Comment former une jeune secrétaire stupide
Doc772017Elle y a pris goût (l'initiation)
Ma secrétaire habituelle, Ingrid, était revenue de son congé maternité et le cours habituel des choses avait repris comme avant.
Quelle ne fut pas notre surprise – 3 ou 4 mois environ après – de voir Julie pointer son nez un bel après-midi, en fin de consultation. Elle discuta un petit moment avec Ingrid (qui s'était arraché les cheveux à tenter de la former au début du contrat de remplacement) ; enfin, « discuter » est un bien grand mot car, comme à son habitude, elle n'était ni très loquace ni très expansive. Les quelques mots échangés n'allaient pas très loin et Ingrid – qui n'avait en général pas beaucoup de patience – sembla vite excédée et, comme la journée était terminée, sans autre forme de procès remballa ses affaires et partit.
À mon étonnement quand même (avec tout ce que je lui avais fait subir, même si elle l'avait mérité) Julie vint me voir dans mon bureau et me dit bonjour. Sachant que sa conversation serait vite asséchée, je me montrai aimable et chaleureux. Je m'approchai d'elle avec un grand sourire (dû à la satisfaction de savoir que je n'avais plus à travailler avec elle).
— Alors, Julie, comment ça va ?
— Ça va…
— Qu'est-ce que vous faites en ce moment ? Vous travaillez ?
— Ben non. J'ai fait des demandes. Mais j'ai pas de travail…
« Tu m'étonnes… » pensai-je, un peu cruel.
— Bon. Et vous avez été sage ?
— Euh… oui…
— C'est sûr, ça ?
— … Oui…
— Pas fait de bêtises ? Même chez vous ?
— Euh, non…
— Donc, vous n'avez pas mérité de punition ?
— …
— Dites-le-moi franchement. Vous devriez peut-être me confesser vos fautes : les punitions que je vous ai infligées vous ont fait le plus grand bien quand vous travailliez avec moi. C'est grâce à elles que vous avez progressé… Vous ne trouvez pas ?
— Ben si…
— Et puis si vous êtes revenue me voir aujourd'hui, ça n'est peut-être pas pour rien, non ?
Elle commençait à regarder ses pieds, à éviter mes yeux.
— Vous avez envie de progresser, d'apprendre encore ?
Il fallait vraiment lui tirer les vers du nez.
— … Oui…
— Avouez que mes punitions vous manquent. Que vous avez envie d'en recevoir !
Elle baissa la tête complètement, l'air tout à fait honteux. Un long silence s'ensuivit, puis elle prononça d'une voix presque inaudible :
— Oui.
— Comment ? Je n'ai pas entendu.
— Oui !
— Oui quoi ?
— …
Vraiment, cela avait du mal à sortir de sa bouche. Il fallait l'aider.
— Si c'est ce que vous pensez et que vous souhaitez, mettez-vous tout de suite à genoux et déculottez-vous !
Lentement elle s'agenouilla devant moi, tête basse, piteuse, soumise mais troublée. Mais elle s'arrêta comme paralysée, n'osant pas aller plus loin. Comme s'il lui fallait entendre une de mes directives donnée de ma voix ferme pour effectuer chaque geste, chaque action, mue par le besoin d'être guidée.
— Allez, déboutonnez votre jean maintenant ! Et baissez-le en même temps que votre petite culotte jusqu'en bas des cuisses !
Lentement, avec des mouvements gauches et malhabiles comme à son habitude, elle s'exécuta. Son joli pubis renflé et ses cuisses blanches apparurent.
— Maintenant, je veux vous entendre me dire clairement et distinctement que vous êtes une vilaine fille et que vous méritez d'être punie.
— …
— J'attends !
— Je suis une vilaine fille. Je mérite d'être punie.
— Je mérite d'être fessée et je vous demande humblement d'avoir la bonté de m'administrer cette punition.
— … Euh… je mérite d'être fessée et je vous demande humblement d'avoir la bonté de m'administrer cette punition…
— Plus fort ! Je n'ai rien entendu !
— Je mérite d'être fessée et je vous demande humblement d'avoir la bonté de m'appliquer cette punition !
— Voilà qui est bien. Levez-vous et retirez complètement votre pantalon et votre slip.
