L'oncle
Goumi17/05/2018Deux ans plus tôt, à l'occasion d'un épisode « chaud » avec un technicien chargé de l'entretien de la piscine familiale, Manon avait failli sauter le pas ; elle n'entra totalement « dans la cour des grands » que deux ans plus tard, avec Simon, l'oncle de Sabine, sa copine de lycée. Un fabuleux salaud qui lui avait fait découvrir toutes les merveilles de l'univers de la baise.
Comment était-elle entrée en contact avec lui ?
Assises sur les fauteuils de jardin, elles discutaient de tout et de rien. Mais, comme d'habitude, Sabine avait tendance à éluder le sexe, et cela intriguait Manon, friande du sujet. Pourtant, aujourd'hui Sabine se lâcha et avoua enfin à Manon qu'elle avait déjà vu le loup. Manon en fut toute émoustillée, voire jalouse :
— Oh, raconte-moi !
— Non, je sais pas trop si je dois… ça me gêne. Et puis toi, tu ne m'as rien dit. T'as déjà fait l'amour ?
— Non… si… enfin, presque.
— Ça veut dire quoi, « enfin presque » ? C'est oui ou c'est non ?
Alors Manon raconta le moment inoubliable qu'elle avait vécu ici, au bord de la piscine, avec le technicien d'entretien, un jour que ses parents étaient absents. Elle lui raconta tout : comment ça s'était passé, ce qu'elle avait ressenti, et le souvenir obsédant qui la taraudait depuis, avec ces images qui revenaient sans cesse : le regard brillant de l'homme sur sa nudité, ce membre en érection, ce jet de sperme sur son visage…
— Il en avait une grosse ?
— Oh oui, énorme ! dit Manon en écartant bien les mains, ce qui fit éclater Sabine de rire.
— Hé ! N'exagère pas. Tu me montres une bite d'éléphant !
— Si, si, elle était grosse ; il m'a même demandé de la toucher, et elle est devenue toute grosse. Et… j'avais envie de toucher.
— Et c'est tout ?
— Non, il m'a forcée à lever ma jupe et baisser ma culotte devant lui.
— Forcée ? C'est pas possible… Et pourquoi tu lui as obéi ?
— Pas le choix : il m'avait menacée de raconter à mes parents que je venais de le reluquer en cachette quand il s'est soulagé contre le buisson et que je m'étais tripotée en le regardant. Et puis… j'ai eu envie de me montrer à un homme ; ça m'a fait tout chaud…
— Et c'est tout ?
— Euh… non. Il m'a demandé si je savais ce qu'était une minette. Eh bien, maintenant, je sais. Et je sais ce que c'est qu'un orgasme provoqué par un homme. Sabine, c'était fabuleux ! Il m'a rendue folle. Ça s'est passé sur le fauteuil où tu es assise. Il s'est mis à genoux devant moi, m'a écarté les cuisses et m'a léchée.
— Et ensuite ? Il t'a pas mis la queue dans la chatte ?
— Non, j'aurais bien aimé mais il n'a pas voulu ; il a dit que c'était trop risqué, qu'il n'avait pas de capote. Mais il m'a laissé toucher sa bite ; j'en avais jamais vue en vrai. C'était… c'était dur et chaud.
— Ça s'est arrêté là ?
— Euh… non. J'étais à genoux devant lui. Il m'a fait embrasser sa queue, puis il s'est branlé devant ma figure. J'ai pris le jet sur le visage et dans la bouche parce qu'il m'avait ordonné de la garder ouverte.
— T'as aimé ?
— Oui, j'ai même avalé un peu ; c'était pas désagréable, le goût m'a plu. Maintenant, tout ça me revient chaque fois que je me branle et je jouis beaucoup plus fort.
— Donc, t'es toujours vierge. T'as pas encore eu de queue dans la chatte ? Je m'étais souvent posé la question.
— Non, pas encore de bite bien dure pour moi, et je commence à trouver le temps long. Mais attends d'abord, tu m'as rien raconté pour toi.
— Je sais pas si je peux, dit Sabine, gênée. Tu vas être choquée.
