Le Club des nymphes II
Nathan Kari2018(Thomas) En eaux troubles
Ça me fait mal de l'admettre, mais Louise avait raison : depuis que nous sommes séparés, ma sœur ne s'en est pas pris à elle. Elle pense lui avoir tout pris et ne doit pas encore la considérer comme une rivale. C'est pour cela que, malgré le fait d'avoir couché ensemble, je ne peux retourner avec ma belle. Du moins, pour le moment. Nos retrouvailles ont été merveilleuses mais trop courtes. Pouvoir la toucher, l'embrasser, sentir son odeur, sa chaleur, tout ça m'a fait un bien fou.
— Qu'est-ce qui te fait sourire autant, petit frère ?
— Non, rien.
Je suis assis à mon bureau en train de travailler. Élodie, assise en face sur le canapé, ses longues jambes fuselées s'enfuyant de sous sa courte jupe, m'observe d'un œil inquisiteur. Elle prépare un mauvais coup à n'en pas douter. Elle s'approche d'un pas félin, se positionne derrière moi et pose ses mains sur mes épaules.
— Ne me touche pas, protesté-je.
— Allons, du calme, petit frère. Je voulais juste te masser un peu, tu m'as l'air tendu. Ce n'est pas un massage qui va t'effrayer quand même ? Promis, je ne tente rien de contre-nature, à part si tu me le demandes, bien évidemment.
Elle commence doucement à frictionner mes épaules. Je ne peux m'empêcher de frissonner.
— Tu as l'air de beaucoup apprécier ma fillote, je me trompe ?
— Oui, je l'apprécie. Et alors ?
— Je comprends. Elle a l'air d'une fille sage mais cache bien son jeu. Elle se révèle prête à tout pour satisfaire les mecs avec qui elle couche. Je comprends que vous ne résistiez pas à ça.
— Ça n'a rien à voir avec le sexe ; Lorelei et une fille sympathique et bien, pas comme…
— Pas comme moi, tu veux dire ? Tss, laisse-moi rire ! Nous sommes pareilles, elle et moi, prêtes à nous donner complètement. La seule différence, c'est que je suis sûrement bien plus douée qu'elle. Je n'ai pas non plus son petit côté sainte-nitouche qu'elle se donne. C'est ça qui te plaît chez elle, je parie, ce côté candide, ce même genre que se donnait ton ex. Moi, j'appelle ça de l'hypocrisie. Moi, je ne me cache pas derrière de faux airs. Moi, je suis honnête avec moi-même ; j'accepte pleinement mes envies. Je suis une véritable nymphe. Je me donne tous les moyens pour parvenir à mes fins et je finis toujours par obtenir ce que je désire. Bien entendu, tu sais ce que je veux le plus au monde… me chuchote elle à l'oreille.
Je frisonne. C'est moi qu'elle veut. Jusqu'où sera-t-elle prête à aller ? J'ose à peine l'imaginer. Elle a déjà tout fait pour me séparer de Louise, et elle a en quelque sorte réussi. Louise n'aurait pas eu l'idée de simuler une rupture si elle ne m'avait pas surpris avec ma sœur lors de la soirée parrainage. Si seulement j'avais été capable de repousser ma sœur directement… Tout ça ne serait pas arrivé et je serais avec Louise en ce moment. Je l'ai laissée prendre le dessus ce soir-là ; combien de temps avant que je lui cède ? Car oui, vivre à côté de sa sœur sur qui on a fantasmé durant des années, ça n'aide pas.
Elle se montre beaucoup plus douce avec moi depuis mon retour, plus sympathique et aussi plus tactile, comme ce soir avec le massage. Elle fait des efforts pour se réconcilier avec moi. Tout ça n'est peut-être que du cinéma, mais la vision que j'ai d'elle s'éloigne du monstre. Du coup, je me sens de plus en plus coupable à chaque fois que je la repousse. Elle est quand même ma famille et elle veut se rapprocher de moi. À sa manière, mais quand même, je ne peux totalement haïr mon sang. Bien entendu, les tenues qu'elle porte à la maison et tous les sous-entendus qu'elle me lance ne me font jamais oublier ce qu'elle attend vraiment et n'a cessé de raviver des pulsions que j'essayais d'enfouir au plus profond de moi.