Elle s'exécuta, agissant désormais sans temps d'arrêt, comme une automate.
— Maintenant montez sur la table d'examen et allongez-vous sur le dos.
Elle obéit.
— Descendez le plus possible vers le bas de la table. Oui, encore. Allez. Oui, les jambes dans le vide, ça n'est pas grave.
Je lui saisis les chevilles et lui relevai les jambes très haut, à la verticale et même plus. De la main gauche je lui maintenais les jambes droites, inclinées vers elle, exposant ses fesses et ses cuisses, la peau bien tendue ; ainsi elle me dévoilait en toute impudeur sa chatte bien fendue, les lèvres bien renflées de sa vulve, et même, plus bas, un tendre petit œillet sombre et tout plissé.
Ma main droite caressa lentement ses cuisses bien blanches, en descendant du pli du genou jusqu'à ses fesses renflées et fermes. Instantanément elle frissonna, sa peau se hérissa. Elle savait ce qui l'attendait ; mais elle l'avait voulu. Aujourd'hui elle le désirait – sans le clamer, d'accord – car elle était venue le chercher d'elle-même. Personne ne le lui avait demandé ni même ne l'avait obligée : elle était venue parce qu'elle en avait envie. Elle y avait pris goût malgré ses cris et ses pleurs, malgré ses (faibles) récriminations : maintenant elle aimait ça !
Lentement je me mis à fesser sa croupe d'une main ferme, en faisant bien claquer la chair tendre et élastique afin d'obtenir une belle musique : des CLAC ! CLAC ! emplissaient – en résonant – toute la pièce, et un doux rosissement apparaissait sur la peau blanche.
Julie me regardait faire avec un air anxieux, les lèvres serrées, sans faire entendre un seul son.
Puis je me mis à claquer plus sèchement et plus fortement – en alternant bien les zones traitées – son fessier et ses cuisses tandis que j'accentuais mon emprise de mon autre main en serrant davantage ses fines chevilles. Elle ne criait toujours pas mais se mit à haleter. Toute sa tendre chair prit petit à petit une teinte framboise et une nette chaleur.
Mais j'avais envie de sa participation active à sa soumission. Aussi je lui dis :
— Vous allez tenir vous-même vos jambes, Julie, en passant vos mains derrière vos genoux. Oui, comme ça. Et tirez vos jambes bien vers vous. Oui, allez ! Encore plus : vos genoux doivent pratiquement toucher vos épaules. Voilà, c'est bien. Et écartez-moi un peu ces cuisses !
Ainsi, je pus continuer à me livrer au ballet claqueur, en visant l'intérieur des cuisses, là où la peau est si fine, si soyeuse. Elle commença à pousser des petits cris brefs. Je visai l'intérieur des fesses, au plus près de la vulve et de l'anus. Son sillon vulvaire commençait à être brillant de rosée : c'était vraiment ce qu'elle aimait !
Doucement d'abord, puis de plus en plus fort, je ne pus résister à l'envie de châtier son pubis rebondi et me mis accabler son mont de Vénus renflé de petites claques bien sèches. L'effet fut assez immédiat : sa jeune chatte devenait luisante de mouille.
Soudain j'arrêtai tout. Je vis dans ses yeux comme un immense désarroi, mais qui fut de courte durée.
— Descendez de la table, Julie, vite !
Elle s'exécuta avec une rapidité qui me surprit. Elle devenait très obéissante ; allait-elle devenir vive ?
— Enlevez le haut. Et vite ! Je veux vous voir complètement à poil. Je veux voir vos jolis petits seins !
Elle baissa les yeux, rouge jusqu'aux oreilles, et déboutonna son chemisier.
— Et on se met à genoux pour ça ! Exécution ! Fissa !
Elle obéit instantanément, mue par le désir de la soumission qui montait en elle, puissant comme une drogue.
Elle apprenait vite, et apprenait plus vite les choses du sexe que le boulot de secrétaire. Question de motivation. Ah, ces jeunes : il n'y a personne quand il s'agit de bosser, mais quand il faut prendre du bon temps, se vautrer dans l'oisiveté et savourer les plaisirs, toujours les premiers !
