Mort, mais pas trop
Oshmonek2017Libérées !
Après une nuit entière à les baiser toutes les deux, croyez-moi si vous voulez, je ne suis pas rassasié ! J'ai inondé les draps de litres de foutre à chaque fois, je les ai tellement baisées qu'elles ont la chatte rouge vif ; elles ont dû prendre plusieurs douches tant je leur ai fourni de sperme partout. Bref, je me suis transformé en acteur de hard, avec une réserve incroyable de liqueur pour leur sexe et leur bouche. Je crois qu'elles en sont écœurées pour quelques jours.
Mais je vais faire quoi, moi ? Déjà, j'ai retrouvé mes fringues et j'ai pu les remettre.
On est jeudi, et je crois me souvenir que la petite Virginie avait rendez-vous avec son prof pervers ; je vais m'y rendre pour voir si je peux l'aider.
Arrivé à l'université, je file directement dans le bureau du pervers matheux où je trouve la belle jeune femme dans une drôle de position : elle a la tête sur le sol, son dos contre l'assise du vieux fauteuil en cuir râpé, les jambes écartées et les pieds irrésistiblement attirés vers le sol ; ses genoux sont presque à hauteur de son visage. Elle a dû retirer sa jupe, et son string a été écarté sur le côté de son sexe épilé de frais. Le prof profiteur a plongé ses doigts dans la fente ainsi bien dégagée, et l'index de son autre main appuie sur l'anus bien fermé de la jolie poupée, qui pleure.
Ah, le salaud… Il abuse, là !
Il s'agenouille au-dessus de sa victime et lui colle d'office sa queue tendue dans la bouche ; elle n'a pas d'autre choix et se met à pomper avec une énergie digne d'une actrice X. Comme il se rend compte qu'elle veut en finir au plus vite, il lui plonge deux doigts dans le cul et lui crie dessus :
— Doucement, salope ! Je ne veux pas jouir dans ta gueule mais dans ton cul, alors calme ou je t'encule à sec !
La pauvre ne dit rien et ralentit la cadence, subissant le rythme que l'homme lui impose. Les yeux du prof libidineux vont lui sortir des orbites tant le spectacle qui lui est offert lui donne du plaisir, avec ces joyaux offerts à ses yeux et à ses doigts.
Je me glisse près de lui, et tout en admirant également le spectacle (bah, c'est jolie une chatte ouverte et épilée…) je lui souffle à l'oreille :
— Jouis maintenant, tu la baiseras plus tard. Laisse-toi aller, fous-lui la paix pour aujourd'hui.
Les mots que je viens de lui glisser semblent avoir l'effet recherché, et je le vois accélérer la cadence.
Je me penche près du visage de Virginie qui tente de respirer entre deux coups de pilon et une paire de couilles collée sur son nez.
— Pompe-le fort : crois-moi, il va jouir et tu seras débarrassée.
Elle ouvre les yeux en grand comme si elle avait tout entendu et se met à l'aspirer tant et plus jusqu'à ce qu'il se mette à râler et s'immobilise au fond de sa bouche, déversant son jus dans la gorge de la demoiselle qui l'avale tant bien que mal, le surplus débordant à la commissure de ses lèvres.
Le jeune prof se redresse, et grognon lui dit :
— Rhabille-toi, poufiasse, je te baiserai le cul la semaine prochaine. Ne sois pas en retard !
Elle ne traîne pas et file vite fait hors du bureau, prenant à peine le temps de se rajuster. Alors que je sors derrière elle, elle se tourne vers moi d'un bloc pour me demander :
— Tu ne pouvais pas l'empêcher au lieu de rester à mater ?
Putain, elle aussi elle me voit… Je dois avoir l'air con, parce qu'elle laisse échapper un « pfft » désobligeant. Je la regarde droit dans les yeux et lui dis tout de go :
— Je suis un fantôme. Toi, tu me vois, je sais pas pourquoi d'ailleurs, mais lui non. J'ai fait au mieux : je t'ai évité de te faire sodomiser.
— Un fantôme ! T'as rien trouvé d'autre ? Pauvre naze… Et tu trouves que c'est mieux, ce qu'il m'a fait ?
— Non, certes, mais au moins…
Elle me coupe :
— Ouais, je sais, il ne s'en est pas pris à mon cul. Vas-y, un fantôme… T'es trop bolos !