— Choquée ? Mais pourquoi donc ? T'as quand même pas couché avec ton père ?
— Non, pas avec mon père. Pas avec lui, mais…
— Pas avec lui ? Qu'est-ce que ça veut dire, ce « mais » ? Avec qui alors ? Allez, dis-moi.
— … avec mon oncle, le frère de ma mère.
— Hein ? Avec ton oncle ? Mais comment t'as fait ça ?
— Euh… et puis zut, je vais tout te raconter, mais tu promets de rien répéter ? Jure-le-moi !
— Promis-juré !
— Mon oncle, c'est le diable : il fait de moi ce qu'il veut. C'est parti d'un accident. Un matin, je suis entrée par mégarde dans la salle de bain. Il y était, à poil. J'ai voulu ressortir illico mais il ne m'en a pas laissé le temps. Il s'est précipité sur moi, il a passé la main sous ma nuisette… il m'a touchée. C'était fini pour moi ; j'étais prise au piège, paralysée. J'ai senti une chaleur torride monter de ma chatte jusqu'à ma figure. Le reste, tu l'imagines… Il m'a mis sa queue, il m'a dépucelée. J'ai joui, j'ai joui, j'ai joui… tu peux pas savoir. C'est le diable, je te dis. Il a un don magique dans les mains et dans la bite.
— Mais tes parents, ils ne pourraient pas…
— Surtout pas ! Impossible… parce qu'il a aussi couché avec maman et que ça ferait un scandale terrible.
— Quoi ? Avec ta mère ? Donc avec sa sœur ?
— Oui, il m'a même dit qu'il l'avait dépucelée et que depuis elle raffolait de sa queue et que son mariage n'empêchait rien, au contraire.
— Hein ? Elle baise encore avec lui ?
— Oui, dès qu'ils peuvent, c'est elle qui veut, tonton m'a dit.
— Alors il a dépucelé sa sœur et sa nièce ?
— Oui, la mère et la fille, t'as tout compris.
— Et tu continues de coucher avec lui ?
— Je ne sais pas lui résister. Il est fou de mon cul, je suis folle de sa bite. Il me baise quand il veut, autant qu'il veut ; et tu sais le pire ?
— … ?
— J'adore ça, j'en redemande, je suis complètement accro.
— Tu me fais peur… Je ne le connais pas, et je ne voudrais pas tomber entre ses griffes.
— Si, tu dois l'avoir déjà vu chez nous parce que lui se souvient de toi. Il m'avait d'ailleurs demandé qui tu étais et ajouté que tu méritais une giclée.
— Je vois plus qui c'est ; mais quel porc, ce type ! Il peut aller se faire foutre ! Moi, il ne m'aurait pas ; et puis c'est un vieux, j'aime pas les vieux.
— Tu m'en veux pas de t'avoir raconté tout ça ? Et je ne te choque pas en me… Tu sais, ça m'a excitée. Rien que de penser à quand il me défonce…
Sa copine avait commencé à se caresser tout en lui parlant de son oncle, jupe relevée, la main dans la culotte et les yeux mi-clos. Le rythme s'était accéléré au fur et à mesure des aveux. Maintenant, c'était le va-et-vient frénétique de deux doigts dans son intimité clapotante. Sabine, les traits crispés, levait et baissait la tête, dents serrées, haletante. Manon n'aurait pas dû mais ne put s'en empêcher : elle inséra ses doigts entre la main et les lèvres de Sabine et titilla la perle congestionnée en lui demandant :
— Tu l'aimes, sa queue ?
— Oh nooon… salope… tu…
Et elle explosa.
Le soir, dans son lit, Manon repensa à tout ce que Sabine lui avait raconté l'après-midi. Elle était horrifiée mais son imagination travaillait sans relâche, accompagnée par un doigt insidieux et actif. Elle ne pouvait s'empêcher de construire dans son esprit des images où la force et la virilité d'un étalon fou arrachait le plaisir à son amie. Elle aurait bien aimé que l'homme de la piscine, deux ans plus tôt, lui casse son pucelage avec sa si belle bite. Elle crut presque la sentir entrer en elle, et cette pensée l'envoya au ciel.
