Lazarius rencontre Éva Deline
Doc7721/11/2019Chapitre 4
Rapidement elle supplia :
— Oh, je vous en prie, arrêtez et enlevez-moi ces pinces qui me meurtrissent les seins ! C'est trop désagréable, je ne vais pas prendre mon plaisir…
— D'accord, ma belle Eva. Mais n'oubliez pas le corollaire : ça veut donc dire que vous acceptez le deal ?
— Oui, d'accord. OK pour la strappe. Mais enlevez-moi ces satanées pinces. Et baisez-moi ensuite.
— D'accord.
Je sortis d'elle, la lâchai et m'agenouillai à son côté. J'attrapai la première pince et l'ouvris. Elle poussa un cri terrible. La pression se relâchant faisant revenir l'influx nerveux sur son tendre mamelon, un surcroît de douleur – phénomène bien connu – la suffoqua presque.
Bouche ouverte, les larmes sortant de ses yeux, elle reprenait son souffle.
Je dus cependant pratiquer la même chose sur son second mamelon, et sa réaction fut la même.
Je pris son menton et l'embrassai à pleine bouche pour la cajoler, je léchai ses larmes qui avaient coulé sur le haut de sa joue soyeuse.
— Bon, vous êtes prête pour la strappe ?
— Ai-je le choix ? me répondit-elle avec des yeux doux et résignés.
— Non, bien évidemment ; nous avons fait un deal, et vous êtes une femme raisonnable.
Venez avec moi, lui dis-je en l'invitant à descendre de la table et à se lever, je crois qu'il sera préférable de vous attacher.
— D'accord… me répondit-elle, un peu anxieuse.
Je l'amenai devant le bureau et lui demandai de retirer ses bottes. Elle positionna ses pieds devant les anneaux de cuivre, et j'y attachai ses chevilles. Puis je la fis se pencher sur le bureau et tendre ses mains jusqu'au bord opposé, ses jolies mains fines et délicates que je baisai doucement avant de les reposer à plat sur le bureau. Je passai une cordelette autour de chacun de ses fins poignets, les tendis, et l'attachai à la barre horizontale métallique située derrière le meuble.
Elle était désormais délicieusement captive, penchée en avant, ses seins reposant sur le plateau, sa croupe offerte et tendue vers l'arrière ornée du brillant du rosebud. Je me saisis de la strappe et la fis glisser sur son dos, ses reins, ses fesses. Elle frissonna. Elle essaya de me regarder en tournant sa tête vers moi, avec une crainte non dissimulée.
— Je vous en prie, dit-elle dans un souffle, prévenez-moi quand vous allez commencer.
— Bien entendu, belle Evelyne, je suis un gentleman, pas une brute.
— Je sais, soupira-t-elle, j'ai confiance en vous… mais j'ai peur quand même.
Je caressai un instant ses fesses encore toutes chaudes et bien rouges, me sentant soudain coupable de ce que j'allais leur faire subir ; mais je me rappelai ce qu'avait dit un jour un maître SM : « Quand vous avez administré une fois la strappe à une femme parce qu'elle y a consenti, alors vous pouvez vous dire qu'elle est toute à vous. La strappe c'est comme la sodomie : les femmes qui l'acceptent vous font un total don d'elles-mêmes. »
Ma main s'attardait sur ces jolies fesses douces. J'étais tout à ma rêverie, mais craignant presque pour leur peau fragile. Bien entendu, je me savais décidé à interrompre la flagellation à la moindre blessure, la moindre lésion, la moindre égratignure.
— Très bien, dis-je en m'écartant et en reprenant mes esprits, nous allons commencer. Et n'oubliez pas de compter après chaque coup… sans quoi je me verrai dans l'obligation de reprendre le compte à zéro ! Je vous fais grâce du « Merci Monsieur ! » qu'on impose habituellement à la soumise après chaque coup.
Je levai le bras. Je vis ses fesses se crisper. La strappe s'abattit en plein milieu de son fessier, le marquant d'une large bande sombre qui apparut immédiatement.
— Aaah ! lâcha-t-elle, suffoquée. Un !
Lentement, implacablement, je levai à nouveau le bras ; la sangle de cuir s'abattit avec une précision diabolique juste en dessous de la première trace, sur le sommet des fesses.
— Aaooh ! Deux !
Je continuai, lentement, à un rythme régulier, prenant un élan mesuré et abattant la lame de cuir sur son joli petit cul. Sa voix commençait à devenir tremblante. Je songeais aux sensations qu'elle devait éprouver lors du choc ; le rosebud bien fiché en elle devait propager des vibrations aux endroits stratégiques.
