Eva fait du stop
Nathan Kari23/09/2020Le soleil brille déjà fort dans le ciel. Une brise matinale vient cependant rafraîchir l'atmosphère. Les voitures défilent. Moi, Eva, vingt-sept ans, je me tiens debout au bord de la route, le pouce en l'air sans trop savoir pourquoi. Enfin si, c'est juste que c'est insensé…
Ça m'a pris sur un coup de tête ! J'étais là, toute seule, à m'ennuyer ferme chez moi. Réveillée de bonne heure et incapable de me rendormir, je traînais sur Internet histoire de me changer les idées. Et forcément, comme ça ne marchait pas trop, je passais de site de cul à site de cul en me caressant le minou devant le visionnage de films pornos. Pas n'importe lesquels : moi, mon truc c'est les vidéos d'auto-stoppeuses se faisant tringler par leur chauffeur. Je ne sais pas pourquoi spécialement celles-là, peut-être le fait de se retrouver confinée dans un espace clos avec un inconnu et d'être à sa merci.
Faut dire que c'est la première vidéo porno que j'ai visionnée. C'est avec un ami que je l'ai vue. Il n'avait aucune idée derrière la tête, c'était juste pour le délire. Je parlais de tout et de n'importe quoi avec lui, sans aucun tabou. Nos rapports étaient purement amicaux, sans aucune ambiguïté derrière. On se connaissait depuis des années. Il avait une copine, j'avais un copain. Et puis ce soir-là on parlait de porno. Je lui ai avoué n'en avoir jamais vu.
— T'es sérieuse ? Il faut que tu mates ça !
— Peut-être un jour, pourquoi pas. Mais je ne saurais même pas par où commencer.
— C'est simple : tu prends n'importe lequel des sites de cul et tu choisis une vidéo. Simple, basique. Je te montre si tu veux.
— Ha ha, t'es malade !
— Allez, chiche !
Un défi ? Jamais je ne refusais un défi ! J'ai donc accepté et on s'est connectés sur un des nombreux sites de boules dont regorge le web.
— Allez, choisis celle que tu veux, m'a-t-il proposé.
J'observais les miniatures des vidéos, faisant défiler les pages sans que rien ne m'attire l’œil quand soudain je me suis arrêtée sur l'une d'entre elles. Je ne sais pas pourquoi celle-là, je trouvais la fille plutôt jolie. Elle me ressemblait un peu aussi.
— Celle-ci ! l'ai-je désignée.
Le film a commencé doucement. La fille faisait du stop sous la pluie. Ses vêtements étaient collés à son corps. On remarquait clairement une absence de soutien-gorge. Un véhicule s'est arrêté, conduit par un grand Black costaud. Il l'a fait grimper à l'intérieur. Ils ont un peu discuté, et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire il lui a ordonné de le sucer. Plus tard, il s'est arrêté sur le bord de la route et il lui a fait la totale. Elle a bien crié. Bref, c'était loin du scénario du siècle mais, purée, ça m'a fait un de ses effets !
Même mon pote a été surpris de ma réaction. Il pensait juste qu'on allait se marrer ensemble ; à la place, je lui ai sauté dessus. Il a tenté de m'arrêter, se sentant gêné par rapport à nos conjoints, mais je ne lui ai guère laissé le choix. Ou plutôt il s'est laissé convaincre quand je lui ai promis que je ferai tout ce que la fille faisait dans la vidéo. J'étais prête à tout pour satisfaire l'immense fringale que cette vidéo avait fait naître en moi, même à me laisser enculer, pratique dont j'avais toujours eu peur et que je savais qu'il réclamait à sa copine depuis des mois.
Ça a été la meilleure nuit de toute ma vie. On a baisé comme des fous tout le long, et j'ai tenu ma promesse : je l'ai sucé, j'ai bu son foutre, j'ai écarté les cuisses pour qu'il me baise et je lui ai offert mon cul à défoncer. Avec mon mec, le sexe m'avait toujours plu mais ne m'a jamais offert d'orgasme. Avec mon pote, j'ai joui plusieurs fois. Après cette nuit, on ne s'est pas gênés pour baiser de nouveau ensemble quand l'envie nous en prenait, c'est-à-dire assez souvent.