— Je t'aime, petit frère, plus que tout au monde. Si seulement tu me laissais te le prouver…
Mes sentiments pour ma sœur sont ambigus. Je la déteste car c'est une garce qui s'est toujours montrée odieuse avec moi. Elle a joué avec moi et a même tenté de me manipuler pour me pousser contre Louise. D'un autre côté, je l'aime aussi. J'ai grandi avec elle, j'ai partagé nombre de souvenirs merveilleux. Et je la désire aussi. C'est un sentiment malsain, mais néanmoins bien présent et très puissant. Ce désir ne fait que se renforcer de jour en jour depuis que je suis revenu. Tout mon corps souhaite ce contact alors que mon âme sait que ce serait une grave erreur, que ça ne peut qu'être mauvais pour moi comme pour elle. C'est aussi pour ça que je passe beaucoup de temps chez Lorelei. La meilleure façon de résister à la tentation, c'est de ne pas y être soumis.
J'ai résisté un soir de plus ; elle n'a pas tenté plus que son massage, comme elle me l'avait promis, et a fini par aller se coucher. J'ai fait de même peu après. Ce soir, je n'aurai pas à me battre puisque je passe la soirée chez Lorelei.
C'est une Lorelei soucieuse que je trouve quand j'arrive à son appartement. Elle n'est pas très bavarde et se contente d'un câlin devant la télé. Sa tête posée sur mon épaule, son parfum m'enivre les narines. Je lui prends le visage pour l'embrasser. Elle me répond du bout des lèvres. Quelque chose cloche.
— Que se passe-t-il ? finis-je par m'inquiéter. Tu es distante ce soir. Un problème ?
— Non, ce n'est rien, Thomas.
Je ne la crois pas. Je vois bien qu'il y a quelque chose. Comme je commence à la connaître, je sais qu'en insistant elle va finir par se confier, alors je la bouscule un peu.
— C'est juste que ta sœur m'a demandé aujourd'hui si je pouvais participer à une soirée privée chez Nathan vendredi soir. Je me demande juste comment cela va se passer.
— Parce que tu as accepté ?
— Oui. Elle a dit que c'était important pour le club.
— Tu ne dois pas y aller, Lorelei : tu sais très bien ce que Morgane a raconté sur le président. Nathan est loin d'être un type bien. Fuis-le comme la peste.
— C'est justement pour qu'il la laisse tranquille que je dois y aller. Nous devons être solidaires entre sirènes.
— C'est ce que te raconte Élodie ? C'est des conneries ! Pas la solidarité, non, ça c'est bien, mais ce n'est pas ce qui la motive…
— Que veux-tu dire ?
— Je suis désolé, Lorelei ; je n'aurais jamais dû accepter de te faire passer ta seconde épreuve d'initiation ; je n'aurais jamais dû continuer de te voir après. La vérité, c'est qu'Élodie cherche sans doute à t'éloigner de moi et à te punir.
— Quoi ? Mais pourquoi ferait-elle cela ?
— Euh… C'est compliqué. Disons qu'Élodie est très possessive et qu'elle ne veut pas que je noue des relations avec d'autres filles. Par pitié, Lorelei, tu ne dois pas y aller. Tu ferais même mieux de quitter les sirènes et de rejoindre les nymphes. Tu y seras beaucoup mieux ; jamais Louise ne t'imposera ce genre de truc.
— Je… j'ai promis, hésite-t-elle. Et puis c'est ma marraine… et malgré ce que tu dis, elle m'a bien aidée depuis le début d'année. Je ne veux pas trahir sa confiance.
