetter aussi la paume des mains… et la plante des pieds.
— Non.
— Pourquoi, tu as peur ?
— …
— Ou tu préfères les fesses ?
— … Oui, je préfère…
— On voit que tu aimes ça, ma belle…
Je fis tomber désormais les coups à un rythme plus rapide, et son large fessier se couvrit de belles zébrures. Elle haletait, se tortillait… mais sans jamais tenter de se retourner ou d'esquiver les coups.
— Et maintenant, le bouquet final ! Prête ?
— Oui…
Là, je fis pleuvoir par salves une belle cinglée, bien plus forte. La pièce se mit très vite à résonner de ses cris aigus et déchirants, voire désespérés parfois… Elle se décambrait brusquement, plaquant son ventre contre le dossier ; je marquais des pauses de deux-trois secondes, puis je reprenais. Elle jurait, serrait les dents.
— Hmmm, tu encaisses bien, ma Martine ! C'est un vrai plaisir de te châtier. T'es vraiment excitante. Un régal de fouetter une femelle comme toi ! On aurait pu penser que tu étais douillette, comme ces jeunes pimbêches, mais je me rends bien compte que tu es vraiment taillée dans le bois dont on fait les soumises…
J'avais posé le martinet. Je montai à genoux sur le canapé, me positionnant tout près d'elle. D’une main j'empoignai un sein que je mis à malaxer vicieusement tandis que l'autre trouva sa chatte bien ouverte et gluante (elle gardait toujours ses cuisses bien écartées, comme je le lui avais ordonné). Je me mis à caresser sa fleur toute luisante de sève, et très vite elle ondula des reins, son souffle devint court, et elle se mit à jouir, criant par petits coups tout d'abord puis se lâcha totalement, gueulant sans se soucier des voisins. Je glissai deux doigts en elle et me mis à lui astiquer sa zone G. Elle se mit rapidement à beugler, m'inondant la main.
Quand elle eut finit de jouir, visiblement vidée, je lui intimai :
— Va te mettre là-bas, au coin, à genoux et les mains sur la tête, comme une sale gamine punie. Et tu y restes tant que je ne te donne pas un ordre contraire !
Elle obéit sans discuter, et une fois dans cette position elle sembla retrouver un peu son calme.
Plus le temps passait, plus je la trouvais belle, de dos, son fessier et ses hanches larges, un peu grasse, vêtue uniquement de ses chaussures à talons. Et toujours avec son plug dans le cul !
Trois-quatre minutes passèrent. Enfin je prononçai ces paroles sur un ton ironique :
— J'en ai pas fini avec toi. Ça, ce n'était qu'un hors-d’œuvre ; je te laisse récupérer un peu.
Quelques minutes plus tard, alors que j'avais farfouillé dans le tiroir et trouvé ce que j'espérais, je lui ordonnai :
— Tu restes à genoux et tu viens jusqu'à moi.
Elle obéit. Je la laissai baisser les bras pour s'équilibrer lors de sa marche sur les genoux, maladroite et dandinante. Elle se posta juste devant moi.
— Tes mains sur la nuque !
Des deux mains je soupesai ses seins, deux fruits d'un beau volume. Un bon C, estimai-je. Je les palpai, les pelotai longuement, constatant rapidement ce que j'espérais : les pointes et les aréoles gonflaient, se dressaient. J'attrapai les mamelons bien durs et commençai à les triturer, les pinçoter, les étirer, les presser de plus en plus fort.
Elle me regardait dans les yeux, avec un regard doux :
— Baisse les yeux, effrontée ! Oui, c'est ça… sois une bonne chienne.
J'augmentai ma pression entre pouce et index ; elle se mit à gémir, comme une vraie chienne.
— C'est bien, là. Je sais que tu aimes ce traitement sinon je ne te l'infligerais pas. La preuve : ces belles pinces que tu as, ça n'est pas pour décorer les murs !