Et puis les années ont passé et nos chemins se sont séparés. Je n'ai jamais oublié cette nuit-là, ni la vidéo qui a fait naître cette pulsion. Les films d'auto-stoppeuses coquines sont devenus une vraie obsession. Aujourd’hui je suis célibataire et je m'emmerde !
Et puis voilà qu'il y a quelques jours une copine mariée me dit qu'elle doit se confesser. Elle me raconte qu'elle a eu une aventure avec un type en faisant du stop. Elle ne sait pas pourquoi elle s'est laissé faire quand il a commencé à lui caresser la cuisse, ni pourquoi elle a accepté de le sucer et de le faire jouir dans sa bouche. Bref, elle était toute honteuse et avait besoin de raconter son histoire à quelqu'un pour soulager sa conscience. Je ne vous dis pas dans quel état son récit m'a mise…
Alors ça m'a pris sur un coup de tête ! J'étais là, toute seule, à m'ennuyer ferme chez moi. Je me suis précipitée devant le miroir, me suis fait une beauté. Je me suis changée pour être sexy. J'ai enfilé un haut très décolleté et une minijupe. Je n'avais pas l'intention de sortir ; je voulais juste me mettre en condition afin que mon cerveau s'imagine mieux la scène et atteindre l'orgasme rapidement.
Je me suis observée dans la glace : ce que je voyais m'excitait. Déjà que j'ai un très joli corps avec des formes généreuses, mais dans cette tenue je me trouvais limite indécente. Mes yeux verts brillaient et transpiraient le désir. J'ai recoiffé mes longs cheveux bruns afin de leur redonner une allure un peu moins sauvage. Oui, je me trouvais vraiment bandante. Sans réfléchir ni sans savoir exactement ce que je faisais, j'ai pris mes clés, mon sac à main et je suis sortie.
Je vous dis, ça m'a pris sur un coup de tête. J'ai marché jusqu'à la limite de la ville sur une route assez fréquentée. J'avais le feu qui me brûlait les entrailles. Une fois arrivée à destination, j'ai levé le pouce et j'ai attendu.
Ça fait maintenant plusieurs minutes que j'attends. Les voitures défilent sans s'arrêter et l'excitation redescend doucement. Je commence à me dire que je suis en train de faire une grosse connerie. C'est débile. Alors que j'hésite à faire demi-tour, une voiture arrive et s'arrête à mon niveau. Merde ! Du coup, le feu dans mon ventre vient de reprendre de la vigueur.
La vitre côté conducteur descend et un visage masculin apparaît. Beurk, ce n'est pas du tout mon type : pas rasé, pas coiffé, une tronche d’alcoolo. Jamais je ne monterai avec un gars comme ça.
— J'te dépose quelque part, poupée ?
— Non merci, ça va aller, me vois-je répondre.
— T'es sûre ? Tu étais bien en train de faire du stop ?
— Oui, mais c'est bon, je vais attendre une prochaine voiture. Ne vous préoccupez pas de moi.
Et comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui fais un signe de main pour qu'il dégage. Finalement, le message passe et il m'abandonne juste après m'avoir lâché un « Connasse, va ! ». C'est vrai que sur le coup je n'ai pas été cool, mais je n'avais aucune envie de me coltiner un type comme lui. Que ça me serve de leçon ! Il est l'heure de faire demi-tour, maintenant… bon, encore cinq voitures et j'y vais.
C'est la septième qui s'arrête. Cette fois, j'étais vraiment prête à abandonner. Je m'avance vers la portière en espérant ne pas tomber encore sur un mec dégueulasse. Je jette rapidement un coup d’œil à l'intérieur et je ne suis pas déçue, bien au contraire : costard, grand, brun, bien propre sur lui avec un charmant sourire et de beaux yeux bleus. Un fantasme sur pattes, ce gars-là ! J'en ai des papillons qui dansent la techno dans le bide.
Il ouvre la vitre de la portière côté conducteur et je me penche pour lui offrir un magnifique sourire et un bel aperçu de mon profond décolleté. Il ne doit pas en perdre une miette.
— Je vous dépose quelque part ?
Quelque part ? Ah oui, j'avais complètement oublié ce détail. Vite, vers où pourrais-je bien aller ? Je lui dirais bien de me déposer sur sa bite, mais c'est peut-être un peu trop direct ! Alors où ? Un bled pas trop près ni trop loin, histoire d'avoir le temps de le chauffer s'il se montre hésitant.
