Un compte à régler avec ma banquière
Doc772017Une nouvelle vie
À la fin de la semaine, je reçus un coup de fil de ma banquière :
— Allô, Monsieur Lorient…?
— Moi-même, Madame Mareuil.
— Bonjour. Je vous appelle pour notre rendez-vous. Est-ce que mercredi prochain vous conviendrait…?
— Mais tout à fait, Madame Mareuil ; ça tombe bien : je suis libre toute la journée.
— Vers 15 heures, ça vous irait…?
— Disons plutôt 14 heures ou 14 heures 30 : n'oubliez pas qu'il faut prévoir tout l'après-midi…
— Oui, euh… (un silence gêné) …d'accord, mais bon, euh… n'abusez pas quand même.
— Que de vous, ma chère Madame Mareuil. Et je tiens à ce qu'on y consacre le temps qu'il faut : j'ai horreur d'être pressé par le temps.
— …
— Et ne vous plaignez pas ; il me semble que vous y trouvez aussi votre compte… même si vous n'osez l'avouer.
Elle ne répondit pas.
— Ah, au fait : je vous recevrai dans ma nouvelle maison. Je vais vous donner l'adresse : c'est 16, rue du Vieux Moulin ; vous verrez, c'est une très grande maison moderne, toute blanche.
— Entendu, je note. OK pour 14 heures, Monsieur Lorient.
— À mercredi, Madame Mareuil. Au plaisir !
— À mercredi … Monsieur Lorient ?
— Oui ?
— Ne soyez pas cruel avec moi… Je vous en prie.
— Mais n'ayez crainte, Madame Mareuil, je ne suis ni un goujat ni un sadique. Et tant que vous continuez à être comme vous êtes avec moi lorsque nous sommes ensemble, je n'ai aucune raison d'être cruel.
— Entendu.
— Madame Mareuil ? C'est vraiment un plaisir de vous connaître. Et j'ai hâte de vous voir.
— Oui, euh… À mercredi.
Et elle raccrocha.
Le mercredi, à 14 heures pile, elle sonna chez moi. Quand je lui ouvris, je n'en crus pas mes yeux (et d'ailleurs elle vit ma surprise et baissa le regard) : elle était impeccablement coiffée (elle s'était fait faire une couleur qui la rendait plus jeune) et portait une jupe en cuir au-dessus du genou, des escarpins à hauts talons rutilants, des bas fumée (je sus rapidement que c'étaient des bas) et un chemisier léger à manches courtes, très vaporeux, laissant nus ses bras délicieux. Ses poignets étaient ornés d'élégants bracelets. Elle était finement maquillée, et brillait littéralement.
— Vous êtes vraiment très en beauté, Madame Mareuil ; je suis littéralement ébloui !
— Merci.
Elle rougit.
— Je suis flatté que vous ayez fait autant d'efforts pour moi. Sincèrement, vous êtes une autre femme. Vous êtes séduisante, et attirante. Entrez, je vous prie.
Elle, si discrète, entra en levant la tête sur cet espace immense et regarda de tous côtés. Elle semblait n'avoir jamais rien vu de semblable.
Ma maison est claire, avec des grands murs blancs, lumineux, et donne une impression de luxe, d'espace, mais aussi de moderne et d'inédit. J'étais satisfait de l'effet que mon intérieur produisait sur cette petite banquière de province, qui avait sans doute déjà vu des maisons de notables, peut-être vieillottes, peut-être tape-à-l'œil, mais certainement pas dans ce style.
— Oui, j'aime beaucoup cette maison que j'ai aménagée moi-même. J'ai l'ai acquise il y un mois et l'ai un peu transformée avec l'aide d'un architecte ; elle fait 450 mètres carrés. Venez, ma chère banquière, lui dis-je en lui prenant la main, je vais vous faire visiter.
Elle garda sa main dans la mienne et me suivit.
— Je peux vous appeler Nicole ?
— Oui, dit-elle, se permettant un petit sourire.
Elle était un peu raide, mais avoir sa main dans la mienne ainsi qu'entendre son prénom sembla la détendre un peu.
Je lui fis traverser les couloirs (qu'on pourrait appeler plus justement galeries, étant donné leur taille) où elle put admirer ma collection de statuettes d'art représentant pour la plupart des femmes aux formes plantureuses, mes tableaux (originaux) de Vettriano (dont certains sont très érotiques), un Edward Hopper (qui m'a coûté un bras), un Klimt, des photos de Jan Saudek, d'autres de J.R.M. et quelques repros de maîtres comme Mucha, Renoir.