Le mercredi d'après, comme d'habitude, Manon se rendit chez Sabine pour réviser à deux des cours de maths et de physique. C'était une fois chez l'une, une fois chez l'autre. Il faisait un temps splendide. Elle sonna et attendit que Sabine lui ouvre. Quelle ne fut pas sa surprise de voir devant elle un grand gaillard costaud et grisonnant. Elle fut impressionnée par la personnalité qu'il dégageait, se sentant timide et minuscule, souris apeurée.
— Alors, c'est toi, Manon ? Tu viens voir Sabine ? Entre, s'il te plaît.
— Elle n'est pas là ?
— Non, elle fait vite une course et sera bientôt de retour. Viens, on va s'asseoir à la cuisine si je peux t'offrir une boisson fraîche.
Étonnée et circonspecte, Manon suivit néanmoins l'homme. Ils s'assirent.
— Je t'avais déjà entrevue en sortant d'une visite ici chez ma sœur. Tu étais déjà mignonne à l'époque, mais là, je découvre une jolie jeune fille.
Dans l'esprit de Manon, les pensées s'entrechoquèrent. Elle commença à prendre peur.
— C'est vous, l'oncle de Sabine ? Euh… elle m'avait déjà parlé de vous.
Elle se mordit les lèvres, consciente d'en avoir trop dit. Il eut un sourire éclatant et amusé :
— Elle t'a parlé de moi ?
— Euh… eh bien… un peu.
— N'aie pas peur, je ne suis pas un ogre, dit-il en posant sa main sur la sienne.
Manon, paralysée par ce contact, n'osa pas la retirer, partagée entre crainte et… curiosité malsaine. Vraiment un bel homme, pour ses yeux de jeune fille, et qui dégageait une aura de virilité et d'assurance. Une voix chaude et veloutée, un regard incisif. Elle avait l'impression délicieuse de tomber sous le charme d'un prédateur. Elle était pourtant seule avec cet homme dont elle connaissait les antécédents, et elle pouvait craindre de lui les pires choses capables d'effaroucher une jeune fille. Mais il dégageait un tel magnétisme… Elle sentit un frisson la parcourir et ne sut trop quelle attitude adopter. Il poursuivit :
— Tu sais qui je suis, donc tu sais tout.
— Euh… je sais pas… je vois pas… qu'est-ce que je devrais savoir ?
— Fais pas l'innocente. Sabine m'a avoué qu'elle t'avait tout dit. Je te fais peur ?
— Mais de quoi… de quoi je devrais avoir peur ?
— Ne continue pas à faire l'innocente. Tu sais que c'est moi qui l'ai dépucelée ; tu sais que c'est moi qui lui donne du plaisir, qui la rends dingue. Et elle m'a aussi dit que tu étais encore vierge, ou presque…
— Mais ça ne vous regarde pas ! Elle vous a raconté des choses comme ça ? Quelle garce…
— Elle n'avait pas trop le choix. Je savais qu'elle avait passé l'après-midi avec toi, et j'imagine bien de quoi peuvent parler de jeunes biches.
— Elle n'avait pas trop le choix ? Je ne comprends pas.
— Je savais que vous aviez rendez-vous aujourd'hui. Il y a une chose à laquelle elle ne résiste pas, et alors j'obtiens d'elle tout ce que je veux. C'est lorsque je la sodomise que je peux lui tirer les vers du nez. Elle a tout avoué, hier, sur cette table ; elle a répondu à toutes mes questions pendant que je lui éclatais le cul. Il suffit que j'interrompe mes allers-retours pour qu'elle se dépêche de vider son sac, tellement cette adorable salope veut jouir. Tu sais, tu m'avais tapé dans l'œil il y a quelque temps, et quand Sabine m'a informé que tu passerais, je me suis promis de ne pas rater l'occasion pour te mettre ma queue : il n'y a pas de raison pour que Sabine garde tout pour elle. Je lui ai ordonné de s'absenter, et elle m'a obéit sans rechigner, tout en sachant très bien ce qui allait se passer.