— Méronze, réponds-je.
C'est alors que je remarque le détail qui gâche tout : à l'arrière, dans un siège auto, une gamine d'environ quatre ou cinq ans est à moitié endormie. Merde, fait chier celle-là ! C'est mort, il n'acceptera jamais de baiser en présence de son marmot.
— Ah… hésite-t-il, ça me fait faire un détour… mais bon, allez-y, montez.
— Si ça vous fait faire un détour, ce n'est pas la peine. J’attendrai une prochaine voiture.
— Mais si, montez, ça ne me dérange pas. Ne vous inquiétez pas.
C'est pas que je m'inquiète, c'est que j'avais envie de baiser, et avec une mioche dans les pattes, ce n'est même pas la peine d'y penser. Je cherche donc un moyen de battre en retraite – poliment ce coup-ci – mais ses adorables yeux bleus insistent. Je craque et je monte.
La voiture démarre. Il passe les vitesses et laisse sa main posée sur le levier, à peine à quelques centimètres de ma cuisse. L'air de rien, j'écarte légèrement les jambes, histoire de me rapprocher. Un contact se fait et m'électrise mais il retire aussitôt sa main du levier. Merde ! Il jette un coup d’œil au rétroviseur, probablement pour surveiller l'état d'éveil du monstre de derrière. Je parie que si cette dernière n'était pas là, il serait déjà en train de me doigter. Font vraiment chier, ces bêtes-là ! On ne peut pas s'envoyer en l'air tranquillement quand elles sont là.
Bon, ne se laissons pas abattre par les difficultés. J'ai réussi à coucher dans des situations bien plus compliquées. Le tout, c'est de réussir à le séduire avec subtilité afin que la morveuse à l'arrière ne capte rien. Première technique, lui faire des compliments. S'il mord à l'appât, il me débarrassera de lui-même de cette dernière et m'offrira sa bite. Hum… je l'imagine déjà longue, dure et épaisse. Miam ! Je m'égare ; qu'est-ce que je disais déjà ? Ah oui, le compliment.
— Vous avez l'air de bien savoir manier le levier.
— Euh… merci.
Putain de conne ! C'est tout ce que je trouve à dire comme compliment. Avec ça, il va me prendre pour une folle, c'est sûr ! Pas ma faute : ses beaux yeux bleus me font perdre mes moyens autant qu'ils m'inondent la chatte.
— Par contre, ça ne vous gêne pas si je fais un détour ? Il faut que je dépose ma fille chez la nounou.
— Non, non, absolument pas, réponds-je en tentant de refréner mon immense joie.
Miracle ! Il s'arrête, descend de la voiture et embarque son emmerdeuse avec lui. J'en profite pour lui mater le joli petit cul qui se dandine dans son pantalon. J'en salive d'envie… Bon, en attendant son retour, réfléchissons à la suite des opérations. Je vais tenter de faire semblant de m'intéresser à lui et à sa vie, histoire de ne pas passer pour une garce avide de sexe. Ah, le voilà qui revient. Tel un ange vachement canon descendant du firmament, il s'approche de la voiture. J'essuie la bave qui me coule sur le menton. Il reprend sa place et démarre son véhicule.
— Elle a l'air adorable, votre mioch… fille.
— Oh, elle l'est, sourit-il. Pas toujours, mais elle l'est.
— Ha ha, oui, parfois ça fait du bien de s'en débarrasser !
— Je n'aurais pas dit ça comme ça, mais c'est l'idée. On est heureux d'avoir la nounou et les grands-parents dans le coin pour souffler un peu.
— Et elle a une mère ?
— Euh… oui, bien évidemment. Elle n'est pas née dans une rose, se moque-t-il.
— Non, je voulais dire : elle est toujours dans le coin, la mère ? Vous vous entendez bien ? Vous êtes heureux avec ?
Un rire nerveux s'échappe de sa gorge. Je le mets mal à l'aise. Mouais, on repassera une nouvelle fois sur ma prétendue subtilité.
— Vous, on peut dire que vous êtes plutôt indiscrète.
— Ouais, désolée, je suis du genre ouverte… de partout !