À 6, je fis une petite pause, le temps de changer de côté pour éviter que l'extrémité de la strappe ne s'abatte toujours sur la fesse droite et ne la marque trop fort, et afin de traiter les deux hémisphères équitablement. Je repris la lente flagellation, du haut du fessier, tout près du bas des reins, puis descendant jusqu'au bas des fesses, à la lisière de la commissure des cuisses. Les claquements secs emplissaient la pièce, suivis de cris déchirants et de plus en plus puissants. Bien que remué par ceux-ci et par l'émotion intense qui habitait la pièce, je me sentais encouragé par le fait qu'elle prenait sa correction jusqu'au bout et sans faillir. Ma main ne faiblit donc pas.
Elle compta courageusement jusqu'à 12 avec des trémolos dans la voix, mais jamais elle ne me demanda grâce ni ne me supplia d'arrêter.
Lorsque j'eus détaché ses jolies mains, je la questionnai tout en caressant ses cheveux :
— Alors, qu'est-ce que ça fait de se faire dresser comme une chienne ?
— Ça fait très mal. Mais j'avoue que vous être soumise ainsi est une sensation très forte… quelque chose que je n'avais jamais ressenti.
— Et de recevoir la strappe avec un plug dans le cul, qu'est-ce que ça vous a provoqué comme sensations ?
— Des choses… des vibrations… Ça m'a… ça m'a… ébranlé tout… tout le bas-ventre.
Elle put se relever et attendit que je détache ses chevilles, puis elle se retourna.
Je la regardai tendrement.
— C'est bien, ma belle, je suis fier de vous. Vous avez été très courageuse ; je suis fier de votre courage. Je suis fier d'avoir une aussi belle soumise, une aussi bonne élève.
Je l'enlaçai et l'embrassai passionnément. Elle mit ses bras autour de moi, se lova contre moi et se laissa apaiser par mes caresses dont je la couvrais avec tendresse. Je l'embrassai dans le cou, sur les épaules, remontant jusqu'à ses oreilles. Je lui murmurai doucement :
— Je vais vous passer un baume apaisant, puis je vais vous faire l'amour.
Je la pris par la main pour l'amener à nouveau devant la table basse et la priai de se réinstaller à quatre pattes. Elle grimpa sur ce piédestal et me présenta son gracieux et malheureux fessier qui était écarlate et orné de larges zébrures boursouflées qui le marquaient, dans le sens de la largeur, jusqu'aux lisières des cuisses.
Je pris de la crème apaisante aux plantes, en mis sur mes deux mains et commençai à l'étaler délicatement sur ses pauvres hémisphères : ils étaient brûlants comme la braise. Elle souffla, creusa les reins. J'appliquai doucement l'onguent blanc en essayant de ne pas appuyer pour ne pas la faire souffrir davantage ; il absorbait la chaleur du fessier à vue d'œil et la communiquait à mes mains. Je regrettais presque de l'avoir ainsi marquée, mais elle avait tenu bon jusqu'au terme du châtiment.
Sa peau redevenait douce ; j'étalai la crème en abondance en descendant sur le haut des cuisses, jusqu'en bordure de la vulve bien fendue et entrebâillée. Je commençai à caresser les tendres muqueuses intimes, esquissant un diabolique massage. Apaisée, elle soupirait.
Mes caresses remontèrent jusqu'à ses reins qu'elle fit ployer souplement, à sa fine taille, et même plus haut, atteignant ses seins pointus que je malaxai avec douceur et sensualité, titillant les mamelons qui étaient redevenus un peu moins sensibles mais durcissaient sous mes doigts. Ce changement de registre sembla lui plaire, et elle se laissa aller à mes caresses ; je la vis écarter légèrement les cuisses, s'ouvrir davantage, me tendre son cul et me l'offrir avec beaucoup de grâce, son beau cul élégant et racé, toujours orné du brillant du rosebud comme un bouchon de carafe en cristal.
Mes mains, doucement, s'emparèrent délicatement de sa taille, la faisant se cambrer davantage.
— Hum, si vous saviez, ma belle, comme j'apprécie cette offrande… Belle féline, j'aime comme vous me présentez votre croupe de soumise, comme vous la tendez, toute à votre impatience que je soulage cette tension sexuelle, ce feu qui s'est installé tout au fond de votre ventre. Vous en avez envie, n'est-ce pas ?
— Oh oui, je vous en prie. Soulagez-moi… prononça-t-elle dans un soupir qui était comme une plainte.
— Eh bien je vais vous baiser, Madame. Je vais vous baiser comme on baise une soumise : à grands coups de reins, et sans pitié !
Là-dessus, j'enfilai un préservatif bien lubrifié sur mon phallus tendu et presque douloureux tellement il n'en pouvait plus de l'envie de cette femelle, et le gland glissa avec délectation dans la conque rose, suivi de toute la hampe, et arriva en butée tout au fond de son ventre de princesse.
Elle soupira de plaisir.