Au début, elle regardait à peine, un peu intimidée, mais s'arrêta sur une statuette de Josepha, puis devant un Jack Vettriano : je lui expliquai qui ils étaient (quand on est dans la finance, on n'a pas toujours le temps de s'intéresser à l'art…). Elle ne réagit même pas quand je passai mon bras autour de sa taille. Lui montrant une femme sur un tableau de Vettriano, je lui dis :
— Ça vous irait très bien de longs gants écarlates comme ça. Vous avez tout ce qui faut pour être encore plus sexy.
Pour toute réponse elle ricana bêtement.
— Venez à la cuisine, je vais nous servir quelque chose de frais ; il fait chaud, vous devez avoir soif.
Elle ne refusa pas, et son corps toujours collé au mien, nous nous rendîmes dans la cuisine américaine. Là, elle écarquilla les yeux sur les dimensions de cette pièce. Je nous servis deux cocktails très frais à base de champagne et de citron. Je la félicitai sur la beauté de ses ongles longs et vernis, d'un beau rouge brillant, et ses jolies mains, soignées et finement manucurées.
— Prenez votre flûte, nous continuons la visite… le petit salon… le salon de réception… mon bureau… le grand salon… la salle à manger… un boudoir…
J'ouvris une porte capitonnée et la poussai légèrement, ma main sur ses reins.
— … L'antichambre.
La pièce, plus sombre, plus feutrée, est curieusement décorée sobrement et ne comporte que des sofas sans dossier, des bancs capitonnés, un porte-manteau et une armoire de rangement. Je lui ouvris la porte du fond en posant ma main sur son épaule et lui laissai entrevoir la pièce sur laquelle elle s'ouvre : une très grande pièce carrée, blanche et très lumineuse, assez nue ; très nue si ne s'y trouvaient un cheval d'arçon, une croix de Saint-André contre un mur, une table et des meubles bas capitonnés de cuir, sans compter un pilori en bois, très esthétique, et des chaînes descendant du plafond.
Contre un autre mur, un grand tableau où est accrochée toute ma collection de straps en cuir, de tawses écossaises, de ceintures, de martinets (en peau, en cuir, en caoutchouc), de chats à neufs queue, de verges souples de différentes longueurs, et j'en passe.
Elle jeta un coup d'œil ; je ne sais si elle eut le temps de tout apercevoir mais elle frissonna brusquement, eut un mouvement de recul, comme prise d'effroi.
— N'ayez pas peur, ma belle Nicole, lui dis-je en caressant sa joue, jusqu'à présent vous avez été très obéissante, bien docile, vous avez fait tout ce que je vous ai demandé ; vous ne m'avez pas donné de raison de vous punir sévèrement. Alors si vous continuez ainsi, il n'y a pas de raison pour que je vous renvoie chez vous recouverte de zébrures rouges bien visibles.
Mais j'aime bien jouer avec vous. Vous me donnez toujours beaucoup de plaisir.
Et sur ces paroles, ma main la prenant par la nuque, je l'attirai vers moi et la gratifiai d'un long baiser, profond et langoureux, auquel elle ne chercha pas à se soustraire. Je quittai sa bouche à regret, décollant lentement mes lèvres des siennes.
— Venez, allons dans mon bureau.
Dans mon bureau chaleureux et confortablement pourvu d'une banquette, je posai les deux flûtes sur un meuble et m'assis sur le cuir moelleux, la laissant debout devant moi.
— Allez, Madame Mareuil, j'aimerais que vous vous délestiez de cette seyante jupe en cuir.
Elle ne discuta pas et se retrouva en un instant en bas (autofixants), chaussures et culotte, et toujours avec son chemisier léger.
— Tournez-vous. Humm… vous m'avez gâté, ma chère banquière : ce joli shorty rouge en dentelle est des plus ravissants ! Et il vous va si bien… Vous avez vraiment de très belles fesses, et il les met encore plus en valeur : il les rehausse davantage, les couvre juste ce qu'il faut, pas trop, mais suffisamment pour faire femme, femme du monde, femme qui se respecte, et pas pute. En tout cas, on peut dire que vous avez mis le paquet ; chapeau !