Et là-dessus j'étirai bien son téton gauche et lui posai la première pince. Elle cria mais encaissa, se laissa faire, retrouva le silence. Alors je fis de même pour le second. Voilà, les deux belles pointes de seins étaient bien prises, reliées par une jolie chaîne d'acier blanc qui avait dû servir, ça ne faisait aucun doute. Je pris la chaînette qui pendait, la mis en tension – elle gémit – puis la tirai vers moi, de plus en plus fort. Elle se mit à crier plus fort, jusqu'à ce qu'elle avançât sur ses genoux de quelques centimètres vers moi, faisant fi de sa crainte de désobéir et d'être châtiée davantage.
— Ah, tu as compris… Tu mets un peu de temps, mais tu finis par comprendre. Et moi je sais comment il faut te parler.
Et sans relâcher la tension de la chaînette je pris sa bouche et lui roulai une galoche langoureuse, qu'elle me rendit de bonne grâce.
— Il y a quelque chose qui manque, dans tous tes accessoires : un collier de soumise et une petite laisse… bien courte. Moi, les chiennes, je les tiens toujours bien court ! Mais ce n'est pas un problème : si tu es d'accord pour continuer ces jeux tous les deux, je t'en achèterai un ; un beau collier en cuir noir, avec des clous d'acier : un collier digne d'une chienne comme toi. Et peut-être, si tu es sage, si tu le mérites, des tenues qui t'iront parfaitement : des harnais en cuir et en acier, des tenues spéciales… tu verras. En attendant, je vais te finir : va t'installer là-bas à genoux devant le canapé. Oui, là, voilà. Et tu te penches en avant maintenant, et tu te cambres bien.
Je me levai, m'approchai et, debout, je me penchai et commençai à la fesser d'une main leste et alerte à un rythme soutenu. Elle poussait des petits cris retenus. Je maintins la cadence, m'attelant à bien couvrir toute la surface de ce beau fessier de femme mûre qui m'était si généreusement offert.
— Ah, c'est bien. C'est beau, une femme qui s'offre ainsi, et qui aime être punie. Ça te plaît, hein, Martine ?
— Oui… j'aime ça… J'aime que tu me domines !
— Alors c'est parfait. On va bien s'entendre tous les deux.
Je la fessai de plus belle, augmentant l'intensité de mes claques. Sa chair résonnait de beaux sons comme j'aime et rosissait, puis rougit rapidement à vue d’œil. Ses cris se faisaient plus intenses, mais toujours brefs, et son bassin ne bougeait pas d'un poil (sinon sous l'impact des claques) ; en tout cas elle ne cherchait pas à se soustraire à ce châtiment que, manifestement, elle semblait bien apprécier.
La claquée dura trois ou quatre bonnes minutes. Ses fesses devaient lui cuire, et je commençais à avoir mal aux mains. Ah, elle encaissait bien, la bougresse !
Je finis par cesser mais lui ordonnai de bien rester en place. Elle comprit que je m'étais mis à genoux derrière elle car j’avais commencé à jouer avec le plug toujours en place.
— Je vais te retirer ton plug, Martine. Mais tu devines bien que je ne vais pas laisser la place vide. Hummm, tu dois être bien ouverte, maintenant…
Je laissai exprès un silence, puis annonçai solennellement :
— Je vais te sodomiser, Martine.
Elle ne réagit pas, ne protesta pas, m'encourageant à continuer ce que j'avais entrepris : je sortis ma queue qui était dure et arquée comme jamais, pris une capote lubrifiée que j'avais toujours dans mon blouson et l'enfilai. Je tirai doucement sur le plug et l'enlevai ; son orifice restait ouvert comme une petite bouche. La nature a horreur du vide – je l'ai appris en physique – aussi je pris ma pine et enfonçai lentement le gland dans son trou du cul. Elle se mit à gémir. Je m'enfonçai lentement dans son rectum ; elle poussa des cris de satisfaction et émit des encouragements.