— Mais c'est horrible ce que vous me racontez ! Je vais repartir, dit-elle en se levant avec hâte.
Elle fut prise de vitesse. Il fit le tour de la table et se jeta sur elle.
— Tu repartiras quand on en aura fini tous les deux, dit-il en l'immobilisant.
— Oh non, arrêtez ! Lâchez-moi ! Vous n'avez pas le droit. Je vous en supplie, laissez-moi ! J'ai jamais baisé, je veux pas être violée, vous êtes un salaud !
— Pas d'insolence ! Tu penseras autrement quand tu auras ma bite entre tes cuisses.
Elle se débattit avec l'énergie du désespoir mais l'homme était beaucoup trop fort. Soulevée, plaquée contre lui, elle sentit contre son pubis la poussée d'une érection agressive. Cela la décontenança. Mais la panique la submergeait. Elle essaya en vain de donner des coups de pied, de libérer ses bras immobilisés.
— Tu vas te calmer, petite salope ? T'as pas le choix, tu n'y échapperas pas. Et dans le fond, tu sais très bien que t'en as envie.
— Salaud… Laissez-moi, j'ai pas envie, je veux pas !
— Oh que si, t'as envie, et tu vas commencer par mon montrer ta chatte de petite vicieuse.
— Ah non ! Pas question… nooon, pas ça.
— Tu l'as bien montrée au gars de la piscine ; moi aussi, je veux voir ton petit cul de salope. Ne résiste pas, c'est inutile.
Il l'assit sur la table puis la força d'une main à se coucher sur le dos et de l'autre lui tira son pantalon de jogging et son slip vers le bas, dévoilant sa splendide nudité juvénile. Les deux vêtements tombèrent sur le carrelage. Il lui écarta les cuisses, admiratif :
— Putain, un con frais de jeunette de seize ans… T'as un splendide trésor à bites et tu voudrais pas en profiter ? Et t'as déjà une vraie toison de femme ; j'aime ça. Ouvre mieux tes cuisses, salope, ouvre encore ! Ton con est aussi joli que celui de Sabine. Tu as un vrai con de sourd-muet : ma bite peut déjà lire sur tes lèvres. Elle bande à mort, elle se réjouit.
Manon en avait profité pour se relever, espérant pouvoir descendre de la table. Calé entre les cuisses ouvertes, l'oncle la rattrapa contre lui.
— Attends, petite baiseuse, tu vas aussi me montrer tes nichons. Laisse-toi faire !
Elle eut beau tenter de résister, son tee-shirt et son soutien-gorge rejoignirent les autres vêtements au sol. Les mains et les lèvres de Simon, le tonton ignoble, s'emparèrent des seins et des tétons ultrasensibles de Manon qui frémit sous la caresse. Elle eut peur de perdre tout contrôle face à ces agressions si délicieuses, ainsi les ressentait-elle, même si c'était contre son gré. Et le membre dur, si dur, qui poussait contre sa chatte nue n'arrangeait pas les choses. Son esprit s'égarait ; pire, anticipait… Cette bite ! Cette bite ! La terreur et l'indignation cédaient peu à peu la place à une résignation… gourmande, mais par fierté elle voulut résister jusqu'au bout.
— Arrête de gigoter, petite pucelle, et regarde le cadeau que j'ai pour toi.
Il sortit un mandrin que Manon fixa, les yeux écarquillés de surprise. Une queue aussi grande que celle du gars de la piscine mais bien plus épaisse, une queue de rêve pour la vicieuse lubrique qui se réveillait en elle.
— Vous n'allez pas… Nooon, je veux pas, je veux pas être violée, nooon ! Pas avec ça. Vous êtes trop gros, Je suis vierge, j'ai peur d'avoir mal…
— Tu vas tout de suite changer d'avis.