« De partout » ? Vraiment ? Mais putain, pourquoi a-t-il fallu que j’ajoute ça ? Cette fois c'est cuit, impossible de me faire passer pour une femme respectable après cette bourde. Il fallait que je la joue fine, pas trop entreprenante afin de ne pas l'effrayer, et je fais tout l'inverse. Quelle championne ! Bon, ben, perdu pour perdu, autant tenter le tout pour le tout. Ma main lui palpe l'entrejambe.
— Vous voulez baiser ?
Il freine brusquement, repousse ma pauvre menotte et se gare sur le bas-côté. Son visage, entre effarement et choc, se tourne vers moi. Merde, ça ne sent pas bon pour moi.
— Vous êtes sérieuse ? On ne se connaît pas mais vous voulez baiser avec moi ? Je suis marié, papa d'une petite fille et parfaitement heureux dans ma vie de famille. Vous pensez vraiment que c'est en agitant votre décolleté sous mon nez et en me faisant des allusions lourdes que vous allez me convaincre de vous sauter ?
— Ben ouais, j'espérais bien.
Il lève les yeux au ciel, complètement dépité.
— Alors vous avez remarqué mon décolleté ? Vous aimez ?
Il lève les yeux encore plus haut dans le ciel. Mince, je crois que c'est vraiment loupé. Fait chier, je ne dégusterai pas le bel Apollon.
— Bon, je ferais mieux de descendre alors. Je ne vous dérangerai plus.
— Mais non, restez. J'ai promis de vous déposer à Méronze et je suis du genre à tenir mes promesses.
Il redémarre le véhicule et nous continuons notre route. Perso, j'aurais préféré qu'il me dépose au septième ciel mais je ne lui en fais pas la remarque de peur qu'il finisse vraiment par me jarter de la voiture d'un coup de pied. La suite du voyage se fait dans un silence mortel. Je retenterais bien un nouvel assaut mais son humeur maussade m'en dissuade.
Nous venons de traverser une petite commune du nom de Solérèse. Nous roulons maintenant en pleine forêt. Les panneaux indiquent plus que quelques kilomètres pour arriver à Méronze. Je me mords les lèvres, me maudissant d'avoir gâché une occasion en or de me taper mon mannequin. Tout ça pour rien ! J'aurais mieux fait de rester chez moi et de continuer de me caresser devant du porno.
D'un coup, il bifurque sur un petit chemin discret. Ah, me voilà intriguée. Qu'est-ce qu'il fait ? Après deux cents mètres environ, nous ne sommes plus visibles de la départementale. Il s'arrête sur le côté et coupe le moteur. Mon cœur s'accélère, ma chatte dégouline, je n'ose y croire. Il prend une grande inspiration et se tourne vers moi.
— Bon, OK !
OH OUI OUI OUI ! Jackpot, je remporte le gros lot. Je vais pouvoir me faire prendre. J'enlève mon haut d'un geste brusque. Il tente de m'embrasser mais je l'ignore : pas de temps à perdre, c'est sa braguette qui m'intéresse. En un rien de temps, sa bite jaillit hors de son pantalon pour se retrouver dans ma bouche, d'une prison à une autre.
Miam, un goût de mâle m'investit le gosier, légèrement âcre comme je les aime. L'engin paraissait déjà épais lorsque je l'ai libéré, mais là je le sens prendre encore plus de volume. Yes, j'aime avoir la bouche bien pleine ! Je déguste mon cadeau avec passion, montrant tout mon savoir-faire à mon sauveur. Je surveille la moindre de ses réactions à mes coups de langue et à mes succions et apprends ainsi rapidement à reconnaître comment le faire décoller au mieux.
Sa main gauche s'écrase sur mes cheveux et m'appuie sur le crâne, m'incitant à le prendre plus profondément. J’obtempère avec plaisir. Sa droite fait remonter doucement ma jupe afin d'admirer mes fesses à peine voilées par mon tanga qui les met parfaitement en valeur. Il me caresse le cul ; je n'aurais pas une bite dans la gorge, je ronronnerais de plaisir. Maintenant, il me le palpe plus franchement et le maltraite de deux ou trois petites claques pas désagréables.