Lorelei est dévouée. C'est admirable, mais elle ne comprend pas la position dans laquelle elle est. Élodie me l'a dit hier soir : elle est prête à tout pour m'avoir. Il fallait donc bien que je me doute qu'elle s'en prendrait tôt ou tard à sa filleule afin de l'écarter de moi. Quel imbécile j'ai été ! Il faut que je trouve une façon ou une autre de la protéger des manœuvres d'Élodie.
— Et si je devenais ton parrain, tu ferais ce que je te demande ? tenté-je.
— Mon parrain ? sourit-elle. J'aurais bien voulu, mais le tirage au sort en a décidé autrement.
Quelle innocence, souris-je… Elle croit encore qu'il y a eu un tirage au sort. Élodie avait choisi Morgane, Nathan voulait Morgane et a donc refilé Lorelei à la place.
— Je pourrais être une sorte de « parrain adoptif ».
— C'est possible, ça ?
— Et pourquoi pas. L'idée te plairait ?
— Oh oui, ça serait cool ! m'embrasse-t-elle. J'adorerais.
— Dans ce cas, c'est réglé. Je suis ton nouveau parrain. Tu n'as plus qu'à suivre mes conseils.
— Ça ne change pas qu'Élodie est toujours ma marraine et que je lui ai fait une promesse.
— Dans ce cas-là, hésité-je, c'est elle que je dois faire changer d'avis.
Je la serre dans mes bras et l'embrasse en lui promettant que je prendrai soin d'elle. Elle me sourit tendrement et commence à défaire les boutons de sa chemise.
C'est le lendemain soir que je vais pouvoir négocier avec ma sœur. Je rentre le premier à l'appartement et attends son retour nerveusement. Elle n'arrive pas tout de suite ; elle avait rendez-vous avec le directeur, apparemment, probablement le même genre de rendez-vous que Povin entretient avec Louise. Le salaud, quand j'y pense… il profite bien de sa position ! Elle rentre finalement environ une heure et demie après moi. Hypnotisé par les images d'une émission de télé quelconque, je l'attendais sur le canapé. Elle me sourit et vient me rejoindre. Assise à côté de moi, elle pose la tête sur mon épaule. Je soupire pour me donner du courage.
— Comme toujours, il a fallu que tu viennes foutre la merde, lui reproché-je. Tu ne peux décidément pas t'en empêcher !
— De quoi m'accuses-tu cette fois-ci ? joue-t-elle les innocentes. Exprime le fond de ta pensée, petit frère.
— Lorelei, précisé-je. Il a fallu que tu l'envoies dans les griffes de Nathan.
— Et alors ?
— Je sympathise avec une fille et tu cherches tout de suite à l'éloigner de moi et à la punir d'une façon ou d'une autre, commencé-je à perdre mon calme.
— Tu es parano, Thomas : le BDE avait besoin d'une fille, et Lorelei est la plus à même de répondre à leur besoin. Cela n'a rien à voir avec toi ; le monde ne te tourne pas autour.
— Pas en rapport avec moi ? m'énervé-je. J'ai du mal à te croire après tout ce que tu as fait subir à Louise.
— J'avoue que je me suis souvent comportée comme une garce avec ton ex, mais encore une fois, tout ne tourne pas autour de toi. J'avais d'autres raisons que votre relation pour la détester : elle allait faire n'importe quoi avec le club. Et pour cette fois avec Lorelei, je te jure que je n'avais aucune intention cachée.
La rage me fait lever d'un bond. Je n'arrive pas à la croire : elle a elle-même dit qu'elle était prête à tout pour m'obtenir, et le lendemain j'apprends qu'elle écarte Lorelei de mon chemin ; ça ne peut être une coïncidence.
— Même si ce que tu dis est vrai, Nathan est vraiment un connard de la pire espèce. Tu sais très bien ce qui s'est passé avec Morgane, et tu veux envoyer ta propre fillote à ce type-là ?