Je me retrouvai collé contre son pubis, bien à fond en elle, qui avait l'air d'apprécier, la tante ! Je plaquai mes mains sur ses seins bien pleins et entamai des va-et-vient. Son conduit était chaud et souple et n'opposait aucune résistance à mes mouvements de piston. Je finis par me mettre accroupi pour lui larder le cul à grands coups de reins souples. Ses cris montèrent, mêlés d'ahanements, de jurons, d'onomatopées : pas de doute, elle aimait se faire défoncer le cul !
Elle m'avait trop excité ; je ne pus me retenir bien longtemps : après quelques coups de pine amples et puissants, je partis en beuglant :
— Ah tu me fais jouiiiiir… !
Elle-même avait déjà pris son pied, manifestement.
Nous restâmes un moment emboîtés, enlacés, et je la gratifiai encore d'une longue pelle langoureuse.
Elle finit par se relever (je l'aidai un peu en la prenant par la main) et elle m'invita à venir me doucher avec elle.
Sa cabine de douche était assez étroite ; ce fut malcommode, mais nous rîmes comme des bossus en essayant de ne pas tomber, de ne pas nous cogner, nous retournant avec peine, collés presque tout le temps l'un à l'autre. Nous nous savonnâmes mutuellement et à tour de rôle, et je trouvai cet épisode de caresses et de soins de l'autre très chaud, très tendre, très sensuel.
Une fois en peignoir, fourbus, nous nous rassîmes confortablement dans sa pièce et reprîmes un verre.
— Alors, Martine, ça te rappelle des souvenirs ? C'était aussi bon qu'avec ton amant ?
Elle me regardait avec un petit sourire énigmatique. J'attendais sa réponse, un peu étonné de ce sourire. J'allais lui dire qu'elle n'était pas obligée de répondre, m'excuser, lui dire que j'étais trop indiscret, mais sa réponse vint qui me sidéra :
— Bon, je vais t'avouer quelque chose : je n'ai jamais joué à ces jeux avec mon amant. Ni avec aucun autre, en fait…
— Mais… alors ? Tous ces accessoires ?
— J'ai honte… Non, je ne dois pas avoir honte, à mon âge. Il faut que j'assume, continua-t-elle avec un sourire gêné. En fait, je les ai achetés moi-même… et les ai toujours utilisés… toute seule.
— Toute seule ? Et… le… le martinet ?
— Ben, toute seule, c'est pas facile, j'avoue… Et en comparaison, la façon dont tu t'en es servi… j'ai… j'ai pris mon pied. Je n'aurais pas imaginé que ç'aurait été aussi bon. Tu es très doué. Tu es un expert !
— Oh, arrête, tu me flattes…
— Non, non, c'est sincère. Je n'aurais jamais cru… que tu étais un petit cochon (rire), mais qu'en plus tu étais si doué pour le maniement du martinet… et du reste… sans oublier tes mains ! Tu m'as fessée divinement bien. C'était bon : ni trop brutal, ni trop douloureux, ni trop timide… Ah, je l'ai bien sentie, la fessée ! Elle était bonne, sensuelle, sévère… et jouissive !
— Oui, il m'a semblé… D'autant que se fesser toute seule, c'est quasiment de l'exploit !
— Oui, tu as raison. C'est faisable, mais c'est vraiment pas terrible… trop frustrant.
— Ces petits jeux, c'est comme tout : c'est vraiment mieux à deux.
— À qui le dis-tu… C'est vraiment pas marrant, des fois, la solitude.
— Bon, eh bien, si un jour tu es partante pour recommencer, n'hésite pas : à défaut d'une relation amoureuse, le partage et la complicité qu'on peut éprouver lors de ces jeux, ce n'est pas désagréable et ça nous sort un peu de la solitude.
Elle acquiesça.