Sa main abandonne mon derrière callipyge pour remonter lentement le long de mon dos. J'en frissonne de plaisir. Ses doigts s'attaquent à l'attache de mon soutien-gorge. Quelques contorsions me permettent de me séparer de mon sous-vêtement, puis je repars à l'assaut de son dard. Sa main se glisse sous mon buste et commence à jouer avec ma poitrine. Je kiffe grave !
— Putain, mais t'as vraiment une belle paire de seins !
Ouais, je sais, elle m'a souvent rendu service. Je le laisse profiter un peu de mes nichons avant d'abandonner la fellation ; ma bouche est suffisamment rassasiée. C'est à ma chatte de crier famine maintenant.
— Je veux que tu me prennes sur ton capot ! lui ordonné-je.
Vu son regard, l'idée lui plaît beaucoup. Nous sortons profiter du soleil. J'en profite pour ôter mon tanga et le jeter dans l'herbe. Hop, je m'assieds sur le capot face à lui et j'écarte grand les cuisses en signe d'invitation. Quand je disais être une fille ouverte, je ne mentais pas. Il ne résiste pas à la tentation et me pénètre d'un coup vif. Je lâche un râle de bonheur. Enfin !
Quelle joie de réaliser son fantasme absolu, et surtout avec le plus sexy des hommes ! Si j'avais su, j'aurais tenté ma chance plus tôt. Je crois que je vais avoir du mal à ne pas renouveler l'expérience à l'avenir… non, j'en suis archi-sûre.
Allongée sur le capot qui me chauffe le dos, je déguste les coups de queue vigoureux de mon amant d'un jour. Je suis vraiment bien tombée : son rythme est énergique, ses coups sont puissants et il tient bien la cadence. Dans cette position, il a un accès libre à mes nibards qui tressautent à chacun de ses va-et-vient. Ses mains en profitent pour jouer avec eux, les caresser, les tâter, les masser et les pincer. J'adore !
Puis soudain, avec une fureur animale, il me retourne et me plaque le ventre sur la voiture. J'aime cette rudesse toute masculine, celle du mâle qui soumet sa femelle. Je tends le cul vers lui. Il me pénètre en levrette. Une main m'agrippe les cheveux tandis que l'autre me tient fermement les hanches. Maintenant il me défonce. Mes cris résonnent dans toute la forêt. Les siens les accompagnent. J'imagine les animaux sauvages apeurés s'enfuir loin de notre vacarme. Mon Apollon a atteint un rythme fou. Je prends cher. Les amortisseurs de sa bagnole le doivent aussi.
— Oh putain, je vais jouir ! gueule-t-il.
— Jouis sur mes seins…
Sa bite quitte ma chatte, la laissant atrocement vide. Je me mets à genoux tandis qu'il se branle avec vigueur pour se faire venir. Je lui offre mon plus beau regard de salope. D'un coup, il hurle de bonheur et un premier jet brûlant fuse et s'écrase le long de ma joue. Les autres suivent et atteignent lèvres, cou et seins. Je joue un peu avec le sperme, me caressant les nibards pour bien étaler sa divine semence. Ma bouche gobe son gland pour avaler les dernières gouttes qui perlent encore.
Il est maintenant temps de repartir. Je suis satisfaite du voyage, bien que j'aurais aimé que ça dure un peu plus. Je grimpe dans sa voiture et enfile mon débardeur, oubliant mon tanga dans l'herbe. La luxueuse berline démarre. Durant le reste du voyage, il me parle un peu de lui, de sa vie et de son boulot. Je n'écoute pas, je m'en fous.
Nous voilà arrivés à destination. Je descends du véhicule, le remercie pour tout et lui laisse mon numéro ainsi que mon soutien-gorge qui doit traîner sous le siège. J'ai un pincement au cœur en le voyant partir ; j'espère qu'il me rappellera car c'est une belle bête comme on en croise peu. Mais, loin de mes seins, il ne sera pas autant soumis à la tentation.
Soudain je réalise quelque chose à laquelle je n'avais pas du tout pensé avant de me lancer dans cette aventure : comment rentrer chez moi ? Ouais, je suis partie sur un coup de tête ; je n'ai donc rien prévu. Merde, quelle conne ! Bon, ben, il n'y a pas trente-six solutions : plus qu'à refaire du stop. Chouette !