La belle banquière se tenait droite et fière pour la première fois. Elle me regardait droit dans les yeux. Pour un peu on aurait dit qu'elle me défiait.
— Très bien. Et maintenant, rien que pour mes yeux, j'aimerais que vous m'offriez le plaisir de vous voir vous déculotter. Lentement, bien entendu.
Toujours en me regardant bien droit, elle saisit doucement les bords de son shorty et le descendit très doucement.
C'en était fini de la banquière vieux jeu, de la bourgeoise coincée qui baissait les yeux et rougissait de honte. Elle me faisait le grand jeu en répondant à mes injonctions, bien entendu, mais le faisait de bonne grâce ; on peut même dire : en se prenant au jeu.
J'eus l'immense plaisir de voir apparaître au-dessus du tissu de dentelle qu'elle descendait avec sensualité un adorable et ravissant mont de Vénus tout lisse, délicieusement obscène, impudique : la dame avait retenu mes consignes et s'était complètement épilé le sexe !
— Je vous félicite, Madame Mareuil. Je vois que vous n'avez pas oublié mes ordres. Mes leçons commencent à porter leurs fruits, on dirait… Qu'avez-vous répondu à votre mari quand il vous a vue ainsi ?
— Laissez mon mari où il est. Ça ne vous regarde pas !
Cette fois elle était rouge, mais c'était de colère, et pas de honte.
— Allons, n'abusez pas, Madame Mareuil ! Et faites attention : je n'admettrai aucune rébellion de votre part. N'oubliez pas que j'ai de quoi mater les rebelles, que ce soit de toutes jeunes filles comme des femmes mûres, fussent-elles des bourgeoises comme vous ; ce sont d'ailleurs celles que j'ai le plus de plaisir à dresser, entre nous soit dit.
— Mon mari ne m'a pas encore vue : je me suis rasée ce matin.
— Et que lui direz-vous quand il le verra ?
— Je lui dirai que j'ai décidé d'essayer, puisque c'est la mode. Et tant pis s'il est choqué.
Et elle ajouta, presque pour elle-même, en baissant les yeux :
— De toute façon, il ne me touche quasiment plus.
Je ne pus me retenir de sourire, content d'avoir entendu cette confession. Elle commençait à me livrer certaines clés.
— Allez, tournez-vous encore. Hum, magnifique ! Vous savez que vous êtes très belle, le cul à l'air ? Si vous étiez à moi, vous ne seriez autorisée qu'à être ainsi sous notre toit.
Je me levai, lui pris la main et l'emmenai vers l'antichambre. À l'approche de la porte du fond, elle ne put réprimer un frisson, un mouvement de répulsion.
— Je vous en prie… gémit-elle, avec une voix qui respirait la peur.
— Faites-moi confiance. Laissez-vous guider. Croyez-vous que j'ai l'intention de vous faire souffrir ?
— Non… enfin, je…
Je mis fin à sa protestation en lui fermant sa bouche avec la mienne et en la pénétrant de ma langue tandis que ma main sur sa nuque la gardait appuyée contre moi : elle ne chercha pas à se soustraire ; et même, pour la première fois et à ma grande surprise, elle me rendit mon baiser.
— Quittez votre chemisier et votre soutien-gorge ici. Vous n'en aurez pas besoin, lui intimai-je quand j'eus fini de l'embrasser.
Elle ôta le chemisier de soie, faisant apparaître sa poitrine à demi-découverte dans un ravissant soutien-gorge, assorti au shorty abandonné un peu plus loin. Je ne pus m'empêcher d'abaisser légèrement le bord supérieur des balconnets pour découvrir les adorables mamelons qui ne demandaient qu'à être croqués.
Elle le dégrafa et le jeta sur la banquette avec le reste.
Je l'entraînai dans la grande salle blanche.
— Bienvenue dans la salle des plaisirs ! Vous aviez sans doute une autre idée d'une pièce où l'on use des plaisirs de la chair ; mais vous verrez, ici va commencer votre éveil : vous allez découvrir des choses et des plaisirs que vous n'imaginiez pas. Regardez ceci : c'est un cheval d'arçon. Vous savez comment on s'en sert ?
— Non.
— Eh bien montez dessus à califourchon et penchez-vous en avant ; couchez-vous dessus à plat-ventre. Vous remarquerez que sans hauts talons il est difficile d'y monter, et également de s'y maintenir.
