Étrange songe sur ma voisine
Oshmonek2017Chapitre 2
Comme chaque jour je me prépare, me douche, déjeune, m'habille tout en m'occupant de mon grand garçon de 10 ans. Une fois que nous sommes enfin aptes à quitter le domicile, nous nous engouffrons dans ma voiture et je le conduis à l'école.
C'est cet instant que j'attends chaque jour avec impatience. D'autant plus que ce matin j'ai rêvé de ma divine voisine. Pourquoi plus aujourd'hui ? C'était mon rêve à moi, et cela ne change rien à la vie réelle ; cependant, je suis un peu plus « pressé » ce matin. Mais les minutes passent sans qu'elle n'apparaisse dans sa petite voiture noire. Il faut que je parte travailler ; je ne la verrai pas ce matin.
Déçu, je prends la route qui m'emmène vers mon premier rendez-vous de la journée. Quelques mètres seulement après le parking de l'école, j'aperçois la Micra de ma voisine sur un autre parking, et elle qui file en courant vers l'école. En retard, elle a choisi le parking plus petit mais plus proche de l'entrée de l'école pour conduire son fils avant la fermeture des portes.
Je ne suis pas trop en avance mais j'aime la regarder ; alors je me gare un peu à l'écart pour rester hors de sa vue et attendre son retour. Quand enfin je la vois s'avancer vers sa voiture, je prends le temps de la détailler. Elle devait vraiment être en retard car – et ce n'est pas son habitude – elle porte un pantalon de jogging, un tee-shirt sans forme et des petites tennis. Pas du tout dans son look normal : ça sent la panne de réveil et le « je saute dans le truc le plus pratique que je trouve ». Elle a juste attaché ses cheveux en un chignon informe sur le dessus de sa tête, tenu par un crayon. Non, décidément, ce n'est pas elle.
Elle m'a aperçu et me fait, comme à son habitude, un petit signe et un léger sourire ; puis, se ravisant, elle s'avance vers moi et frappe à la vitre de ma voiture.
— Bonjour, voisin. Je ne travaille pas aujourd'hui ; j'ai le temps. Ça vous dit, un café ? Pour faire connaissance.
Comme dans mon rêve… terrible ! Je lui réponds par la positive et m'empresse d'annuler deux de mes rendez-vous du matin – on ne sait jamais, si mon fantasme se concrétisait – et je la suis jusqu'à son domicile, garant ma voiture dans ma cour. Je la rejoins devant sa porte et m'engouffre derrière elle, comme si j'étais chez moi.
Je jette un coup d'œil circulaire et découvre une déco complètement différente de ce que j'avais rêvé : son salon est encombré de vieux meubles très massifs en bois sombre, une table avec un épais plateau encadrée de deux bancs tout aussi massifs trône au milieu de la salle à manger ; une grande armoire, un canapé en cuir marron tout aussi encombrant et un coffre complètent le décor de la pièce. Je prends la parole :
— On n'a pas eu le temps de se présenter depuis ces quelques semaines que vous êtes installés.
— Oui, c'est vrai ; je suis un peu timide et mon mari un peu… ours, alors on fait rarement le premier pas. Et puis mon mari est souvent loin de la maison, et nous avons peu d'amis dans le coin. Stéphanie ! me dit-elle en me tendant la main.
— Marc. Merci donc d'avoir fait le premier pas.
— Oui. Café, thé ou autre chose ?
« J'ai envie d'autre chose, ma belle esseulée ; mais là, je vais me tenir et me contenter d'un café. »
— Un café sera très bien.
Elle me plante dans le salon, mon manteau sous le bras, et file dans sa cuisine ; j'ai la tête à l'envers : tout ou presque se passe comme dans mon rêve. Le décor et sa tenue exceptés, les dialogues sont exactement les mêmes. Très troublant… Quand elle réapparaît, je sais que ce ne sera pas comme dans mon fantasme nocturne : elle est toujours habillée en apportant les deux tasses. Elle m'en tend une et s'assied en tailleur sur le canapé. Elle souffle dessus pour le refroidir et, tout en faisant de même, je la regarde. À ce moment-là je croise son regard : ses yeux sont mi-clos et je n'arrive pas à y lire quoi que ce soit. Nous devisons en bon voisins pendant presqu'une heure et nous racontons des anecdotes sur le voisinage, la commune et nos boulots respectifs.
Elle fini par me lâcher :
— J'ai vu votre regard depuis des jours ; j'ai deviné que je ne vous laissais pas indifférent. J'ai des envies que mon mari n'a plus, et je me suis dit que c'était l'occasion d'en profiter. Je vais prendre une douche ; vous me suivez ?
Encore une fois la scène est presque la même et les mots très proches de ceux de mon rêve.
Elle se lève, ma saisit par la main, m'incitant à venir avec elle dans la salle de bain. Je la suis volontiers, et au moment où nous pénétrons dans la pièce d'eau, je me colle contre son dos, passe mes bras de chaque côté d'elle et saisis un sein dans chacune de mes mains. J'appuie mon sexe bien réveillé mais prisonnier de mon jean contre ses fesses et je pose un baiser sur sa gorge qu'elle m'offre volontiers.
— Non, je ne cherche ni la tendresse, ni l'amour, ni la douceur ; j'ai tout cela avec mon mari. Non, je veux de sexe, de la baise et du sperme. J'adore le sperme.