— Lorelei est différente de Morgane : elle saura gérer Nathan. J'ai confiance en elle. Et puis, elle a accepté…
— Oui, mais seulement parce qu'elle croit te devoir quelque chose. La vérité, c'est qu'elle n'en a pas envie.
— Et alors ? J'ai besoin qu'elle le fasse. Peu m'importe pour quelles raisons elle agit. Oublie cette histoire ; tout va bien se passer, tu verras. Fais-moi confiance.
— Tu me dégoûtes ! craché-je.
— Ça te met si en colère que ça ? sourit-elle. Je ne peux rien faire pour changer cela : les dés sont jetés.
— Si : tu peux la relever de cet engagement.
— Et pourquoi ferais-je ça ? Je t'ai dit que j'avais besoin qu'elle le fasse. Mon club doit garder de bonnes relations avec le BDE.
— Fais-le pour moi, si tu tiens vraiment à moi.
— Oh, petit frère, je tiens vraiment à toi, je te le jure, mais je ne peux pas me permettre de tourner le dos au BDE maintenant.
Elle m'observe fixement, attentive à la suite des événements. La situation semble l'amuser. Elle ne changera jamais, décidément ; dans ses mains, nous ne sommes que des pions qu'elle manipule pour exaucer tous ses désirs. Je n'ai plus le choix. Je me doutais que je serais obligé d'en arriver là. Pour la convaincre, je dois lui donner quelque chose en échange, et il n'y a qu'une chose qu'elle souhaitera plus que la sécurité de son club…
— Tu… tu as gagné le défi, hésité-je du bout des lèvres. Je suis prêt à coucher avec toi si tu laisses Lorelei tranquille.
Et voilà, c'est dit ! Je n'arrive pas à croire que j'ai prononcé ces mots. Mes mains tremblent. La colère, le dégoût, mais aussi une part d'excitation sont en jeu.
— Vraiment ? Tu tiens tant que ça à ma fillote ? Eh bien, quel noble sacrifice… sourit-elle en s'approchant de moi.
Elle se colle à moi, se frotte et m'embrasse. J'ai un réflexe du recul mais le mur m'arrête. Sa langue viole ma cavité buccale. J'accepte l'introduction et réponds à l'intruse. C'est très étrange d'embrasser sa sœur. Son corps si désirable à portée, prêt à être pris, sa jambe qui se frotte à ma cuisse, sa généreuse poitrine qui se presse contre la mienne et sa main experte qui descend vers mon entrejambe… Le feu embrase mes veines. Il n'y a plus de retour possible : cette fois, je vais céder à ma sœur. Tant de désirs refoulés remontent à la surface… J'ai longtemps lutté contre ; aujourd'hui, le combat est fini. Je crois que quelque part je n'attendais que de me retrouver dans une telle situation pour enfin déposer les armes. Ses doigts glissent sous ma ceinture, pénètrent dans mon caleçon et s'enroulent autour de ma verge douloureusement gonflée.
— Oh, petit frère, comme je suis heureuse de la sentir sous mes doigts et comme j'ai hâte de la sentir en moi ! Tu sais que j'attendais ça depuis longtemps. Je suis prête à réaliser tous tes fantasmes, même les plus inavouables. Tu n'auras qu'à m'ordonner et je serai à genoux.
— Tu diras à Lorelei de ne pas aller chez Nathan ? parviens-je à me rappeler.
Notre contact se brise soudain, me laissant comme une impression de vide. Elle a reculé de quelques pas et m'observe mystérieusement. Je ne comprends pas ce qui lui prend ; j'étais pourtant en train de céder.
— Non ! reprend-elle. Le pari ne stipulait pas cette situation. Tu étais censé vouloir de moi, pas te sentir obligé d'une façon ou d'une autre. Or, c'est pour protéger Lorelei que tu veux coucher avec moi. Même si j'en crève d'envie, je ne peux accepter ça.