— En effet, dit-elle en l'escaladant maladroitement et non sans difficultés.
— C'est pourquoi il est pourvu de sangles pour attacher chevilles et poignets.
— Oh…
— Allez, ne faites pas l'enfant. Tendez vos mains que je les attache, ainsi que les chevilles, dis-je en joignant le geste à la parole.
Je passai dans les bracelets de cuir ses fines chevilles et ses jolis poignets.
— Avez-vous remarqué comme ce cheval d'arçon est court ?
— Oui, en effet.
— Ce n'est pas sans rapport avec le fait qu'on peut voir ainsi vos jolis seins tomber librement à la verticale, et qu'ils sont désormais disponibles pour toutes sortes de jeux.
— Ooooh…
— Eh oui. On peut dire que vous êtes vraiment bandante et désirable ainsi, offerte à mon plaisir. Si soumise, si vulnérable…
Là-dessus je sortis ma queue qui était raide depuis un bon moment et, la présentant à sa bouche, je la lui enfilai entre les lèvres ; elle l'engloutit. Tout en attrapant ses seins, je me mis à la besogner ainsi, dans de grands bruits de succion. On peut dire qu'elle faisait ça bien, la salope ! Elle avait appris, était devenue une vraie experte.
Je pris ses mamelons qui avaient durci et qui pointaient de façon tout à fait énervante, et je me mis à les étirer de plus en plus fort. Elle laissa échapper des gémissements croissants, puis des cris étouffés.
Je lâchai les pointes et me mis à la traire avec entrain.
Je quittai sa bouche et fis le tour de la monture. Je me retrouvai devant un cul offert, des plus beaux, des plus excitants. Je me mis à couvrir de caresses les beaux hémisphères épanouis et étalés, les écartant légèrement, mes mains s'égarant dans le sillon, effleurant la petite crevasse.
— Quel beau cul de salope. Si offert, si disponible… si bandant !
Mes doigts caressèrent le haut de ses cuisses, à la lisière des bas, effleurant ses lèvres bien ourlées et les pétales roses où commençaient à perler des gouttes se sève, et qui m'émurent, il faut bien avouer ! J'allai au tableau et revins avec un martinet en cuir souple. Je commençai à lui envoyer quelques cinglées à la force bien mesurée, à un rythme lent et régulier, visant le sommet de ses fesses. Elle poussa un cri désespéré à chaque coup, sans néanmoins me supplier d'arrêter.
J'interrompais régulièrement la fouettée et caressais avec passion les fesses, la nuque, pelotant les seins pendants, passant mes doigts sur la vulve qui commençait à être bien glissante ; je m'y attardais de plus en plus entre les salves de coups de lanières, la caressant diaboliquement, écoutant ses soupirs.
Enfin je la détachai et la fis descendre en la prenant par la main. Ses yeux étaient troubles et brillants. Je lui demandai de monter sur un meuble bas capitonné et de s'y allonger sur le dos. Je lui passai des bracelets de cuir et attachai ensemble poignets et chevilles. Elle ressemblait aux veaux maîtrisés après certains rodéos. Je la gratifiais toujours de caresses entre chaque opération, la flattant et l'encourageant tendrement pour sa docilité.
J'amenai la chaîne qui pendait du portique et la verrouillai sur l'extrémité de ses quatre membres. Avec ma commande, je commençai à remonter la chaîne par paliers ; ses membres se tendirent de plus en plus vers le haut. À chaque nouvelle tension, elle poussait des petits cris effrayés.
Elle finit bien entendu par se retrouver suspendue dans le vide, et n'en menait pas large.
— Ne vous inquiétez pas, Madame Mareuil : cette chaîne, ainsi que la potence et vos bracelets de cuir sont très solides ; il ne vous arrivera rien.
Je fis déplacer la chaîne latéralement, et cette fois elle se retrouva non seulement dans le vide, mais sans la table en cuir en dessous d'elle.
— Voilà comment j'aime vous avoir, ma chère banquière. Toute à moi et bien offerte, les trois orifices disponibles.