Il releva les jambes, fit passer les pieds de Manon sur ses épaules en le tenant fermement, la forçant à coucher son dos sur la table. Manon agitait sa tête en tous sens et le supplia d'arrêter en pleurant. Rien n'y fit. Ses pensées s'embrouillèrent autour d'une certitude : elle allait connaître la bite d'un homme. Dans son esprit, une petite voix perverse lui susurra qu'enfin le grand moment était arrivé, qu'elle allait enfin connaître la sensation d'une vraie queue, qu'elle allait devenir une vraie femme, une vraie baiseuse.
— N'aie pas peur, je vais y aller mollo.
— Salaud… salaud ! Nooon… répéta-elle une dernière fois en sentant le gland toucher sa fente.
Il poussa doucement et le gland s'enfonça un peu entre les lèvres déjà humides. Il le ressortit et l'enfonça à nouveau. Il répéta ce manège et, à chaque fois, la bite allait plus loin. Manon se sentit progressivement envahie… et transportée. À sa surprise, ses muqueuses acceptaient le monstre au fur et à mesure, se dilatant sans qu'elle ressentît la moindre douleur, délivrant des sensations nouvelles, au-delà de tout ce qu'elle avait connu auparavant. Elle cessa de gigoter pour savourer bien malgré elle. Lorsque la bite atteignit le fond du vagin, elle revint en arrière, se retira entièrement, puis l'investit à nouveau jusqu'au fond et ce, plusieurs fois. Manon gémissait. Elle était comme sur un nuage, gélifiée par ces langoureuses intrusions.
L'oncle pervers suspendit son mouvement, sortit la verge luisante de la grotte et l'exposa au regard de Manon, hypnotisée. Quelque chose hurla dans sa tête pour que le jeu reprenne.
— Ça te plaisait, hein, petite salope ? Je veux vérifier. Demande la bite si tu la veux à nouveau. Dis que tu veux la bite.
— Je… Non… laissez-moi, dit-elle d'une voix presque éteinte.
— Demande la bite ! répéta-t-il avec autorité.
Elle se remit à pleurer. Mais de rage contre elle. C'était trop bon pour qu'elle n'obéisse pas.
— Demande !
— Oui…
— Oui quoi, salope ?
Et Manon, trahie par son corps, balayée par les sensations qui s'était déchaînées en elle, céda, en larmes :
— … la bite… je veux la bite… Tu es un salauuud !
D'un violent coup de reins il replongea son dard dans le nid tendre de Manon qui cria sous le choc. Puis il commença à la pilonner sans égards pour ses chairs de jeune fille tout en lui malaxant les seins. Manon se sentit décoller. Elle accompagna chaque coup de reins de cris aigus. Des mots orduriers fusèrent de part et d'autre car, prise au jeu et hors de toute limite, Manon ne fut pas en reste pour dérouler un flot d'obscénités inattendues chez une fille de son âge. Au pouvoir de la bite, elle opposa celui du verbe. C'est Simon donna le ton :
— Putain, ton cul !… Magnifique, ce cul ! T'as le plus beau cul de la Terre… Tu sens, salope, comme ma bite aime ton cul ? T'es si jeune et t'as un si beau cul… Vicieuse… baiseuse… sac à sperme ! Comment tu la trouves, ma bite ?… T'aimerais bien que je te la mette partout ? T'aimerais la sentir en bouche ?… dans le cul ?… entre les nichons ?… Tu commences à gigoter… Ça te fait grimper d'avoir les cuisses ouvertes, hein salope ! Qu'est-ce que tu jouis vite de la chatte… tu mouilles complètement… Écarte plus les cuisses… encore, salope… écarte mieux… Oui… obéis à ma bite… Putain, que t'es bonne ! Ah salope… que je te défonce. Oui, t'es meilleure que Sabine et que sa mère… t'es plus salope qu'elles !
