Un sexologue pervers
Lioubov2017Chapitre 5
— Docteur ? Je vous en prie, allez-y… dit-elle avec un sourire espiègle.
Serge de Feule ne se fait pas prier ! Après avoir introduit délicatement l'extrémité de son index à l'entrée du vagin de la belle pour le lubrifier, il remonte de quelques centimètres pour aller titiller les bords de la rondelle frémissante ; il l'enduit ainsi à plusieurs reprises puis, estimant le moment venu, il plonge avec douceur sa première phalange au centre du sphincter et entreprend de délicats mouvements circulaires à l'intérieur du rectum de l'étudiante qui ne peut retenir quelques soupirs.
— Humm… Huuuuum…
Afin d'accentuer son plaisir, elle se met à onduler lascivement du bassin. Ses soupirs de plus en plus sensuels indiquent au sexologue qu'il est sur la bonne voie ; il fait pénétrer son index fureteur jusqu'à la deuxième phalange tout en continuant ses mouvements circulaires. Sarah est au bord de l'orgasme, mais elle en veut encore plus ; elle lance un regard voluptueux aux deux hommes pour leur faire comprendre sa folle envie de sexe.
Alors qu'elle tente tant bien que mal de contenir son orgasme afin de profiter le plus longtemps possible de cette situation troublante, sa petite main se dirige vers la braguette de Xavier, son gynécologue, et se plaque sur son pantalon pour se refermer sur le gourdin et le serrer convulsivement.
Avisant l'état d'excitation de sa patiente, le docteur de Feule en profite pour introduire un deuxième, puis un troisième doigt dans la corolle frémissante. À présent, il malaxe avec de plus en plus de vigueur l'intérieur de la jeune fille qui, haletante, est sur le point d'exploser. Elle le supplie avec des mots qu'elle pensait ne jamais pouvoir prononcer :
— Docteur, enculez-moi… Je vous en prie, ne me laissez pas comme ça… Enculez-moi, maintenant ! Je vous veux dans mon cul !
Le médecin fait glisser son pantalon et son boxer jusqu'à ses pieds, dévoilant une verge aristocratique, longue et fine, parfaite pour la sodomie. Se plaçant entre les cuisses largement ouvertes de l'étudiante, il applique son gland effilé sur l'ouverture étoilée et le fait pénétrer sans la moindre difficulté. Ne pouvant plus retenir son orgasme, Sarah accentue sa cambrure afin que le docteur puisse lui investir plus profondément le cul.
— Docteur, prenez-moi… Continuez… Oui…
Le gynécologue n'en peut plus de jouer les spectateurs ; il se place face à la jeune fille, extirpe un membre congestionné de son pantalon et l'insère dans la bouche de l'étudiante afin de pouvoir, lui aussi, participer à ce déchaînement des sens, à ces explosions de libidos.
Le sexologue poursuit lentement, sans à-coup, l'intromission de sa longue pine dans le fondement de l'adolescente jusqu'à arriver en butée contre ses fesses magnifiques. Courbé au-dessus du dos de Sarah, il voit sa tête aller et venir le long du membre de son confrère ; cette vision l'excite encore plus, et il se met à glisser lentement dans l'étroit boyau de la jeune fille qui explose immédiatement dans un premier orgasme. Une vague de chaleur prend possession de son corps pendant qu'elle gémit tout en suçant ardemment la grosse bite du gynécologue pour les remercier, lui et le docteur de Feule, de l'avoir libérée de ses inhibitions.
— Xavier, viens bouffer la chatte de cette petite cochonne pendant que je lui défonce le cul ! Sarah, soulève-toi et laisse-le se glisser sous toi.
La belle s'exécute et laisse le médecin se glisser sous son corps ; elle profite de cette position de 69 pour reprendre en bouche le mandrin du gynécologue. À présent que la langue de son confrère s'est emparée de la vulve ruisselante de l'étudiante, le sexologue pervers se remet à coulisser régulièrement dans le cul de l'adolescente, puis accélère sa cadence. Parfois, il laisse juste son gland à l'intérieur du rectum, immobile, étranglé par le sphincter qui l'enserre, puis il pénètre d'un trait au plus profond des entrailles de Sarah pour y appliquer de petits coups secs et répétés.