Je lui pris le cou, juste en dessous du menton, lui penchai la tête en arrière et lui fis engloutir ma queue raide par la bouche. La prenant par les bras, je la fis aller et venir, lui baisant lentement la bouche. Puis, bien évidemment, je la fis tourner de 180°. J'allai cherchai du gel et un plug de petite taille, lui enduisis sa rosette, la caressai, la massai lentement, insistant de plus en plus en appuyant dessus jusqu'à ce qu'elle devienne bien souple, puis j'introduisis lentement le plug, travaillant d'abord l'étroit orifice avec des va-et-vient courts ; sa rosette s'assouplit et accepta sans difficulté l'extrémité que j'enfonçai progressivement et de plus en plus loin en elle, jusqu'à finalement la partie la plus large qu'elle reçut sans protester, sans un cri. Le plug se ficha au niveau de sa partie rétrécie, disparaissant dans son anus arrondi.
J'enfilai une capote puis, saisissant ma belle banquière par la taille, je mis à caresser avec ma queue sa fente rose et bien luisante du haut en bas, massant l'intérieur de sa vulve qui avait pris une teinte corail bien évocatrice. Tout doucement, je l'enfilai avec un soupir de contentement, glissant en elle jusqu'à la garde, et je me mis à la besogner à un rythme croissant, la faisant osciller au bout de sa chaîne comme un pendule, martelant bien le fond de sa chatte, ébranlant tout son utérus, et d'autant mieux que cette position permettait une pénétration des plus profondes.
Petit à petit elle se mit à gémir, et rapidement je la vis fermer les yeux, se mettre à haleter, pour finalement se mettre à crier son plaisir que je sentais monter comme une déferlante. Je la saisis par les seins, les pressant et m'en servant comme des poignées. Elle ne se retenait plus ; la pièce toute entière était emplie de ses cris de plaisir, de jouissance non contenue. Elle s'abandonnait à son plaisir.
Je sortis d'elle pour ne pas jouir déjà et lui caressai le visage, la bouche, les seins.
— Eh bien, Madame Mareuil, on dirait que vous avez pris votre pied ! On dirait que vous aimez ça, être soumise.
Elle me regarda, les yeux pleins de lassitude, mais ne répondit pas.
— Ça ne vous plaît pas d'être à moi ? Vous n'aimez pas le plaisir que je vous donne ?
Pas de réponse.
Je pris entre pouce et index un de ses mamelons biens dressés, le pressai fortement et l'étirai. Elle cria violemment. Je ne relâchai pas la pression.
— Je n'aime pas cette forme de résistance passive, qui est une forme de rébellion. N'oubliez pas ce que je vous ai dit à propos de la rébellion.
— Aïe, aïe… ! Oui !
— Oui, quoi ?
— Oui, j'aime !
— J'aime quoi ?
— Aïe ! J'aime le plaisir que vous me donnez ! J'aime être à vous !
— À la bonne heure ! On devient une bonne fille…
Je sortis d'elle, reculai d'un pas et m'amusai à la faire osciller d'arrière en avant : chaque fois qu'elle revenait sur moi elle s'empalait la chatte bien ouverte ; désormais elle écarquillait les yeux et poussait des gémissements courts mais sonores. Je répétai ce petit jeu une bonne dizaine de fois, puis je la saisis par les cuisses et, la maintenant contre moi, je me mis à la baiser profondément et en cadence. À nouveau elle se mit à crier son plaisir sans retenue.
— Ah, voilà qui est bien, Madame Mareuil ! J'aime vous voir jouir comme une salope.
Je détachai ses chevilles et lui laissai délicatement reposer les pieds sur le sol. Je pris la commande et hissai lentement la chaîne qui la retenait encore par les poignets : elle se retrouva bientôt sur la pointe de ses escarpins, bras tendus au maximum. Immédiatement, je me collai à elle, ma queue raide dans la raie de ses fesses, lui pris les seins, posant mon menton sur son cou, la bouche tout près de son oreille et lui murmurai vicieusement :
— Alors ? On est toujours pressée de rentrer chez soi ? De retrouver son mari ? Ou bien de revenir au bureau finir son boulot de petite banquière besogneuse et étriquée ?
— Non. Je ne suis pas pressée… Donnez-moi encore du plaisir.
— Oh, mais je vois qu'on se libère, Madame ma banquière ! Est-ce qu'on aurait pris goût à la soumission ? Est-ce qu'on apprécierait de jouer à être mon objet sexuel ?