— Oui… non… oh, c'est trop bon… T'es fort… t'es un taureau… Ouiiii, t'as une grosse bite… elle est énorme… Ouiiii… tu me remplis complètement… Oh oui, va plus fort… encore plus fort ! Ça te plaît, salaud, de baiser une toute jeune ? Hein que tu l'aimes, mon cul de jeune… tu aimes mes cuisses ouvertes… ça te met la trique… Oui, je veux te sucer… je te viderai les couilles… Dis-moi que je baise bien… oui, répète-le, salaud ! Dis-moi que je baise mieux que Sabine… Ouiiii, répète-le… Ah, que c'est bon… J'aurais jamais cru… Tu as le diable dans la bite… Ahhhh… je viiiiiens… casse-moi la chatte… gicle-moi le sperme… le sperme… ouiiii… encore… mets-moi plein la chatte… gicle encore !
Manon hurla et se crispa en s'arcboutant pendant quelques secondes, puis se relâcha progressivement. Le sperme dégoulina de sa chatte encore béante lorsque Simon retira son membre. Il en préleva avec le doigt et en badigeonna les lèvres de Manon qui lécha du bout de la langue.
— Manon, je te félicite. Je ne regrette pas de t'avoir un peu forcée à ouvrir les cuisses. T'es un coup fabuleux. Pour une pucelle, t'étais douée ! dit-il en libérant ses jambes.
Elle se redressa, s'assit sur le bord de la table de cuisine.
— Salaud ! Vieux dégueulasse ! Tu m'as violée, je ne l'oublie pas, mais je te pardonne parce que tu m'as fait jouir comme c'est pas possible. Et ta bite, maintenant elle est à moi.
Elle passa ses bras autour du cou de Simon et lui posa un baiser rapide sur les lèvres, puis se mit debout devant lui, saisissant son membre… car elle savait qu'autre chose l'attendait encore.
— Manon, tu n'as pas fini : tu vas me nettoyer la queue.
— Mais… je n'ai pas de chiffon.
— Tu plaisantes ? Mets-toi à genoux, dit-il en lui appuyant sur les épaules pour la pousser vers le bas.
Elle comprit immédiatement car elle avait vu assez de séquences pornos sur le net pour savoir ce qu'il voulait. Rien que d'avoir en main cette queue énorme qui venait de la remplir la faisait frémir. À ce moment, elle lui appartenait, et à elle seule. Elle commença à lécher tout au long du membre, d'une langue gourmande, en avalant chaque goutte avec délectation. Elle leva les yeux avec une flamme vicieuse dans le regard.
— Oui… c'est bien… Tu sais lécher, toi ; tu lèches comme une bonne petite pute. Maintenant suce, salope !
Elle ouvrit la bouche, hésitante et avança la tête. La queue était trop grosse. Elle enfourna le gland à grand-peine et ne put aller plus loin, de peur d'étouffer. Elle débuta un léger mouvement de pompe avec la tête tandis que sa main refermée sur le manche le complétait par un va-et-vient qu'elle accéléra au fur et à mesure de l'excitation qui l'envahissait. Elle prenait conscience de son pouvoir sur l'homme sucé et le savourait autant que le gland velouté. Manon comprit que Simon allait venir à la façon dont il avança plusieurs fois son ventre. Chaud, velouté, crémeux. Elle déglutit plusieurs fois.
Manon se rhabilla enfin. Toujours dans la cuisine ensoleillée, ils s'assirent autour de la table et partagèrent une orangeade fraîche. Sur sa langue, le goût de la boisson se mélangea à celui du sperme. Délicieux ! Simon lui avoua en souriant :
— Ben, dis-donc, j'aurais pas cru que t'étais si chaude et que t'étais un si bon coup.
— Et moi j'aurais pas cru que t'étais un si bon baiseur. Pour une première fois, c'était l'apothéose. J'avais la trouille ; maintenant, je n'ai plus peur. Tu peux revenir.
— Je suis à ta disposition quand tu veux. Rien que de penser à ton cul, que de t'imaginer les cuisses ouvertes, je trique.
— Gardes-en pour tout à l'heure…
— Pour tout à l'heure ?
— C'est pas pour moi.
— Pas pour toi… Mais pour qui ?
— Sabine va revenir, et je suppose que ça ne saurait tarder.
— Oui, bien sûr, elle va… Quoi ? Tu veux que je baise Sabine ?