Mes mains bien refermées sur sa taille sensuelle, je me mis à le besogner lentement, puis accélérai rapidement, donnant des coups de bélier tout au fond d'elle. Ses gémissements devinrent très vite de grands cris de jouissance : la dame se lâchait, exultait, perdait tout contrôle, m'inondant de cyprine. Mes mains tantôt pressant ses petits seins pointus, tantôt enserrant sa taille, allaient de l'un à l'autre, la régalaient de caresses. Elle m'excitait diablement ; baiser son joli corps gracieux était vraiment divin, mais il manquait encore quelque chose pour qu'elle soit totalement à moi.
Avant que sa jouissance ait atteint son acmé, je la fis descendre de la table et se mettre à quatre pattes, cette fois directement sur le sol. Je lui retirai doucement son rosebud ; elle poussa un petit gloussement aigu. Son anus restait ouvert comme une petite bouche arrondie.
Sans lui laisser le temps de se refermer, j'y présentai ma pine et l'enfonçai lentement. Je le sentis s'ouvrir davantage. Elle poussait de petits cris entrecoupés de halètements. L'étroit canal de son cul était lisse et brûlant. Son sphincter palpitait et me serrait la queue spasmodiquement.
Je glissais doucement en elle ; elle m'absorba, le souffle coupé, comme tétanisée par cette nouvelle expérience.
— Il n'est jamais trop tard pour se faire sodomiser, belle féline ! Voyez comme votre cul est souple… Je ne vous fais pas mal, n'est-ce pas ?
— Non… Ça va, mais c'est… Ooooh !
Accroupi au-dessus d'elle, je me mis à lui ramoner son étroit conduit à longs coups de reins tandis que je la tenais fermement par les hanches. Je butais à chaque coup de pine contre ses fesses, et j'avais l'impression d'aller à chaque fois toujours plus loin dans son fondement.
Son intestin devenait de plus en plus souple, et je travaillais avec délice ses chairs élastiques.
Mon mouvement de va-et-vient s'accéléra, et tel un percuteur je me mis à ébranler tout son bas-ventre, ce qui commença à lui provoquer de vives sensations, tout d'abord traduites par un feulement inquiet, puis par des râles à peine contenus ; ce fut enfin une longue plainte que sa bouche laissa s'échapper.
Je sentis également des spasmes qui secouèrent tout son ventre : la dame, digne, et connue grâce à son charisme, son sourire à faire damner un saint et par sa beauté éternelle était en train de jouir comme une folle sous les coups de boutoir appuyés qui lui défonçaient le cul et lui explosaient la zone G !
J'exultai, sur le point moi-même d'exploser :
— C'est bon, hein, de se faire défoncer le cul !
— Oh oui, oui, ouiiiiii…
— Vous avez vu, ma chère Evelyne : il n'y a pas d'âge pour se faire enculer et pour prendre son pied.
— Oh oui, je jouis… Je jouiiiiiiiiiiiis… C'est bon… Aaaaah !
— Ah vous aimez ça, les grands coups de pine dans le cul, hein, ma belle salope ?
— Oh ouii ! Aaaah ! Aaaah !
— Ah, c'est vraiment trop bon de vous baiser ! J'adore ça ! Vous êtes vraiment trop bonne ! Ah, vous reviendrez souvent vous faire labourer par tous les trous… Aaaaaaah… !
Je jouis dans son cul, explosant littéralement – ce qu'elle ressentit, ma queue gonflée lui dilatant spasmodiquement son petit sphincter – et qu'elle accueillit avec des râles de joie et de jouissance redoublée.
Nous nous effondrâmes tous les deux, moi sur elle, et nous roulâmes sur le côté. Toujours planté en elle, je l'enlaçai par derrière et la serrai contre moi tendrement. Je l'embrassais dans le cou, la caressais, et lui murmurais des paroles douces.
Nous finîmes par nous détacher l'un de l'autre. Elle était souriante et détendue. La prenant par la taille, je l'emmenai dans la salle d'eau et nous prîmes une douche ensemble. L'eau était très chaude et coulait sur nous ; je la savonnai avec des gestes amoureux. Nous restâmes longtemps sous l'eau ruisselante à nous embrasser, à nous câliner.
Ne voulant pas nous séparer trop vite, nous restâmes au salon à discuter gaiement jusqu'à l'heure du dîner. Finalement, elle m'emmena dîner dans un endroit discret et chaleureux, où la cuisine était somptueuse.
Étant un gentleman, bien entendu, c'est moi qui l'invitai.
Puis nous sortîmes du restaurant tard dans la soirée. Il faisait déjà nuit. Je n'avais pas envie de la quitter, et elle non plus. Elle m'emmena chez elle, et nous refîmes l'amour une bonne partie de la nuit.
Le matin, après un chaud petit déjeuner, je finis par la quitter. Elle me dit qu'elle souhaitait recommencer l'expérience une autre fois.
— Sans problème, lui dis-je, c'était vraiment un plaisir.
On peut dire que j'aime vraiment ce job !