— Oui… j'apprécie…
— Comme j'aime entendre ça dans votre bouche, Madame Mareuil ; quel plaisir vous me faites ! Et je suis sûr que vous me direz bien des choses encore, intelligibles ou non, d'ailleurs…
Là-dessus je me mis à lui masser vicieusement la tirelire bien ouverte et toute trempée tandis que de l'autre je lui travaillais les mamelons à l'extrême. Elle se pâmait, se laissait aller contre moi, son ventre venant à la rencontre de mes doigts ; j'avais introduit deux doigts dans sa chatte et elle fléchissait ses jambes autant qu'elle le pouvait pour les faire y pénétrer encore plus profondément. Je lui mordillais l'oreille, mordais son cou, son épaule, lui murmurant des propos salaces et dégradants :
— Va, ma belle salope, prends ton pied. Allez, ma banquière-putain. Tu aimes, hein ? T'en prends plein la chatte, tu aimes que je te fouille comme une catin ?
Sa réponse n'était que soupirs, gémissements, plaintes, petits cris étouffés. On aurait dit une vraie chienne en chaleur.
Je finis par détacher ses poignets et lui ordonnai de se mettre à quatre pattes :
— Comme une chienne, allez ! Cambre ta croupe, creuse tes reins, tends et offre ton cul au maximum ! Mieux que ça !
J'allai dans l'armoire quérir un harnais complexe de cuir et de métal. J'enjambai ma belle chienne et, me mettant à cheval, debout sur sa taille, je l'harnachai. Les anneaux de fer enserraient désormais ses seins, une lanière passait sur ses reins, une autre sur sa vulve et entre ses fesses. Je lui passai un collier de cuir relié à une laisse.
— Parfait. Vous voilà domptée et harnachée comme une vraie petite pouliche ! Voilà comme j'aime vous voir. Voilà comme j'aime voir les bourgeoises de province de votre espèce. Nous allons faire un petit tour dans la maison pour vous apprendre à marcher en laisse.
Sans protester, elle me suivit à quatre pattes, et je lui fis faire le tour des pièces, joyeusement.
Arrivés dans mon immense salon, je lui ordonnai :
— À genoux ! Vous allez me sucer !
Immédiatement, parfaitement soumise, elle s'exécuta et avec zèle me fit une fellation des plus perverses, des plus vicieuses, tout en levant régulièrement ses yeux vers moi comme pour attendre des compliments, des encouragements ; ou bien était-ce pour guetter sur moi la montée du plaisir ? Mais, sachant me maîtriser, je la fixais bien droit, fermant à demi les yeux de temps à autre pour lui montrer que j'appréciais, en lui caressant la tête avec tendresse.
Je mis fin à la gâterie et la tirai par la laisse jusqu'à un pouf rond en cuir de vachette.
— À plat-ventre sur le pouf, salope ; je vais t'enculer comme une vraie chienne ! J'ai cru comprendre la première fois que tu aimais vraiment ça…
Elle s'installa, plaçant – sans que j'aie eu besoin de le lui demander – son cul le plus haut possible, bien en vue, bien accessible. Je retirai le plug qui la dilata un peu plus en sortant et, m'accroupissant, je fis pénétrer lentement mais sûrement et jusqu'à la garde mon vit raide et dur comme du bois. Elle poussa un long « Aaaahhhh… » qui était plus de plaisir que de surprise puis, la tenant par la taille, je la gratifiai de longs coups de reins souples, butant tout au fond de ses entrailles, claquant mon pubis contre son cul de salope mûre.
Je constatai avec satisfaction que son canal anal était brûlant, souple et lisse, bien travaillé par le plug qui avait eu le temps de remplir son rôle.
— Eh bien, ma petite Nicole, je dois vous dire que vous êtes vraiment bonne par le cul ; c'est vraiment un plaisir de vous sodomiser ! — Oh ouiii…
— Mais je me demande si je vais encore vous laisser jouir. Je me demande si vous le méritez…
Là-dessus, j'arrêtai mon mouvement, prêt à me retirer.
— Oh non, je vous en supplie, continuez ! Faites-moi venir ; vous ne pouvez pas me faire ça, vous ne pouvez pas me laisser comme ça…!
— À vrai dire, je commence à avoir un peu mal à la queue. Un peu trop baisé ces derniers jours, moi… dis-je d'un air blasé.
Et là-dessus je me levai pour aller m'étendre sur le dos, sur la banquette juste à côté, l'abandonnant là. Elle se leva, comprenant que je cherchais à l'asticoter, et vint vers moi, échevelée, les joues écarlates ; elle ressemblait à une furie, proche de la transe, tout son corps agité comme un pantin envoûté.