En un clin d'œil elle fut entièrement nue, à genoux. Ses yeux levés vers moi, elle attendait mes instructions, je dirais presque « avec impatience ». Je m'avançai tout près d'elle, jusqu'à avoir son nez presque collé à mon pubis. La position était gênante et je fis exprès d'y rester. Je pris son menton que je levai vers moi et lui dis :
— Tu es une bonne fille, Julie. Est-ce que tu as envie de devenir ma petite salope ? Tu as envie que je t'initie au plaisir, que je fasse de toi ma petite pute docile ?
— … Oui…
Ses yeux étaient troubles, sa voix plus faible et plus soumise que jamais…
— Alors c'est parfait.
J'ouvris mon pantalon, me débraguettai, et joignant la parole au geste :
— Je suppose que tu n'as jamais sucé un homme, Julie…?
— Non…
— Il faut bien commencer un jour. Et ce jour est arrivé. Tu vas apprendre. Vas-y, montre-moi comment tu penses qu'il faut faire. Je te corrigerai ensuite. Suis ton intuition, n'aie pas peur. Pense que tu veux faire plaisir à ton maître…
Rouge écarlate jusqu'aux oreilles, elle ne se fit pas prier et prit en bouche tout le morceau qui se mit à gonfler davantage et à se dresser tout dur dans sa petite bouche, au contact doux et humide des muqueuses de ma petite ingénue.
— Hé, mais tu ne t'y prends pas mal du tout ! C'est bon, on dirait que tu l'as déjà fait… ou en tout cas que tu en avais envie, et que tu as envie de donner du plaisir à ton maître.
Elle sourit de satisfaction, et avec de plus en plus d'assurance fit des allers et retour sur toute la hampe. Je pris sa tête à deux mains, l'attirai vers mon bas-ventre et l'agitai en un rythme accéléré ; je poussais des grognements de plaisir… Je me penchai, caressai sa nuque, son dos ; mes mains attrapèrent ses petits seins ronds que je me mis à malaxer. Les tétons dardèrent aussitôt, trahissant son excitation, devenant tout durs et tout dressés : je me mis à les faire rouler entre mes doigts, sans ménagement, allant presque jusqu'à les pincer. Elle gémit, douleur et plaisir mêlés, la bouche pleine, sans interrompre sa besogne.
— Debout maintenant ! Vite !
Sans discuter, elle se releva.
— Tourne-toi et pose tes deux mains à plat sur la table. Et penche-toi légèrement en avant… Oui, comme ça. Et cambre-toi. Je veux ta croupe bien tendue vers moi.
Elle suivait toutes mes directives en élève bien obéissante. Elle était rouge, et je sentais son excitation à travers son souffle court. Là-dessus, je me mis à la fesser d'une main leste. Je distribuai à ses jolies fesses des claques vives et sèches, de plus en plus fortes, couvrant tout son fessier. Ma main gauche se mit à jouer avec ses seins : je les pelotai, les malaxai, jouissant de leur délicieuse fermeté, passant de l'un à l'autre avec avidité.
Le rythme des claques ralentissait mais elles devenaient de plus en plus intenses, lui arrachant à chaque fois un cri dont l'intensité allait crescendo. Mais pas une plainte, pas une supplication, pas même une larme. Elle s'endurcissait, la petite garce ; et aussi elle savait déjà que j'aimais varier les plaisirs et que je ne faisais pas durer chaque épisode avant de passer à un autre.
Les doigts de ma main gauche avaient saisi une pointe bien dure que je me mis à rouler entre pouce, index et majeur, la frottant fortement, la pinçant, la tiraillant ; elle se mit à pousser comme des râles, des gémissements, la bouche ouverte, les yeux écarquillés de douleur :
— Aaaaah… aaaah… aaaah…
— Tu aimes ça, ma petite salope ?
— Heummm… oui…
— C'est bien. Tu es une bonne soumise. Une vraie petite garce.
— Maintenant, tu vas te remettre sur cette table, allongée sur le dos comme tu l'étais tout à l'heure, en position genu-pectorale.
Avec un peu de lenteur – qui n'était plus maintenant exempte de sensualité – elle monta l'escabeau trois-marches et reprit la position d'elle-même.