La conversation partit sur des sujets plus anodins. Puis finalement elle s'aperçut qu'elle avait faim, que ces émotions l’avaient creusée, en plus de lui avoir redonné un peu de joie de vivre. Nous sortîmes et trouvâmes un restau qui servait encore à cette heure déjà avancée.
Nous dînâmes en bons amis.
Cette fois, enhardie par cette proximité chaleureuse, elle s'épancha un peu, me raconta cette relation délétère avec cet homme marié ; une relation qui, même si elle n'avait jamais été basée que sur le sexe, était devenue au fil du temps non seulement frustrante mais aussi blessante pour elle, et qui l'avait amenée, sans qu'elle ne s'en rende compte, jusqu'à la dépression.
Vers la fin, il semblait ne plus ressentir aucune affection pour elle ; il la prenait pour un objet, un objet qu'il désirait de moins en moins mais dont il espérait encore tirer du plaisir. Il s'était comporté de plus en plus désagréablement avec elle, comme s'il avait honte au bout du compte de cette relation cachée ou s'il se vengeait sur elle de la frustration croissante qu'il avait ressentie.
Il la critiquait, lui faisait des reproches, trouvait qu'elle se négligeait, la rendait responsable de son manque de désir à lui. Et néanmoins elle restait toujours en attente ; sa vie ne tournait plus qu'autour de cette relation parce qu'à la longue elle avait adapté sa vie à sa disponibilité à lui, si bien qu'elle avait fait elle-même le vide autour d'elle. Elle s'était retrouvée seule et triste, sans affection.
— Toi, au moins, tu me traites avec respect. Même tout à l'heure, lors de nos petits jeux…
— Bien entendu, je te respecte. Et ne fais pas attention si parfois je prononce des mots crus au cours de ces jeux… ça en fait partie.
— Non, ne t'inquiète pas, je ne me formalise pas. Et puis ce qui est important, ce ne sont pas les « petits noms » que tu vas utiliser avec moi, ni le ton, ni les ordres : c'est la façon dont tu vas me considérer, me regarder pendant ces jeux.
— Oui, je vois ce que tu veux dire.
— Sans jamais aucun mépris, ni condescendance…
— Et avec du désir !
— Et surtout comment tu me traites et me considères après ces jeux.
— Bien évidemment !
— Ainsi, tu vois, la façon dont nous nous sommes douchés tous les deux, avons bu un verre… et dont nous dînons ensemble actuellement : tu ne me caches pas, n'as pas honte de moi.
— Bien entendu. Ne pas avoir de sentiments amoureux n'empêche pas d'avoir de l'affection, et même une certaine tendresse.
— C'est ça, répondit-elle, visiblement émue. Lui ne me voyait que chez moi. Jamais il ne m'a sortie, ni dans un bar, ni dans un restaurant, ni dans aucun lieu public. On ne peut faire l'amour à une femme sans un minimum de respect, de considération.
— Je sais tout ça.
— Tu sais, me dit-elle après un moment à être restée silencieuse en regardant son verre, je me sens beaucoup mieux depuis ce soir !
— C'est vrai ?
— Oui, je crois que j'ai compris que je me sentais coupable de quelque chose (comme l'échec de cette relation… ou d'être quelqu'un de pas attirant, quelqu'un indigne d'une relation), et c'est sans doute pour ça que je voulais être punie, que je fantasmais sur l'expiation dans la douleur, que je voulais jouir sous la punition. Mais j'ai compris que tout ça était faux : tu m'as libérée !
— Tu vas être libérée de ces fantasmes, aussi, alors ?
— Ça, c'est pas sûr… c'était pas désagréable, cette petite séance, minauda-t-elle.
Nous rîmes tous les deux de bon cœur.
Je la raccompagnai chez elle, l'embrassai sur les deux joues, sans nous fixer de rendez-vous futur. L'avenir et nos désirs décideraient pour nous.