Elle tente alors de me taper sur l'épaule, mais sa main passe au travers.
— Bordel, mais c'est vrai ! Et lui, il te voit pas ? Tu pourrais lui piquer les réponses du contrôle, alors ?
Elle ne perd pas le nord, la gamine !
— Non, mais je vais essayer de le dissuader de t'emmerder.
— Ouais, mais qu'il me mette une bonne note quand même… Tu sais quoi ? Tu pourrais peut-être m'aider avec un mec trop canon : il s'appelle Renan.
Ce prénom me dit quelque chose… Ah oui, le pote d'Arnaud le salaud et le match de foot.
— Tu veux qu'il s'intéresse à toi ?
— Ouais, voire plus ; il est carrément craquant. Bon, je dois retourner en cours. Putain, je le crois pas, j'ai un pote fantôme !
Moi qui craignais de m'ennuyer, me voilà avec deux jobs pour la journée : convaincre le pervers pépère de lâcher la jolie Virginie, et faire de Renan un bel étalon… Pour le premier, j'ai une idée ; pour le second, il faut que je m'en approche pour connaître son état d'esprit.
Pour commencer, je file dans le bureau du jeune prof. Le smartphone est toujours sur la base, mais le bonhomme est retourné en salle de cours. Je file maintenant chez le doyen ; assis derrière son bureau, il lit des documents de gestion. Comme il semble accaparé par ses lectures, peut-être que je peux tenter un truc.
— Monsieur Laurière est un pervers : il fait des trucs avec des élèves contre leur gré.
Je lui ai glissé cela dans l'oreille et j'ouvre mon esprit pour essayer de capter ses pensées. Ma surprise est grande quand je découvre ce qu'il a en tête. Voici ce que je perçois : « Il a un cul, ce Laurière, j'en ferais bien mon 5 à 7… Putain, ce qu'il est bandant ! »
Me voilà bien : ce vieux pédéraste rêve du cul d'un jeune prof plutôt tourné vers les gamines. Je recommence :
— Laurière s'envoie des gamines dans son bureau : tout est sur son smartphone.
J'écoute ses pensées : « J'espère qu'il se fait pas des élèves, ce petit salaud… Je ne sais pas pourquoi, mais je crois qu'il se paye des gamines, et il est foutu de les filmer en plus. Je vais aller vérifier ; il doit être en cours, là. » L'homme se lève, quitte son bureau et se précipite vers celui du jeune prof qui est presque voisin. Bon ; ça, c'est presque réglé.
Les hurlements de rage qui suivent me rassurent sur la suite de la carrière du jeune Laurière. Passons maintenant au silencieux Renan.
Je n'ai pas le temps de changer de direction que je vois le doyen se précipiter vers l'amphi où officie le jeune prof. Quelques minutes après, les deux hommes ressortent et la dispute enfle. Le doyen, rouge écarlate, lui hurle dessus, le traitant de pervers et lui ordonne de quitter l'université. Laurière, rouge vif, passe près de moi sans me voir, mais je l'entends maugréer :
— La salope m'a balancé ; je vais m'occuper de son cul !
Aïe, le remède est pire que le mal ! Là, il n'est pas en mode « love », et je n'ai aucun pouvoir sur lui. Je le suis dans son bureau ; le smartphone a disparu : le doyen a dû le prendre comme pièce à conviction. Le professeur ramasse ses affaires et jette tout dans un carton qu'il emporte en quittant les lieux. Bon, je verrai cela plus tard ; passons à Renan.
J'arpente les couloirs à la recherche du jeune homme, sa classe, ses amis ; peu de succès. Je vais alors vers la sortie dans le but de rejoindre l'appartement de son ami Arnaud ; peut-être qu'il s'y trouve. Arrivé devant la porte, je perçois des bruits à l'intérieur. J'entre en traversant le battant de bois. La scène que je découvre est plutôt… étrange, pour ne pas dire surprenante : Arnaud et son ami sont installés dans le canapé et jouent sur une console, le pantalon sur les chevilles. Je découvre alors deux jeunes filles qui s'amusent avec leur bite, agenouillées entre leurs cuisses.