— Descends vers le bas de la table et écarte un peu plus tes cuisses. Allez, encore. Que tu aies les reins tout au bord. Vas-y. Le spectacle que tu m'as offert m'a plu ; j'y ai pris goût.
Elle m'offrit en effet le plus beau des panoramas : un fessier et des hanches de jeune fille bien déployés, avec au centre son frais et tendre abricot bien joufflu surmonté du petit mont renflé, et en dessous la petite étoile toute plissée et toute arrondie.
Je recommençai à la claquer partout, et ce fut comme le vent chaud et brûlant du désert qui s'abattit sur ses belles chairs fermes. J'insistai plus particulièrement sur ses jeunes cuisses bien galbées pour qu'elles soient de la même jolie teinte que la croupe que j'avais châtiée à la verticale. Tout son corps était agité de soubresauts nerveux, et elle soufflait à travers ses lèvres pincées des « Ffff… ffff… ffff… » comme s'il s'agissait d'une séance de gymnastique.
Enfin j'arrêtai de la fesser et je caressai en effleurant à peine la peau rouge vif qui devenait blanche sous la pression des doigts (effet qu'on appelle en jargon médical « s'effacer à la vitro-pression »). Je lui enjoignis de garder la position et je pris dans le meuble médical un pot de gel qu'on utilise pour les échographies. Je lui en enduisis le bas des cuisses, la croupe, tout le périnée, et je me mis à lui masser sensuellement toute cette zone avec mes doigts qui glissaient doucement sur sa peau. Elle ferma presque les yeux de plaisir.
J'insistai particulièrement sur les lèvres du sexe et sur le sillon vulvaire (elle gémit doucement, ne se retenant plus) puis caressai vicieusement tout le tour du joli petit cratère que formait l'anus avec des cercles concentriques, m'en approchant progressivement. Je caressai en l'effleurant le doux petit œillet et remis une dose de gel. Près du matériel d'échographie je pris et déballai un préservatif qui servait pour coiffer les sondes endo-vaginales. Elle me regarda faire, les yeux grands ouverts et brillants, sans rien oser demander. Elle ne protesta pas plus quand elle me vit enfiler le préservatif sur mon membre raide. J'approchai et plaçai le trois-marches devant le pied de la table.
— Tu n'es plus une petite fille, Julie, tu es bien d'accord ?
— Oui.
— Alors maintenant je vais t'enculer. Je veux te laisser ta virginité. Pour elle, nous verrons plus tard.
Mon intention était surtout qu'elle finisse par me l'offrir d'elle-même, mais un autre jour. J'avais envie qu'arrive ce jour où elle me supplierait de la dépuceler, de faire d'elle une femme ; mais aujourd'hui j'avais envie de forcer son orifice le plus étroit, qu'elle me sente passer. J'avais envie de jouir d'elle tout en refusant de la traiter comme une femme. Je voulais jouir d'elle mais que ce soit humiliant. Je ne voulais pas « l'honorer ».
J'empoignai les cuisses, tout près du pli qui les sépare des fesses, et me présentai l'objet à sacrifier, moment combien émouvant. Cette petite garce était vierge, et j'allais la trouduculer. Je présentai mon vit et posai le gland dilaté sur son tout petit œillet sombre. Je me mis à le frotter sur le petit cratère et tout autour. Julie haletait légèrement, anxieuse et excitée, si tant est que l'excitation pouvait s'extérioriser chez cette fille.
— Tu sais, Julie, la prochaine fois que tu viendras me voir, j'exige que tu aies débarrassé ton pubis de ses poils.
Elle me regarda, l'air étonné, comme si elle ne savait pas qu'une femme pouvait se raser.
— Parfaitement. Tu te raseras la chatte, sinon je ne voudrai pas de toi.
Ayant considéré que ce préambule avait assez duré, je posai le gland sur sa rosette et je me mis à pousser. Je forçai l'entrée de son petit anneau qui se mit à se dilater et à céder tandis que ses yeux s'écarquillaient comme si elle mimait comiquement l'ouverture de son orifice le plus étroit et le plus secret, tout ceci sans qu'un son ne sorte de sa bouche ouverte.
Le gland s'engloutit lentement, et elle émit des « Aah… » avortés et étouffés.