— Non : que tu l'encules, puisqu'elle aime tant ça ! Et devant moi. Ce sera ma vengeance ; elle m'a trahie. Je soupçonne même, à bien y réfléchir, que vous étiez de connivence pour faire tomber l'innocente copine dans un piège.
Simon esquissa un sourire.
— Il y a un peu de ça…
— Alors je veux la voir crier et jouir.
— Tes désirs sont des ordres.
Simon se retourna et cria :
— Sabiiiine ! Viens ici, on a besoin de toi.
Et Sabine pointa son nez au seuil de la cuisine éclairée par le soleil ; Manon en fut abasourdie.
— Quoi ? Tu étais là ? Tu n'étais pas partie ? Mais alors… tu as tout entendu ?
— Tout entendu et tout vu par l'entrebâillement de la porte. J'étais aux anges de te voir jouir comme ça. Y sait y faire, le tonton, hein ? Je t'ai pas raconté de conneries.
— Salope ! T'as été dégueulasse.
— Pas plus que toi, puisque toi aussi tu veux voir comment le tonton me tringle. Et ce que j'aimerais, c'est que ça se passe ici, comme pour toi, sur la table de la cuisine. Et que ça se fasse tout de suite car j'ai la chatte en feu de vous avoir vus. J'ai joui deux fois en me branlant. Et je te parie que je baise mieux que toi.
Simon se leva et recula sa chaise.
— Viens ici ! Mets-toi à poil tout de suite. Là, oui, comme ça. T'es belle… Tourne-toi vers Manon pour qu'elle voie bien ta chatte. Maintenant, couche-toi à plat-ventre sur la table avec les pieds par terre pour lui montrer ton cul et recevoir ma bite. Écarte tes fesses avec tes mains.
Sabine obéit docilement. Simon bandait de nouveau. Il l'agrippa par les hanches et poussa son dard qui entra sans difficulté entre les fesses ; et Manon d'encourager, avec une joie de gamine :
— Oui, encule-la, cette pute, c'est ça que je veux voir !
Sabine, yeux exorbités, bouche grande ouverte, semblait chercher désespérément de l'air. Manon, par empathie, vivait la chose avec son amie. Elle se caressa et jouit deux fois tandis que Sabine hurlait de plaisir avec le pieu de son oncle dans le cul.
Simon et Manon se revirent régulièrement pendant presque trois ans avec invariablement les mêmes rituels. Il exigeait à chaque fois qu'elle oralise, qu'elle qui lui répète être la salope qui veut la minette, la salope qui veut sucer, la salope qui veut qu'il lui casse la chatte et enfin la salope qui le supplie de l'enculer. Sa jeunesse et sa fraîcheur donnaient encore plus de relief à sa sulfureuse perversité.
Il lui apprit, ou plutôt lui imposa tout ce qu'elle ne savait pas – ignorance due à l'innocence ( ? euh…) de son âge – en la malmenant et la brutalisant, ce qui rendait son plaisir encore plus vif car, comme elle ne tarda pas à le découvrir, c'était dans sa nature d'être esclave, soumise et malmenée.
Elle connut aussi d'autres partenaires entre-temps, mais aucun n'arrivait à la cheville (pour ne pas dire à la bite) de Simon.
Elle adorait quand il la baisait dans la bouche, l'obligeait à avaler son sperme. Ou quand il la traitait de pute en la défonçant. Il la sodomisait, toujours à plat-ventre sur cette fameuse table de cuisine qui était devenue un lieu de cul et de culte.
La première fois qu'il l'encula, passée la peur provoquée par son engin monstrueux pourtant soigneusement lubrifié poussant sur son œillet, elle avait navigué sur un océan de bonheur. Cette sensation d'être totalement remplie, d'être devenue un objet sexuel docile, esclave de la brutalité d'un mandrin sans pitié la faisait jouir du cul comme un véritable feu d'artifice ! C'est par ces défonçages de vagin et ces sodomies qu'elle eut la révélation, dès sa jeunesse, qu'elle pouvait décupler son plaisir en se conduisant comme une femelle avide de bite, une salope obéissante et perverse. Et elle en était fière.