— Je vous en prie, faites-moi jouir, j'en veux, je veux jouir !
Je souris, l'air un peu moqueur. Elle le vit, et s'enhardissant comme jamais, elle vint comme une folle se placer à cheval au-dessus de ma tête.
— Oh, bouffez-moi la chatte, je vous en conjure !
— Eh bien, on se libère, on dirait, ma petite banquière…
Ne la faisant pas languir plus avant, je posai mes mains sur sa croupe, sur ses fesses majestueuses et attirai à moi cette chatte corail que le désir avait rendue rouge vif, et bien luisante. Je collai ma bouche sur cette belle vulve si bien offerte – on ne refuse pas pareille offrande – et ventousant cette bouche intime si enivrante, mes lèvres et ma langue dévorèrent toute cette fleur de satin, brûlante et trempée. Elle se frotta comme une damnée, avec des mouvements d'arrière en avant, hululant comme une folle, se massant les seins, criant, jurant, sans aucune retenue.
Quand elle eut déchargé quatre ou cinq fois, je la repoussai gentiment mais fermement et lui intimai :
— Maintenant, c'est vous qui allez vous enculer. Je vais m'asseoir sur ce pouf, et je compte bien vous voir vous empaler votre petit trou sur ma queue.
Elle ne se fit pas prier, et dès que je fus assis elle prit ma queue dans sa main fine et délicate et, se contorsionnant, elle la dirigea vers son petit œillet encore entrouvert ; lentement, elle s'empala, mon vit s'enfonçant et disparaissant dans les profondeurs de son cul douillet.
— Dites que vous aimez ça, vous faire enculer !
— Oh oui, j'aime ! C'est bon, je vous sens bien, je vous sens si fort…
— Vous aimez vous en prendre plein le cul, hein, ma chère banquière !
— Oh ouiiiiii, j'aiiiiiime !
— Vous ne regrettez pas, hein, que je vous aie initiée à la sodomie.
— Oh non… Merci. Ah, merci ! Enculez-moi, prenez-moi fort !
— Comme ça ?
En disant cela, je la pris par la taille fortement et la tirai sur moi, la faisant s'enfoncer plus fort.
— Oh oui, défoncez-moi, baisez-moi à fond !
— Petite salope de banquière, je vais te défoncer le cul, je vais te péter la rondelle, je vais t'enculer tellement fort que les yeux vont te sortir de la tête !
— Oui, oui, ouiiiiii…
— Je t'encule, petite pute ! Je t'en mets plein ton cul, ma salope !
Je rugis également comme un dément, jouissant tout au fond de ses entrailles, collé à elle tandis qu'elle s'était révulsée contre moi et que je lui mordais le cou ; je lui pinçai à mort le bout des nichons et elle poussa comme un long cri d'agonie :
— Oh oui, oui, oui, aaaaaahhhhh !
Je restai longtemps emboîté dans son étroite rosette, en haletant tous les deux, et c'est au bout d'un bon quart d'heure que nous arrivâmes à nous lever. La prenant par la main, je l'emmenai à la salle d'eau où elle prit un bain parfumé dans ma baignoire de 12 mètres carrés tandis que je me douchais.
Quand elle sortit du bain au bout de trois quarts d'heure, je lui tendis un peignoir moelleux ; elle était souriante et gracieuse, elle semblait détendue, aux anges.
Nous prîmes une collation dans ma cuisine. Elle me parla comme jamais, de tout, de rien. Elle respirait le bonheur, elle était une autre femme.
Une heure après, elle était sur le seuil de la porte, s'apprêtant à partir.
— Oh, les papiers, au fait ! Nous avons oublié, dis-je.
— Ce n'est pas grave ; je vais les préparer. Et je reviendrai la semaine prochaine, lança-t-elle avec un délicieux sourire ; il faudra bien y consacrer l'après-midi… comme aujourd'hui ! dit-elle en esquissant un clin d'œil avant de s'éclipser.
Quelques mois après elle m'apprit qu'elle était en train de quitter son mari. Elle m'a demandé si je voulais l'embaucher comme conseillère fiscale et pour gérer mon patrimoine financier ; j'ai bien compris qu'elle souhaite que nos futures séances de travail se déroulent dans une ambiance sexuelle et très SM…
Je suis en train d'étudier sérieusement sa proposition : je crois que je vais dire oui.