— C'est bien. C'est passé. Te voilà dépucelée du cul, Julie. Je vais prendre mon temps et je vais bien te baiser ! Relâche-toi, détends-toi. Tu n'auras plus mal maintenant. Concentre-toi sur ton cul. Tu vas apprendre à aimer.
Là-dessus je pris ses hanches de jeune chienne, refermai mes mains pour les maintenir fortement, et je m'enfonçai lentement en elle, savourant le plaisir de son cul étroit, progressant dans son canal bien serré mais bien lubrifié. Rapidement je fus au fond et mon pubis en butée contre son périnée.
— C'est bon, tu es une bonne petite chienne, Julie. Je vais bien t'enculer.
Tout doucement, progressivement, je me mis à la pistonner, d'abord bien lentement et bien profond, la travaillant à fond, attendant que ses muscles se relâchent, que je sente une souplesse toute neuve. Elle finit par se détendre enfin, et je mis à la besogner à un rythme accéléré. Elle haletait, les yeux hagards, visiblement en proie à des sensations complètement inconnues d'elle jusqu'à ce jour.
Mes mains empaumèrent ces petits seins. Ses yeux se mirent à rouler de tous côtés. Cette petite garce était au comble de l'excitation. Manifestement, elle était faite pour être sodomisée. C'était son point sensible.
— C'est bon… Ah, c'est bon ! Tu aimes ça, hein, Julie ?
— Ouii…
— Oui, tu aimes ça. Tu es faite pour être enculée !
— Mmmhhhh…
— Oh oui, tu es bonne. Tu es bien serrée. Tu es une vraie petite salope, tu m'excites. Tu es ma bonne petite pute.
De violents coups de reins je lui ravageais le trou du cul, lui pistonnant l'arrière-train. Elle était prise comme de tremblements, de spasmes. Tétanisée, les yeux écarquillés, ailleurs, tout montrait qu'elle était en train d'en jouir.
Je me retirai, lui ordonnai de descendre de la table et de s'asseoir sur le trois-marches. Je retirai le préservatif.
— Tiens, tu vas prendre ma semence. Je vais t'éclabousser et tu lècheras tout. Gare à toi si tu en laisses une goutte : tu sais ce qu'il t'en cuira ! Ça doit être un honneur d'avaler la liqueur de ton maître.
Apeurée, elle s'immobilisa, les yeux fixés sur mon membre à la raideur et à la dilatation démesurée. Rapidement je giclai sur son visage et ses seins, à grands jets puissants. Elle fut littéralement éclaboussée.
— Ramasse ce qu'il y a sur tes seins et lèche tes doigts.
Sans trop de difficultés ni de dégoût elle s'exécuta, comme chaque fois que je lui donnais un ordre. Je caressai son visage avec ma verge encore dure, la flattai.
— C'est bien, tu es une bonne soumise. Tu as prouvé que tu étais une vraie petite salope, aujourd'hui. Si tu veux être ma petite pute, tu sais ce que j'attends de toi. Il ne tient qu'à toi d'être obéissante.
Elle hocha la tête, visiblement satisfaite d'avoir été initiée aux plaisirs des grands, et avec déjà un air moins puéril.
Avant qu'elle ne s'en aille, je lui donnai mes dernières directives, debout face à elle. Elle m'écouta, enfin attentive, les yeux dans les yeux :
— Et n'oublie pas que la prochaine fois que tu viendras me voir, je veux que tu aies rasé ta chatte ! Ton sexe devra être lisse comme un œuf : ça sera une preuve de ta soumission à moi.
Et dorénavant quand nous ne serons que tous les deux, tu m'appelleras « Maître ». C'est bien compris, Julie ?
— Oui Maître.
— C'est bien, tu es bonne fille. Une fille délicieuse. J'ai compris depuis longtemps que la soumission est dans ta nature profonde et que tu ne peux t'épanouir sexuellement qu'en étant soumise. Et la prochaine fois, je vais faire de toi une vraie femme.
Elle sourit doucement.
— Je vais faire de toi ma petite pute. Ma petite pute docile et soumise. Ça te plaît ? lui dis-je en caressant son visage.
— Oh oui… oui Maître !
— C'est bien, tu apprends vite. Allons, à la prochaine fois.
Elle partit toute guillerette, visiblement heureuse et littéralement transformée.