— OK ; alors on va baiser, ma belle.
Elle se retourne et déboutonne ma chemise, défait ma ceinture et descend mon pantalon et mon boxer. Me voilà avec le jean sur les chevilles, la bite à la main, prêt à baiser ma voisine. Comme dans mon songe nocturne. Très étrange situation.
Je termine de me déshabiller, retirant à la hâte mon jean et mon tee-shirt ; mes chaussettes volent à l'autre bout de la salle de bain, et c'est nu comme au premier jour que je me colle à nouveau dans son dos, nu cette fois, puisqu'elle a fait comme moi et s'est débarrassée de sa tenue de sport.
Elle est, comme dans mon rêve, très bien faite, ses seins petits et ronds emplissent cependant ma main et sa peau très claire tranche sur la mienne plus bronzée. Ma queue est venue naturellement se nicher entre ses fesses et elle se cambre un peu à mon contact.
— Prends-moi sauvagement ; bouscule-moi, encule-moi, et viens dans ma bouche !
OK, elle a donné le programme. Mais moi j'ai deux ou trois choses que je souhaite faire avant de répondre à sa demande. Toujours en lui tenant les seins à pleines mains, je la pousse avec mon bassin dans la cabine de douche et lui dis :
— Fais couler l'eau.
Elle se laisse piloter et ouvre le robinet. Je vais faire tout ce dont elle a envie, mais avant je vais quand même profiter de cette magnifique blonde.
L'eau commence à couler sur sa peau ; elle a un premier frisson. Je me recule d'un pas, juste pour contempler cette magnifique femme sous le jet de douche et m'en mettre pleins les yeux. Je l'embrasse dans le cou et laisse doucement descendre mes lèvres sur ses épaules, léchant les ruisseaux d'eau qui dévalent sur son dos. Je suis le cours aléatoire des méandres de ces rivières tout au long de son dos pour arriver sur ses reins. À cet endroit, les ruissellements se rejoignent pour se glisser dans la vallée plus sombre de ses fesses. Pas une trace d'eau sur les deux globes rebondis de son cul.
Poursuivant ma visite lacustre, je fais glisser ma langue entre ses fesses. La caresse la fait se cambrer encore un peu plus, écartant naturellement les deux vallons et me laissant découvrir la rondelle sombre de son anus. Ma langue s'attarde un peu sur cette zone, essayant même d'y pénétrer et provoquant une vague de « Humm… » de la jolie voisine.
Je suis maintenant accroupi à ses pieds, mes mains lui écartant les fesses et ma langue caressant la pastille brune qui s'ouvre délicatement sous mes caresses. Je relâche une de ses fesses et avance ma main vers son sexe que je trouve bien sûr trempé. Il est mouillé par l'eau de la douche mais aussi par son propre désir, et le mélange des deux liquides sur mes doigts me surprend. J'avance un peu plus mon visage pour en recueillir sur le bout de ma langue. Ce faisant, mon nez se trouve à l'entrée de son anus ; je trouve cette position un peu comique.
Le goût de son sexe est doux et sucré, et j'adore le déguster. Je lape quelques instant ce doux nectar puis retourne titiller la pastille anale tout en enfilant deux doigts dans son vagin chaud et humide. Avec mon pouce qui masser son clitoris, mes doigts qui l'explorent et la pistonnent doucement et ma langue qui continue son ballet sur son deuxième orifice, elle ne met pas longtemps à se tortiller sous mes caresses et se laisse aller à une jouissance dans un long râle de plaisir.
— Humm, salaud, tu m'as fait jouir vite, mais je ne vais pas en rester là !
J'y compte bien, parce que mon mandrin est bien dressé et dur, prêt à payer de sa personne.
Encore les mêmes mots que dans mon rêve !
Je me redresse, la queue à la main, et me retrouve sous le jet brûlant de la douche. C'est elle qui s'accroupit maintenant et prend mon sexe entre ses lèvres.
Elle est maintenant à genoux à mes pieds et commence à me lécher doucement le gland. Elle tourne autour, explorant chaque centimètre de ma queue, puis d'un coup enfourne le tout et descend presque jusqu'au pubis pour remonter ensuite jusqu'au gland. La caresse est douce et extrêmement excitante. Je vois sa jolie tête blonde aller et venir sur ma bite et sa jolie bouche se déformer pour m'avaler presque entièrement. C'est délicieux.
Je ne reste pas sans rien faire, et d'une main j'appuie sur sa tête pour la forcer à enfoncer ma queue plus loin encore tandis que de l'autre je commence à caresser un sein que je trouve doux et bien ferme. J'en caresse le galbe, le soupèse, et mon pouce insiste sur l'aréole fine et rose. Je pince doucement le téton, lui prodiguant une sorte de masturbation pour en allonger la pointe.
Elle me regarde droit dans les yeux tout en m'aspirant fort au fond de sa gorge, son nez appuyé sur mon pubis, sa langue léchant mes couilles, avec l'air de dire « Viens, maintenant… » La caresse est si bonne que je me laisse aller d'un coup en long jets de sperme au fond de sa gorge, et elle avale ma semence sans lâcher mon regard. Je jouis avec force en lâchant un cri sourd tout en fermant les yeux pour apprécier encore plus la sensation.
Et c'est là que je me réveille et que je prends conscience que ce n'est encore qu'un fantasme… sur ma si jolie voisine.