— Hummm… Messieurs…
Les va-et-vient du sexologue et les coups de langue assidus du gynécologue accélèrent l'arrivée du second orgasme de Sarah qui ne tarde pas à exploser sous les coups qui la traversent tandis que des cris de plaisir s'échappent de sa bouche.
Ces cris excitent l'enculeur. Sentant sa jouissance monter inexorablement, il s'immobilise tout au fond du rectum qui l'enserre délicieusement puis, faisant coulisser lentement sa verge sur quelques centimètres seulement pour bien apprécier la douceur de la gaine qui presse son gland gonflé par le plaisir, il se déverse à longs jets dans ce cul accueillant en poussant un hurlement libérateur.
Il reste un moment dans ces entrailles soyeuses, puis se retire.
— À toi, Xavier. Maintenant que le chemin est préparé, tu lui feras moins mal avec ta grosse bite.
Le gynécologue se retire à regret de la bouche de Sarah, se redresse et vient prendre la place libérée par son confrère ; et même si son membre est d'une taille impressionnante, il l'introduit sans coup férir entre les fesses de la jeune fille qui accueille l'imposante verge avec un gémissement entre douleur et plaisir.
Quelque peu fatiguée mais toujours excitée, Sarah est transpercée par l'imposant membre. Bien qu'elle y ait goûté peu de temps auparavant, le recevoir dans son petit cul n'est pas une partie de plaisir ; du moins au début, car très vite la douleur laisse place au plaisir tandis que le gynécologue entreprend une étude en profondeur des fesses de la jeune fille. Déjà prêt à jouir dans la bouche de Sarah lorsqu'il s'en était retiré, Xavier n'a que quelques va-et-vient à effectuer dans l'étroit conduit pour éjaculer longuement en gémissant, mais ces quelques mouvements permettent à l'adolescente de connaître un troisième orgasme.
— Docteur… Hum, Docteur… Oui… Aaaah !
Pour Sarah, ce troisième orgasme est sans le moindre doute le plus puissant de tous.
Chaque membre du trio ayant satisfait sa lubricité, le gynécologue invite l'étudiante à passer dans le cabinet de toilette attenant pour y procéder à des ablutions bienvenues. Pendant son absence, les deux compères se versent une rasade de ce fabuleux cognac et le dégustent tout en se congratulant pour ce moment de débauche. Sarah, quant à elle, est toujours dans un état second. Elle ne se reconnaît pas : la jeune étudiante s'est transformée en une véritable dépravée du sexe… et elle en redemande encore !
Lorsqu'elle réapparaît dans le cabinet, elle trouve les deux médecins en train de deviser joyeusement. Serge de Feule l'invite à s'asseoir dans un fauteuil face à eux.
— Eh bien, Mademoiselle, l'examen est probant : vous n'êtes affectée d'aucun syndrome. Vos problèmes provenaient uniquement de votre ami qui ne sait pas s'y prendre avec les femmes. Toutefois, il serait utile de vous revoir régulièrement pour un suivi de vos capacités orgasmiques ; je vous propose donc de nous retrouver ici-même une fois par mois. Cela vous convient-il ?
Sarah s'interroge. Cette relation a été exceptionnelle, mais un suivi régulier, où cela pourrait-il la mener ? Cependant, l'excitation qu'elle vient de connaître ne la fait pas réfléchir longtemps.
— Docteur, ces rendez-vous mensuels me semblent impératifs.
— On se retrouve dans un mois, alors ?
— Avec grand plaisir.
— N'oubliez pas, Mademoiselle, qu'il faut prolonger le traitement pour qu'il reste efficace. Et son efficacité n'est plus à démontrer !
Avant de partir, sachant parfaitement l'usage que les deux médecins vont lui réserver, Sarah laisse tomber négligemment sur le seuil de la porte son string détrempé par l'excitation qui l'avait submergée en se rendant au cabinet médical, se doutant bien de ce qui allait se produire ; mais elle ne savait pas encore que ses attentes allaient être comblées bien au-delà de ses espérances les plus folles.