Je fais le tour du canapé pour découvrir qui sont ces deux trouble-fête (bah oui, j'avais un autre programme en tête, du moins pour Renan) ; et là, surprise ! Virginie dévore la queue de Renan et Lauréline celle d'Arnaud. Toutes deux semblent consentantes et amusées par ce qu'elles font. Putain, mais il se passe quoi dans leur tête ?
Bon, sur ce coup-là, rien de plus à faire : Virginie a ce qu'elle veut ; enfin, je le suppose puisqu'elle a la queue de son mec dans la gorge. Quant à Lauréline, bah, y a rien à comprendre. La dernière fois que je l'ai vue, elle ne voulait plus rien savoir d'Arnaud, et au final je la retrouve le pompant sur son canapé.
Je vais pour tourner les talons quand j'entends un bruit étouffé dans la pièce d'à côté. Je m'avance et découvre, tapis dans l'ombre, un troisième homme, puis un quatrième, portable dans la main gauche filmant les protagonistes de la pièce d'à côté. Ils ont également la queue dans la main droite, ce qui me laisse penser que leurs intentions ne sont pas de se contenter d'un film.
Les filles sont bêtes ; en tout cas, ces deux là. Cependant, je ne suis pas sûr qu'elles aient l'intention de jouer avec toute cette équipe de branleurs. Je vais essayer de mettre ces deux-là hors d'état de nuire. Comme ils m'ont l'air fort excité, ils devraient être réceptifs à mes « conseils ». Je me glisse près de celui qui est le plus en retrait de la porte et, debout derrière son pote, je lui murmure à l'oreille :
— Joli petit cul, ton pote… Tu sais qu'il rêve de te sucer ?
Puis j'avance près de son camarade agenouillé, bite et portable à la main.
— Tu sais, ton pote, là derrière, il a une belle queue : je suis sûr que tu l'aimeras.
Je ne pense pas qu'ils soient gays, mais tant pis, ils vont découvrir.
Ce que j'ai instillé dans leur tête semble les faire réagir. L'un avance vers l'autre, qui ouvre de grands yeux à la vue de la bite présentée et ne se fait pas prier pour la prendre en bouche. Pas homos, mais quand même pas loin… Trop faciles à manipuler, les ados excités.
Bon, les gonzesses, vous êtes en train de vous faire piéger.
Je m'approche de Lauréline et lui souffle à l'oreille :
— Je suis là, ma belle. Il y a deux mecs dans la salle de bain qui vous filment ; là, ils ont d'autres occupations, mais je te suggère de faire gaffe !
Elle quitte la queue d'Arnaud et me regarde, les yeux pleins de rage. Elle prend son téléphone, pousse la porte de la pièce voisine et se met à filmer les deux compères en pleine action. Folle de rage, elle revient vers Arnaud, un peu surpris par son départ, la bite dressée à la main.
— Je suis un peu trop conne ! Je suis revenue parce que tu me plaisais, mais maintenant c'est moi qui te tiens : j'ai une vidéo de tes potes qui s'enculent et de toi la bite à la main, attendant ton tour sur le canapé du salon. J'ai bien sûr évité de filmer Virginie et Renan. Dans dix minutes, tout est sur le net si tu ne vires pas tes propres vidéos.
Le jeune homme reste sans voix ; sa queue a perdu de sa superbe. Il ne dit pas un mot et tend son doigt vers son ordi portable. Virginie, elle, se relève, une goutte de sperme coulant de sa lèvre.
— Qu'est-ce qui se passe ?
— Ces salauds ont prévu de nous « offrir » à leurs potes qui s'enculent dans la salle de bain !
— Qui te l'a dit ?
— Tu ne me croirais pas. Viens, on se casse !
En partant, Lauréline s'empare du PC portable.
— Confisqué, mon lapin ; et souviens-toi : maintenant, c'est moi qui te tiens !
Les deux gars sont pantois. Ils regardent les deux filles quitter la pièce au son de l'enculade des deux complices cachés dans la salle de bain. Moi, je rigole.
Bon, on n'épiloguera pas sur le thème « dieu de l'amour » : je n'ai franchement pas les épaules d'un bon Samaritain ni même l'âme d'un sauveur, mais j'ai quand même réussi à sauver les deux donzelles des griffes de ces salauds (même si elles s'y étaient jetées bien volontiers).