Elle m'observe en attendant une réaction. Je ne parviens pas à déterminer si j'en suis heureux ou déçu. Tout ce que je sais, c'est que je me sens complètement perdu, debout comme un con sous l'œil inquisiteur de ma sœur, une érection du tonnerre déformant mon pantalon.
— En revanche, soupire-t-elle, nous pouvons reprendre où nous en étions lors de la soirée parrainage avant que ton ex nous coupe. Tu me laisses te sucer, et en échange je n'utiliserai pas Lorelei. Quant au pari, on le met de côté pour cette fois. Cela comptera pour du beurre.
Après un long moment d'hésitation et de honte, je lâche un « d'accord ». Un sourire victorieux inonde le visage d'Élodie. Ses yeux brillent d'une lueur perverse tandis qu'elle s'approche à nouveau de moi. Je ne fais rien quand elle s'agenouille. Je la laisse faire quand elle ouvre ma braguette et libère mon sexe tendu. Je ferme les yeux quand ses lèvres se referment sur mon gland, mon esprit partant vagabonder à mille lieues d'ici.
Mais des sensations de plaisir me ramènent à la terrible situation qui est la mienne. J'ai accepté de laisser ma sœur me pomper. Je me sens tellement coupable… Qu'en dirait Louise ? Elle n'aimerait pas assister à cet infâme spectacle, mais elle a accepté cette possibilité quand elle m'a envoyé dans les serres de ma sœur. C'est soudain que je réalise que finalement Louise n'agit pas si différemment d'Élodie ; elles ont toutes les deux envoyé quelqu'un de proche dans les griffes d'une horrible personne pour protéger leur club. Mais ce n'est pas pour Louise que j'agis ce soir : c'est pour Lorelei. Tout du moins, c'est la seule excuse que je trouve pour justifier mon inertie sous les assauts de la langue d'Élodie le long de ma verge.
— Hum, comme je me régale, petit frère ! J'aime sentir ta queue dans ma bouche ; elle m'avait tellement manqué… Et toi, aimes-tu ?
Je suis forcé de reconnaître que oui. Élodie est une pro et on sent qu'elle adore réellement cela. Elle se donne à fond. Plus jeune, je l'ai imaginée des centaines de fois me dévorer voracement la bite ; aujourd'hui, je me rends compte que mon imagination était très limitée. Ce n'est pourtant pas la première fois qu'elle me suce, mais je suis étonné à chaque fois du plaisir qu'elle est capable de me donner.
Elle suçote, elle pompe, elle avale totalement ma queue, le tout en me fixant d'un regard vicieux et en se malaxant ses deux magnifiques seins. Je frémis, je tremble et je m'embrase à chaque coup de langue tandis que, honteux, je fuis son regard. Maintenant que j'ai retrouvé le plaisir dans la bouche de ma sœur, je me demande bien comment je vais pouvoir y résister à l'avenir. En serai-je capable ? Le souhaiterai-je vraiment ? Ou en voudrai-je plus ? Elle souhaite m'emmener plus loin sur le chemin de la dépravation incestueuse. Ce soir, c'est pour cette raison qu'elle a mis de côté le pari : elle veut que je choisisse pleinement et consciemment de la suivre sur cette voie. Ce soir, ce n'est qu'un avant-goût pour me mettre l'eau à la bouche, pour m'appâter. Elle me réserve tellement plus… J'ose à peine l'imaginer !
Mon orgasme arrive à grand pas. Je m'agite. Élodie le sait. Elle le sent. Ses yeux libidineux brillent de mille feux. Elle se prépare à recevoir mon offrande, je le sais. Elle attend ça impatiemment, je le sens. Mon sang bout dans mes veines. Ma sève vient ; elle l'attend. Elle se hâte tandis qu'elle me tâte les bourses. La course touche à sa fin. L'infâme Élodie est affamée de mon foutre. Les derniers coups de langue sur mon gland emportent ma jouissance. Mon sperme jaillit par cent soubresauts recueillis par une langue habile. Élodie avale sans en laisser une goutte. Elle sourit.